Titre : Machinisme agricole tropical
Auteur : Centre d'études et d'expérimentation en mécanisation agricole et technologie alimentaire tropicales (France). Auteur du texte
Éditeur : CIRAD-CEEMAT (Antony)
Date d'édition : 1966-04
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34348839f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : avril 1966 avril 1966
Description : 1966/04 (A04,N14). 1966/04 (A04,N14).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k1550012z
Source : CIRAD, BH_PEHIST5710
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/08/2024
— OMAT : une nouvelle motofaucheuse « Hob-
by » ALPINA légère, montée sur deux petites
roues, à barre de coupe de 60 ou 80 cm, moteur
deux temps de 2,5 ch.
— S. D. G. : importe des U. S. A. une motohoue
ATLAS AIRE, à moteur BRIGGS et STRATTON
de 4 ch.
— SOLO : proposait un nouveau petit groupe
moteur « Solo-Combi » de 3 ch qui, dès sa sortie,
permet 20 solutions diverses, depuis la motohoue
jusqu’au groupe pour hors-bord, en passant par la
scie à chaîne, etc...etc.
— STAUB : parmi ses nombreuses proposi-
tions exposait la motohoue « Week End », dont
le nom se passe de commentaires.
— UNACOMA au sein de l’exposition italienne,
proposait des matériels de diverses marques.
MOTO GUZZI (MATHAY MANDEURE) :
motofraise « MZO »,
BEDOGNI : motofaucheuse «Olympia»,
CAB : motoculteur RINGO « M 12 »,
etc.
— WOLSELEY n’a pas changé ses fabrications
mais il semblerait que la charrue réversible à
claire-voie, du type rizicole (Japon), se vendrait
bien en France.
— Z. A. F. (TECA) que nous citons enfin, est
une petite monochenille de 8 ch, à moteur 4 temps,
3 vitesses AV et 1 AR, qui pousse un corps de
charrue réduit.
Nous ne reviendrons pas sur ce que nous avons
dit antérieurement quant aux faibles possibilités
actuelles d’utilisation générale des motoculteurs
ou motohoues dans les conditions tropicales
d’emploi, particulièrement lors du précédent Salon
en prenant appui sur les résultats décevants d’une
enquête lancée par le G. E. E. M. A. T., tant auprès
de la Profession que des Utilisateurs. Si nous avons,
ci-dessus, partiellement, satisfait à notre souci
technique d’information, ce n’est pas parce que les
utilisations limitées auxquelles nous avions fait
allusion, nous paraissent être en cours d’augmen-
tation, mais c’est parce que des expériences d’emploi
se développent actuellement, surtout en Sta-
tions de Recherche, pour tester pratiquement les
possibilités (polyvalence et résistance des équipe-
ments) des engins et apprécier la rentabilité compa-
rée de leur utilisation ainsi que les difficultés de
conduite.
Nous souhaitons que ces expériences, conduites
dans des conditions particulières, se multiplient
et, surtout, que tous les résultats soient satisfai-
sants. Ce serait déjà une conclusion favorable,
avant qu’on puisse aborder une éventuelle diffu-
sion dans certaines « opérations » paysannales
bien encadrées et pour des cultures relativement
payantes.
Il semble que pour les motofaucheuses, dont
certains modèles rustiques sont utilisés çà et là,
Des solutions SOLO COMBI.
surtout pour l’entretien de « gazons » divers,
quand ce n’est pas — très rarement — pour celui
de cultures pérennes très bien réalisées, une éven-
tuelle possibilité soit envisageable, pour pallier
les difficultés rencontrées dans la récolte de cer-
tains fourrages.
II reste qu’en choisissant parmi la multitude des
propositions et des équipements, on peut satis-
faire tous les besoins, à condition que les maté-
riels soient utilisés sur des terres relativement
civilisées, par des conducteurs très bien choisis.
Matériels culturaux.
En partant d’une terre habituellement cultivée,
la gamme des machines traditionnelles ayant à
intervenir pour préparer le lit de semis, mettre
en place la semence et entretenir la culture, était
importante, mais les méthodes peu nombreuses.
Après la diversification de ces dernières, amenant
d’autres propositions d’engins permises par l’équi-
pement des tracteurs, l’augmentation de la puis-
sance de ceux-ci a accru encore le nombre des
appareils ; en même temps que le souci de renta-
bilisation économique de l’emploi des engins de
traction accélérait le mouvement, en mettant les
améliorations foncières à la portée directe du
paysan.
Actuellement, ce dernier peut trouver au S. I. M. A.
