Ouand je vous aurai dit que l'Angleterre- est une Me, vous eu saurtv autant «iuc mol *ur «on histoire », Ainsi •'évprinviîl Hieliclet au début dï»n «le »e* cour*. Il *rntbie naturel, en eflèl, que ce pav* in*u|airtf,quî n'est pa», «niume |« r'rance,*b'>orbé par U politique de frontière», ail do île tout temps *>nger & l'cnnilrç des mer*. Kl pourtant, I\\n8lclcrre que nous connaî»^>, avec «a •uprênutie maritime, commercial cl industrielle, est tout à fait moderne, n'ç*t <|«i a« divhuitième siècle que ce « blocde for et de houille »u milieu de l'Océan -, cette nation, qui |»o$$ède aujourd'hui le cinquième •lu globe terrestre avec le quart de se* habitants, est .devenue la première de* {•uissance* colonial». Malgré le* avantages de sa situation, elle s'était laissé devancer par le lV>rtugal, l'Kspagne, la Hollande et la France.
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Jusqu'au milieu du septième siècle, l'Angleterre resta ce qu'elle était au ! but de la guerre de Cent'Annuité terre de bons laboureur* el de bon* soi-' •!»t* d'infanterie. Klle ne prit, pour ainsi dire, aucune part aux grande* «iôcouve rle*. 1/unilé n'était point faite dans file, et ni sa faible population «le « millions habitant*, ni «on industrie encore à créer, ni ioncominerce, •lui ne faisait que nailre.ne lui rendaient nécessaire la lechcrchcde déboii- • V-* coloniau v.
^us le règne d KlUabcth seulement wmmence son histoire coloniale. Mai* combien de* for* est mélliodiquc et sûre sa marche à la conquête des mer* cl du commerce universel !
l'ne première périodede préparation et d'apprentissage, pendant laquelle l'Angleterre prend graduellement conscience de » vocation pour la mer par I « evploit* de Se* corsaire» et de ses flibustier*, rsl terminée par la destruc- ii'»nidel'Armada espagnole.
I>jh* uiKMieuvième période, le despotisme |M>litk|ùè clreUgicu*, desSluarts, •-uincidant d'ailleurs avec une redoutable crise économique causée |or la
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