Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1919-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1919 01 janvier 1919
Description : 1919/01/01 (N1)-1919/12/31 (N12). 1919/01/01 (N1)-1919/12/31 (N12).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k98041559
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 22/10/2017
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- SOMMAIRE
- Nos 1 et 2
- Nos 3 et 4
- Nos 5 et 6
- .......... Page(s) .......... 107
- .......... Page(s) .......... 111
- Nos 7 et 8
- Nos 9 et 10
* RENSEIGNEMENTS COLONIAUX
terre, que, malgré l'aide de l'Amérique, elle abandonne
toute continuation de la lutte et se résolve à nous con-
céder un dominion direct ou indirect sur la Belgique,
même alors nous devrions dire :
« Pas la Belgique, mais l'Afrique ;pas les charbonnages
de Charleroi, mais Ja Nigeria ; pas Zeebruge, mais les
Açores et les îles du Cap Vert ; pas Anvers, mais Lagos,
Zanzibar et l'Uganda, et Gibraltar pour l'Espagne ; pas
d'avantages économiques dus à des traités de commerce
extorqués à l'ennemi mais des indemnités de guerre soit en
argent comptant, soit en matières premières ». Si notre
victoire est assez complète nous pouvons espérer réunir
toute l'Afrique centrale, notre vieux Sud-Ouest, sous
notre main : Sénégambie, Sierra-Leone, Gold-Coast, la po-
puleuse Nigéria avec son port Lagos, le Cameroun, les
luxuriantes îles de San-Tomé, de Principe, les Congos fran-
çais et belge, l'Angola, ses immenses réserves et ses excel-
lents ports, la région du Katanga, riche en minerais, la
Rhodésia du Nord, le Nyassaland, le Mozambique avec là
baie de Delagoa, Madagascar, l'Est Africain Allemand,
Zanzibar, l'Uganda, en y ajoutant les deux ports bien amé-
nagés de Ponta Delgada dans les Açores, l'une des stations
charbonnières lesplus importantes et les plus fréquentées
du monde, ainsi que Horta, l'une des plus importantes
stations centrales du câble télégraphique Transatlantique.
« Il y a peu de points dans l'océan Atlantique aussi
admirablement situés au point de vue de la circulation ma-
ritime, aussi importants au point de vue de la géographie
politique, aussi forts au point de vue de la stratégie mili-
taire et navale que les Açores, dès qu'elles se trouveront
en la possession d'une puissance possédant une flotte
puissante, ainsi que l'écrit Hans Meyer dans sa Deutsche
Politik » (p. 20).
Aujourd'hui elles appartiennent au Portugal qui est en
guerre avec nous. C'est au Portugal qu'appartiennent en-
core aujourd'hui les îles du Cap Vert, avec le port de Porto-
Grande, également l'une des stations charbonnières les
plus fréquentées de l'océan Atlantique oriental.
Est-il vrai que nous ne puissions avoir aucune satisfac-
tion dans la possession d'un empire colonial, que nous
devions nous trouver dans la situation de « détenteurs
précaires » aussi longtemps que nous n'intimiderons pas
l'Angleterre d'une manière permanente par l'occupation
de la côte flamande? Il est impossible d'imaginer supersti-
tion plus dénuée de fondement. A supposer que les ,( U-
boats » manquent à détruire effectivement dans cette
guerre l'hégémonie maritime anglaise; à supposer même
que l'Angleterre nous demeure d'une manière permanente
supérieure sur mer, même alors cette Afrique centrale
allemande sera assez puissante en elle-même pour re-
pousser toute attaque venue de l'extérieur. Est-ce que
notre Afrique orientale, telle qu'elle est, ne s'est pas main-
tenue par elle-même pendant près de trois ans sans rien
autre que ses propres forces ? 11 nous faudra équiper notre
empire africain en armes, en fabriques et en dépôts de
munitions, de telle sorte qu'il soit apte à « tenir son bout »
contre un monde d'ennemis. Grâce à nos « U-boats » de
commerce, cet empire resterait en communication avec la
mère-patrie même en supposant, une fois encore, les An-
glais complètement maîtres de la mer. Un certain nombre
d'U-boats de guerre, stationnés là, assureraient la défense
des îles et de leurs ports même contre les cuirassés an-
glais. Les Anglais consentiront-ils jamais à nous concéder
un tel empire colonial ? J'espère qu'ils y seront forcés. Si
on les met en face de cette alternative : ou bien nous per-
mettre d'avoir de telles colonies, ou bien nous voir éta-
blir un Dominion direct ou indirect sur la Belgique, il leur
deviendra plus facile de nous laisser avoir l'empire colonial.