à peu près tous les matériels à utiliser depuis le
défrichement jusqu’à l’entretien de ses cultures,
tant à l’aide d’engins spéciaux qu’en recourant
à des solutions polyvalentes, mais son choix est
d’autant plus compliqué qu’il doit opter pour
diverses méthodes d’intervention. Pour le labour,
les charrues à socs dominent toujours et l’augmen-
tation de puissance des tracteurs redonne de
l’importance aux modèles semi-portés ou traînés
à grande emprise et grand dégagement, dont
l’attelage peut être automatique, solution imposée
par un poids élevé et un porte-à-faux important ;
leur réglage est permis par l’intervention de vérins
puissants, et le travail est réalisé à grande vitesse.
by » ALPINA légère, montée sur deux petites
roues, à barre de coupe de 60 ou 80 cm, moteur
deux temps de 2,5 ch.
— S. D. G. : importe des U. S. A. une motohoue
ATLAS AIRE, à moteur BRIGGS et STRATTON
de 4 ch.
— SOLO : proposait un nouveau petit groupe
moteur « Solo-Combi » de 3 ch qui, dès sa sortie,
permet 20 solutions diverses, depuis la motohoue
jusqu’au groupe pour hors-bord, en passant par la
scie à chaîne, etc...etc.
— STAUB : parmi ses nombreuses proposi-
tions exposait la motohoue « Week End », dont
le nom se passe de commentaires.
— UNACOMA au sein de l’exposition italienne,
proposait des matériels de diverses marques.
MOTO GUZZI (MATHAY MANDEURE) :
motofraise « MZO »,
BEDOGNI : motofaucheuse «Olympia»,
CAB : motoculteur RINGO « M 12 »,
etc.
— WOLSELEY n’a pas changé ses fabrications
mais il semblerait que la charrue réversible à
claire-voie, du type rizicole (Japon), se vendrait
bien en France.
— Z. A. F. (TECA) que nous citons enfin, est
une petite monochenille de 8 ch, à moteur 4 temps,
3 vitesses AV et 1 AR, qui pousse un corps de
charrue réduit.
Nous ne reviendrons pas sur ce que nous avons
dit antérieurement quant aux faibles possibilités
actuelles d’utilisation générale des motoculteurs
ou motohoues dans les conditions tropicales
d’emploi, particulièrement lors du précédent Salon
en prenant appui sur les résultats décevants d’une
enquête lancée par le G. E. E. M. A. T., tant auprès
de la Profession que des Utilisateurs. Si nous avons,
ci-dessus, partiellement, satisfait à notre souci
technique d’information, ce n’est pas parce que les
utilisations limitées auxquelles nous avions fait
allusion, nous paraissent être en cours d’augmen-
tation, mais c’est parce que des expériences d’emploi
se développent actuellement, surtout en Sta-
tions de Recherche, pour tester pratiquement les
possibilités (polyvalence et résistance des équipe-
ments) des engins et apprécier la rentabilité compa-
rée de leur utilisation ainsi que les difficultés de
conduite.
Nous souhaitons que ces expériences, conduites
dans des conditions particulières, se multiplient
et, surtout, que tous les résultats soient satisfai-
sants. Ce serait déjà une conclusion favorable,
avant qu’on puisse aborder une éventuelle diffu-
sion dans certaines « opérations » paysannales
bien encadrées et pour des cultures relativement
payantes.
Il semble que pour les motofaucheuses, dont
certains modèles rustiques sont utilisés çà et là,
Des solutions SOLO COMBI.
surtout pour l’entretien de « gazons » divers,
quand ce n’est pas — très rarement — pour celui
de cultures pérennes très bien réalisées, une éven-
tuelle possibilité soit envisageable, pour pallier
les difficultés rencontrées dans la récolte de cer-
tains fourrages.
II reste qu’en choisissant parmi la multitude des
propositions et des équipements, on peut satis-
faire tous les besoins, à condition que les maté-
riels soient utilisés sur des terres relativement
civilisées, par des conducteurs très bien choisis.
Matériels culturaux.
En partant d’une terre habituellement cultivée,
la gamme des machines traditionnelles ayant à
intervenir pour préparer le lit de semis, mettre
en place la semence et entretenir la culture, était
importante, mais les méthodes peu nombreuses.
Après la diversification de ces dernières, amenant
d’autres propositions d’engins permises par l’équi-
pement des tracteurs, l’augmentation de la puis-
sance de ceux-ci a accru encore le nombre des
appareils ; en même temps que le souci de renta-
bilisation économique de l’emploi des engins de
traction accélérait le mouvement, en mettant les
améliorations foncières à la portée directe du
paysan.
Actuellement, ce dernier peut trouver au S. I. M. A.
à peu près tous les matériels à utiliser depuis le
défrichement jusqu’à l’entretien de ses cultures,
tant à l’aide d’engins spéciaux qu’en recourant
à des solutions polyvalentes, mais son choix est
d’autant plus compliqué qu’il doit opter pour
diverses méthodes d’intervention. Pour le labour,
les charrues à socs dominent toujours et l’augmen-
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