L'enseignement colonial dans tes lycées et collèges.
IXros le ijue»»k>iHnïiv dressé pour le tkuijîtè* de Colontsilfcm du mois de iuar* dernier, on a pu rem rquer parmi les sujets d'étude proposés, celui de I tii>etxneiitrri| colonial dan* les lycée* cl collèg?*. Jlgnorçsi la question a été abordée, et dan* I|M^1 sens t I ». Kn tout cas, il nie semble qu'il ne *era pas mauvais de lîw'r àce point de vue un certain nombre de vérités, d'ailleur* presque évidentes. lYnt-èlre le* lecteur* de» AttiuiUt foliinùiks Irouvcronl- ils" que ces préoccupai* >n> ne sont pas déplacées»dan* une revue dont le but principal c»t l» propagande coloniale, sou* toutes ses forme*.
J'indique d abord qu'il n'entre nullement clan* nia pèiisée de critiquer le* iimiveauv programmes scctmdaircs. Kneequi concerne la place laissée au*, questions coloniales, il? ne diffèrent pas beaucoup des anciens. Et nul ne sau- rait, d'ailleurs, préjuger à l'heure actuelle quels KM>>nt leurs résultats, puis- qu'on ne le» a pas encore appliqués intégralement. Mais il doit être |>ermis à quiconque enseigne d'avoir et d'exprimer en toute franchise son opinion, >ur les matières, sur le but ei sur les moièns de son enseignement, le Wen ne peut, en pareilcj>, «pie résulter de lëcbange des idée*.
Dans les lycées et collèges, lëtùfle des questions coloniales se trouve natu- rellement répartie entre les classes d'histoire et celles de géographie.
Or, le professeur d'histoire petit, sans auctiit doute, s/il utilise bien les lieuresdont il dispose;-"(au moinsdeut par semaine danschaque classe?,et Vil lient compte de lesprit vraiment largeel fécond des nouveaux program- mes, donner au* enfant* toutes les notions que comporte une culture géné- raie sur le passé colohialdes divers peuples. J'ajoute même que nous devons, d'après là rédaction du sommaire oftieiel du cours de philosophie, munir tes jeunes gens qui vont quitter les classes d'idées d ensemble nettes et de
(i) Le eompte-renila p. »V> et SUIT.) n'en porte paj trace-
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