Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1902-02-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 28 février 1902 28 février 1902
Description : 1902/02/28 (A2,N8). 1902/02/28 (A2,N8).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6377660c
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 21/02/2013
- Aller à la page de la table des matières33
- Sommaire
- ETUDES ET DOSSIERS
- LIVRES NOUVEAUX
- PARTIE COMMERCIALE
- .......... Page(s) .......... 52
- .......... Page(s) .......... 53
- .......... Page(s) .......... 53
- .......... Page(s) .......... 54
- .......... Page(s) .......... 55
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- .......... Page(s) .......... 56
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- .......... Page(s) .......... 57
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- ACTUALITES
- .......... Page(s) .......... 59
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- .......... Page(s) .......... 60
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- FIGURES
- Figures 3, 4 et 5. Photographies démontrant l'action des engrais sur l'arachide, à la station de Southern P. ne.
56 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE N° 8 — FÉV. IQ02
de sortie à payer, il est aboli à dater du
ier janvier.
Les nouvelles des autres pays producteurs
sont généralement défavorables. Ainsi, dans
les diverses républiques centre-américaines,
il ne faut pas compter sur plus de la moitié
de la moyenne annuelle.
Bonne tenue des cafés Libéria de Java
A l'occasion de la première vente de 1902
de la « Nederlandsche Handel Maatschappij »
qui a eu lieu le 28 janvier, MM. DUURING ET
FILS constatent que le café Libéria de Java
résiste assez bien à la baisse générale sévis-
sant en ce moment sur les cafés; son prix
modique lui conquiert chaque jour de nou-
veaux groupes de consommateurs. Le
Libéria a reculé quand même de 2 cents
hollandais par 1/2 kilo; mais on aurait pu
s'attendre à pis.
Nos lecteurs auront intérêt à comparercette
information avec les notes commerciales sur
le café Libéria insérées aux nos 1, 2, 3 et
5 du « Journal d'Agriculture Tropicale ».
Coton
Le coton en Asie centrale
Les chiffres cités ci-après, se rattachent à la sta-
tistique mondiale du coton que nous avons pu-
bliée dans notre cahier d'octobre 1901 (pp. 117-
118).
La production ruhe manq uait dans les tableaux
de LEHMANN FRÈRES, que nous avions utilisés pour
notre note du mois d'octobre ; nous avions sou-
ligné nous-même l'importance de cette lacune.
Les chiffres du consul d'Amérique à Moscou ne
sont d'ailleurs pas parfaits non plus, car il y man-
que toujours encore la Transcaucasie, région fort
intéressante et où il existe une station d'essai
destinée à propager et à perfectionner la culture du
coton.
D'autre part, le poud russe valant 16 kilos, la
comparaison avec la production des pays énu-
mérés dans notre cahier d'octobre montre que le
chiffre de 233.5 millions de pouds représente
presque le double de la production cotonnière des
États-Unis, ce qui est invraisemblable; il y a donc
lieu de se demander s'il n'y a pas eu erreur de
transcription.
Tel est l'avis d'un homme des plus compétents,
M. HENKI LECOMTE, auteur du traité « Le Coton ».
Voici, en effet, ce qu'il nous écrit à ce sujet, en
réponse à la communication d'une épreuve :
« Je pense qu'il s'agit simplement d'une erreur
d'unités, et ceci est d'autant plus probable que le
renseignement est empruntéau rapport du consul
d'Amérique à Moscou, car les consuls emploient
d'habitude les unités de leurs pays d'origine. Il a
dû écrire pounds (livres de 453 gr. 16) et on a lu
pouds, ce qui est très différent. En admettant ceci
on retombe dans le vraisemblable, car la produc-
ton de coton de l'Asie centrale ne doit pas dépasser
100.000.000 kilos, si elle obtient déjà ce chiffre
actuellement ».
Nous nous sommes étendus sur ces détails, afin
d'apprendre à nos lecteurs de se méfier des statis-
tiques que l'on rencontre dans la presse, et de ne
jamais les accepter sans contrôle. Il ne faudrait
pas que notre insistance soit interprétée comme de
la malveillance vis à vis de nos confrères de
Bruxelles dont la publication est, au contraire,
parmi les mieux rédigées et l'une de celles que
nous dépouillons avec le plus de profit.
Quoi qu'il en soit, voici le texte dont il s'agit et
que nous empruntons au « Bulletin de la Soc.
d'Etudes Coloniales » de décembre 1901 :
Le consul d'Amérique, a Moscou, constate
que la production du coton dans l'Asie cen-
trale augmente chaque année. Le gouver-
nement et les fabricants de cotonnades en-
couragent les cultivateurs à améliorer leurs
procédés de culture de manière que la Russie
puisse lutter contre le coton américain. Les
Russes préparent maintenant le coton d'après
le système américain et importent les graines
des Etats-Unis. Les manufacturiers préfèrent
le coton d'Asie à celui d'Amérique, parce
qu'il est présenté en ballots plus petits,
comme c'est le cas pour le coton d'Egypte.