IV. — Hermann Oncken.
Un autre nom à peine moins connu que celui
de lians Delbrück est celui du professeur d'his-
toire d'Heidelberg, Hermann Oncken, éditeur de
la grande histoire allemande universelle. Oncken,
comme Delbrück, est un « modéré », un adver-
saire des pangermanistes, l'un des hommes dis-
tingués qui formèrent le « Comité national alle-
mandjpour la préparation d'une paix honorable »,
comité créé dans l'été de 1916 pour combattre la
propagande pangermaniste et soutenir Bethmann
Hollweg. Il y a quelques mois (en 1917) Hermann
Oncken a publié un.petit opuscule intitulé : Das
alte und das Neue Mittel Europa (La vieille et
la nouvelle Mittel Europa), au cours duquel il
consacra quelques pages à la Mittel Afrika :
Pour déjouer complètement les calculs de l'Angleterre, il
sera nécessaire que le programme de guerre allemand, au
lieu de se confiner à la Mittel Europa, s'assigne, en lignes
fermes et nettes, en outre et au delà, un autre but suscep-
tible d'être atteint. Ce but ne doit pas consister en annexions
à l Ouest (programme pangermaniste), annexions que nous
pourrions avoir tendance à demander au vu de la situation
militaire, mais bien à utiliser nos succès militaires qui
nous ont donné des gages en dehors de nos frontières en
Belgique et dans le Nord de la France, pour obtenir des com-
pensations en Afrique. Si aujourd'hui l'Angleterre poursuit
la guerre avec d'aussi intenses efforts, c'est pour nous dé-
pouiller de ces gages ; tant qu'elle ne les aura pas recou-
vrés, elle ne peut avec sécurité engranger ses gains colo-
niaux ni mener la guerre économique à une fin victo-
rieuse. L'Angleterre combat pour un but de guerre situé
hors d'Europe. Nous, de notre côté, nous combattons en
Flandre et en Champagne, en premier lieu, contre la vo-
lonté implacable qui veut arracher, du corps de l'Empire,
des terres allemandes, mais également, d'une manière
indirecte, pour recouvrer notre territoire colonial et l'aug-
menter. Nous combattons pour l'empire de l'Afrique cen-
trale.
Notre expérience de cette guerre nous a appris que nos
possessions coloniales dispersées ne pouvaient tenir en
temps de guerre, contre la puissance navale britannique.
En ce sens, les paroles que Bismarck adressait à l'Angle-
terre, quand nous avons inauguré une politique coloniale,
se sont trouvées vérifiées : «Nous stvons que vous pouvez
attaquer nos colonies avec succès et que nous ne pour-
rons user de représailles, parce que vous avez la maîtrise
de la mer.» Ce qu'il nous faut, c'est un empire colonial
que nous ne devions pas au bon plaisir de l'Angleterre, un
empire qui se suffise si bien à lui-même qu'il puisse
compter sur ses propres forces pour assurer Sd défense.
Le fait qu'un corps de héros germains d'importance numé-
rique tout à fait faible a pu tenir l'Afrique orientale pen-
dant trois années a prouvé qu'un territoire d'outre-mer
suffisamment étendu, avec une population nombreuse,
peut se défendre par ses propres ressources, même s'il
est coupé de la mère-patrie. Après cette expérience, nous
sommes fondés à dire qu'une Afrique allemande traver-
sant toute l'étendue du continent africain possèderait
effectivement, et même à un plus haut degré, cette apti-
tude à se défendre elle-même. En vérité, si les commulJi.
cations militaires et le recrutement indigène étaient con-
venablement organisés, si des escales et des stations
charbonnières étaient établies en rapport avec notre nou-
velle arme l'U Boat, un territoire continu d'etendue suffi-
sante serait rendu pratiquement inattaquable. Si, avant la
guerre, le caractère fragmentaire de nos possessions colo-
niales constituait une faiblesse de notre position mondiale,
leur réunion signifierait un renforcement de notre position
qui rayonnerait au-dehors et assurerait à notre puissance
mondiale une influence ressentie bien loin au delà de nos
frontières (eine Starkung vcn innen Aérais, die sich auch
nach aussen hin machtpolitische Geltung verschaffen ïuird).
