Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1902-03-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 6892 Nombre total de vues : 6892
Description : 31 mars 1902 31 mars 1902
Description : 1902/03/31 (A2,N9). 1902/03/31 (A2,N9).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6377661s
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 21/02/2013
- Aller à la page de la table des matières65
- Sommaire
- Pages
- .......... Page(s) .......... 67
- .......... Page(s) .......... 73
- .......... Page(s) .......... 76
- .......... Page(s) .......... 79
- LIVRES NOUVEAUX
- PARTIE COMMERCIALE
- ACTUALITES
- .......... Page(s) .......... 91
- .......... Page(s) .......... 92
- .......... Page(s) .......... 92
- .......... Page(s) .......... 93
- .......... Page(s) .......... 94
- .......... Page(s) .......... 94
- .......... Page(s) .......... 94
- .......... Page(s) .......... 95
- .......... Page(s) .......... 95
- .......... Page(s) .......... 95
- .......... Page(s) .......... 96
- .......... Page(s) .......... 96
- .......... Page(s) .......... 96
- .......... Page(s) .......... 96
- FIGURES
- .......... Page(s) .......... 75
- Fig. 8 et 9: Serpes à cacao
84 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE N" 9 — MARS 1902
bibliographiques. Dans la plupart des cas,
les documents cités ou rappelés, soit dans le
texte soit en note, ont paru primitivement
dans le « Tropical Agriculturist »,etM. FER-
GUSON ne manque jamais de souligner le fait,
avec une fierté bien légitime.
Quelques-uns des paragraphes qui étudient
ainsi les cultures faisant la prospérité de
Ceylan, sont vraiment tout à fait remar-
quables; il ne semble pas qu'on puisse faire
mieux dans ce genre. Nous aurons, peut-
être, l'occasion de donner un jour une idée
plus complète de la manière de M. J. FER-
GUSON en publiant, dans ce Journal, la tra-
duction des articles concernant certaines
cultures particulièrement intéressantes pour
l'étranger.
Il y a lieu de signaler aussi les études
commerciales et statistiques mondiales des
différents grands produits agricoles; ce cha-
pitre constitue une sorte de complément du
précédent; la liste des sources, citée à la
page 184 i donne une idée du travail énorme
qu'il a fallu pour réunir tous ces chiffres.
L'annuaire contient, aussi, comme déjà
l'année précédente , une liste des brevets
d'invention délivrés à Ceylan (pp. 369" 372).
Elle est susceptible de rendre de bons ser-
vices aux inventeurs de tous pays qui s'oc-
cupent de la machinerie destinée aux thés et
aux autres récoltes tropicales, ainsi qu'à
toute personne s'intéressant à l'outillage
des plantations.
Entre le tarif des indemnités des jurvs
criminels et la législation relative aux coo-
lies, il y a un excellent mémoire sur les bois
de Ceylan, étudiés en vue de la confection
des caisses à thé.
Ce mémoire a son pendant dans une liste
générale des bois de Ceylan, insérée à quel-
ques centaines de pages plus loin, entre le
tarif des courtiers de Colombo et une très
utile petite étude sur les cours de l'huile de
coo de 1860 à 1901.
Dans la partie Annonces, les agriculteurs
tropicaux consulteront avec profit le « Ca-
talogue des ouvrages en vente ou en com-
mission à la librairie Ferguson ».
PARTIE COMMERCIALE
Le marché du Caoutchouc
par MM. HECHT FRÈRES & Cie
Baisse continue du Para fin. — Les
cours du caoutchouc Para viennent encore
de subir de violentes fluctuations.
A la fin du mois de février, le Para fin est
tombé à fr. 8,15 le kilo, soit '2/ Il :J/ ; par
livre anglaise : c'est la première fois depuis
décembre 1894, c'est-à-dire il y a plus de
sept années, que l'on voyait cet article coté
au-dessous de trois shillings.
Le caoutchouc a repris alors en hausse
rapide, sous l'influence de gros achats opérés
au Brésil par une maison des plus impor-
tantes ; sous l'impression de ce fait, on a pu
croire un moment à un vrai mouvement de
hausse; des spéculateurs auraient, dit-on,
payé plus de y francs pour livraison juin.
Mais ce mouvement, à peine commencé, n'a
pas tardé à avorter, et la plus grande partie
de l'avance acquise a été reperdue, si bien
qu'actuellement nous nous retrouvons, pour
caoutchouc disponible, à fr. 8,5o, c'est-à-
dire au même prix qu'il y a un mois.