Plusieurs des principaux fabricants de Mos-
cou, qui est le premier centre de l'industrie
cotonnière en Russie, ont dit au consul que,
dans l'avenir, ils n'achèteraient plus de coton
américain. L'année dernière, l'Asie centrale
a envoyé en Russie (par Krasnovodsk sur la
mer Caspienne) 233 1/2 millions de pouds
de coton, dont 175 millions étaient origi-
naires du Turkestan, 27 du Bokhara, 12 de
Khiva, 10 de la province transcaspienne et
plus de 9 millions de la Perse.
de sortie à payer, il est aboli à dater du
ier janvier.
Les nouvelles des autres pays producteurs
sont généralement défavorables. Ainsi, dans
les diverses républiques centre-américaines,
il ne faut pas compter sur plus de la moitié
de la moyenne annuelle.
Bonne tenue des cafés Libéria de Java
A l'occasion de la première vente de 1902
de la « Nederlandsche Handel Maatschappij »
qui a eu lieu le 28 janvier, MM. DUURING ET
FILS constatent que le café Libéria de Java
résiste assez bien à la baisse générale sévis-
sant en ce moment sur les cafés; son prix
modique lui conquiert chaque jour de nou-
veaux groupes de consommateurs. Le
Libéria a reculé quand même de 2 cents
hollandais par 1/2 kilo; mais on aurait pu
s'attendre à pis.
Nos lecteurs auront intérêt à comparercette
information avec les notes commerciales sur
le café Libéria insérées aux nos 1, 2, 3 et
5 du « Journal d'Agriculture Tropicale ».
Coton
Le coton en Asie centrale
Les chiffres cités ci-après, se rattachent à la sta-
tistique mondiale du coton que nous avons pu-
bliée dans notre cahier d'octobre 1901 (pp. 117-
118).
La production ruhe manq uait dans les tableaux
de LEHMANN FRÈRES, que nous avions utilisés pour
notre note du mois d'octobre ; nous avions sou-
ligné nous-même l'importance de cette lacune.
Les chiffres du consul d'Amérique à Moscou ne
sont d'ailleurs pas parfaits non plus, car il y man-
que toujours encore la Transcaucasie, région fort
intéressante et où il existe une station d'essai
destinée à propager et à perfectionner la culture du
coton.
D'autre part, le poud russe valant 16 kilos, la
comparaison avec la production des pays énu-
mérés dans notre cahier d'octobre montre que le
chiffre de 233.5 millions de pouds représente
presque le double de la production cotonnière des
États-Unis, ce qui est invraisemblable; il y a donc
lieu de se demander s'il n'y a pas eu erreur de
transcription.
Tel est l'avis d'un homme des plus compétents,
M. HENKI LECOMTE, auteur du traité « Le Coton ».
Voici, en effet, ce qu'il nous écrit à ce sujet, en
réponse à la communication d'une épreuve :
« Je pense qu'il s'agit simplement d'une erreur
d'unités, et ceci est d'autant plus probable que le
renseignement est empruntéau rapport du consul
d'Amérique à Moscou, car les consuls emploient
d'habitude les unités de leurs pays d'origine. Il a
dû écrire pounds (livres de 453 gr. 16) et on a lu
pouds, ce qui est très différent. En admettant ceci
on retombe dans le vraisemblable, car la produc-
ton de coton de l'Asie centrale ne doit pas dépasser
100.000.000 kilos, si elle obtient déjà ce chiffre
actuellement ».
Nous nous sommes étendus sur ces détails, afin
d'apprendre à nos lecteurs de se méfier des statis-
tiques que l'on rencontre dans la presse, et de ne
jamais les accepter sans contrôle. Il ne faudrait
pas que notre insistance soit interprétée comme de
la malveillance vis à vis de nos confrères de
Bruxelles dont la publication est, au contraire,
parmi les mieux rédigées et l'une de celles que
nous dépouillons avec le plus de profit.
Quoi qu'il en soit, voici le texte dont il s'agit et
que nous empruntons au « Bulletin de la Soc.
d'Etudes Coloniales » de décembre 1901 :
Le consul d'Amérique, a Moscou, constate
que la production du coton dans l'Asie cen-
trale augmente chaque année. Le gouver-
nement et les fabricants de cotonnades en-
couragent les cultivateurs à améliorer leurs
procédés de culture de manière que la Russie
puisse lutter contre le coton américain. Les
Russes préparent maintenant le coton d'après
le système américain et importent les graines
des Etats-Unis. Les manufacturiers préfèrent
le coton d'Asie à celui d'Amérique, parce
qu'il est présenté en ballots plus petits,
comme c'est le cas pour le coton d'Egypte.
Plusieurs des principaux fabricants de Mos-
cou, qui est le premier centre de l'industrie
cotonnière en Russie, ont dit au consul que,
dans l'avenir, ils n'achèteraient plus de coton
américain. L'année dernière, l'Asie centrale
a envoyé en Russie (par Krasnovodsk sur la
mer Caspienne) 233 1/2 millions de pouds
de coton, dont 175 millions étaient origi-
naires du Turkestan, 27 du Bokhara, 12 de
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