hnirsalisfaireauquestionnaireque tous nie biles l'honneur de madrés- ».r à propos du problème marocain, laissez-moi (ont d'abord substituer à iifii lifimblc personnalilérécritain — à peu près ignoré de non* — qui s'est ftii MI Angleterre, au cour* de ces dernières années, «ne spécialité de* eho- - -ilii \f.iror.M. Bcrccrr Meut* est. en effet, parmi ses compatriotes, un de ■ •H* qui connaissent le miem ce pajs si près de nous parla distance, si éloi> -: '■ |or les nnnir» et l'intolérance de ses habitants ; il l'arliuliésur place et I i.t-mps dans ses moindre» détail* cl acoriMgné le fruit de ses patientes r^!t loti* r»nceie« sans peine combien il est intéressant et même piquant dan* !■ * circonstances actuelles de mettre sous les jem du lecteur français I o- !-Fniond'un étranger, peut-être d'une nalion.el, qui plus est, d'une nation m île de la nôtre. Je nie contenterai de conclure en peu de mots sur les don- t:• '• '* de mon auteur, et ce sera ma réponse à »otre question : que deions- :. -ii* f.iîre ? . '
■ lx* Anglais qui connaissent peu le Mann- et qui s'en soucient encore !n>iii«.sonl incapables rie comprendre que Ion veuille mettre la main sur • • paj* ilont la France s'est assuré la pw«cs*itwi. S'-parée du Maroc par une fï« .nlière san* défenses — liien définie seulenienl sur le pa|>icrt à telle rn*CH -<. •l'i'une KflifioUhn f« i t'impyse est à tout moment sur le point d'être
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