On paie toujours de 10 à 15 centimes de
prime pour livraison mai ou juin, ce qui dé-
note un manque de demande pour dispo-
nible, et par suite un certain malaise.
D'autre part il existe toujours quelques
centaines de tonnes invendues appartenant
à un syndicat américain en liquidation; cer-
taines maisons brésiliennes, trouvant les
prix trop bas, ont consigné leurs marchan-
dises en Angleterre. Voilà donc des stocks
qui, à certains moments, pèseront sur le
marché.
bibliographiques. Dans la plupart des cas,
les documents cités ou rappelés, soit dans le
texte soit en note, ont paru primitivement
dans le « Tropical Agriculturist »,etM. FER-
GUSON ne manque jamais de souligner le fait,
avec une fierté bien légitime.
Quelques-uns des paragraphes qui étudient
ainsi les cultures faisant la prospérité de
Ceylan, sont vraiment tout à fait remar-
quables; il ne semble pas qu'on puisse faire
mieux dans ce genre. Nous aurons, peut-
être, l'occasion de donner un jour une idée
plus complète de la manière de M. J. FER-
GUSON en publiant, dans ce Journal, la tra-
duction des articles concernant certaines
cultures particulièrement intéressantes pour
l'étranger.
Il y a lieu de signaler aussi les études
commerciales et statistiques mondiales des
différents grands produits agricoles; ce cha-
pitre constitue une sorte de complément du
précédent; la liste des sources, citée à la
page 184 i donne une idée du travail énorme
qu'il a fallu pour réunir tous ces chiffres.
L'annuaire contient, aussi, comme déjà
l'année précédente , une liste des brevets
d'invention délivrés à Ceylan (pp. 369" 372).
Elle est susceptible de rendre de bons ser-
vices aux inventeurs de tous pays qui s'oc-
cupent de la machinerie destinée aux thés et
aux autres récoltes tropicales, ainsi qu'à
toute personne s'intéressant à l'outillage
des plantations.
Entre le tarif des indemnités des jurvs
criminels et la législation relative aux coo-
lies, il y a un excellent mémoire sur les bois
de Ceylan, étudiés en vue de la confection
des caisses à thé.
Ce mémoire a son pendant dans une liste
générale des bois de Ceylan, insérée à quel-
ques centaines de pages plus loin, entre le
tarif des courtiers de Colombo et une très
utile petite étude sur les cours de l'huile de
coo de 1860 à 1901.
Dans la partie Annonces, les agriculteurs
tropicaux consulteront avec profit le « Ca-
talogue des ouvrages en vente ou en com-
mission à la librairie Ferguson ».
PARTIE COMMERCIALE
Le marché du Caoutchouc
par MM. HECHT FRÈRES & Cie
Baisse continue du Para fin. — Les
cours du caoutchouc Para viennent encore
de subir de violentes fluctuations.
A la fin du mois de février, le Para fin est
tombé à fr. 8,15 le kilo, soit '2/ Il :J/ ; par
livre anglaise : c'est la première fois depuis
décembre 1894, c'est-à-dire il y a plus de
sept années, que l'on voyait cet article coté
au-dessous de trois shillings.
Le caoutchouc a repris alors en hausse
rapide, sous l'influence de gros achats opérés
au Brésil par une maison des plus impor-
tantes ; sous l'impression de ce fait, on a pu
croire un moment à un vrai mouvement de
hausse; des spéculateurs auraient, dit-on,
payé plus de y francs pour livraison juin.
Mais ce mouvement, à peine commencé, n'a
pas tardé à avorter, et la plus grande partie
de l'avance acquise a été reperdue, si bien
qu'actuellement nous nous retrouvons, pour
caoutchouc disponible, à fr. 8,5o, c'est-à-
dire au même prix qu'il y a un mois.
On paie toujours de 10 à 15 centimes de
prime pour livraison mai ou juin, ce qui dé-
note un manque de demande pour dispo-
nible, et par suite un certain malaise.
D'autre part il existe toujours quelques
centaines de tonnes invendues appartenant
à un syndicat américain en liquidation; cer-
taines maisons brésiliennes, trouvant les
prix trop bas, ont consigné leurs marchan-
dises en Angleterre. Voilà donc des stocks
qui, à certains moments, pèseront sur le
marché.
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