Ce n'est pas à dire pour cela que, à moins de posséder le
contrôle de la côte flamande avec les avantages navals
qui s'y attachent, nous ne puissions sentir nos posses-
sions coloniales en sécurité, — ce n'est pas à dire non
plus que, pour assurer la défense de nos colonies contre
l'Angleterre, il nous faille tenir en nos mains, comme con-
dition indispensable, le célèbre « pistolet pointé au cœur
de l'Angleterre » (Anvers). Il existe un autre procédé, et
plus sûr.
Il nous est possible de consentir des sacrifices sur d'au-
tres points pour acquérir un dominion colonial étendu et
compact. Si l'on entend restaurer de toute façon le statu
BBN8EIGNEMBNTB COLONIAUX. — NOS 1 et 2 . ***
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terre, que, malgré l'aide de l'Amérique, elle abandonne
toute continuation de la lutte et se résolve à nous con-
céder un dominion direct ou indirect sur la Belgique,
même alors nous devrions dire :
« Pas la Belgique, mais l'Afrique ;pas les charbonnages
de Charleroi, mais Ja Nigeria ; pas Zeebruge, mais les
Açores et les îles du Cap Vert ; pas Anvers, mais Lagos,
Zanzibar et l'Uganda, et Gibraltar pour l'Espagne ; pas
d'avantages économiques dus à des traités de commerce
extorqués à l'ennemi mais des indemnités de guerre soit en
argent comptant, soit en matières premières ». Si notre
victoire est assez complète nous pouvons espérer réunir
toute l'Afrique centrale, notre vieux Sud-Ouest, sous
notre main : Sénégambie, Sierra-Leone, Gold-Coast, la po-
puleuse Nigéria avec son port Lagos, le Cameroun, les
luxuriantes îles de San-Tomé, de Principe, les Congos fran-
çais et belge, l'Angola, ses immenses réserves et ses excel-
lents ports, la région du Katanga, riche en minerais, la
Rhodésia du Nord, le Nyassaland, le Mozambique avec là
baie de Delagoa, Madagascar, l'Est Africain Allemand,
Zanzibar, l'Uganda, en y ajoutant les deux ports bien amé-
nagés de Ponta Delgada dans les Açores, l'une des stations
charbonnières lesplus importantes et les plus fréquentées
du monde, ainsi que Horta, l'une des plus importantes
stations centrales du câble télégraphique Transatlantique.
« Il y a peu de points dans l'océan Atlantique aussi
admirablement situés au point de vue de la circulation ma-
ritime, aussi importants au point de vue de la géographie
politique, aussi forts au point de vue de la stratégie mili-
taire et navale que les Açores, dès qu'elles se trouveront
en la possession d'une puissance possédant une flotte
puissante, ainsi que l'écrit Hans Meyer dans sa Deutsche
Politik » (p. 20).
Aujourd'hui elles appartiennent au Portugal qui est en
guerre avec nous. C'est au Portugal qu'appartiennent en-
core aujourd'hui les îles du Cap Vert, avec le port de Porto-
Grande, également l'une des stations charbonnières les
plus fréquentées de l'océan Atlantique oriental.
Est-il vrai que nous ne puissions avoir aucune satisfac-
tion dans la possession d'un empire colonial, que nous
devions nous trouver dans la situation de « détenteurs
précaires » aussi longtemps que nous n'intimiderons pas
l'Angleterre d'une manière permanente par l'occupation
de la côte flamande? Il est impossible d'imaginer supersti-
tion plus dénuée de fondement. A supposer que les ,( U-
boats » manquent à détruire effectivement dans cette
guerre l'hégémonie maritime anglaise; à supposer même
que l'Angleterre nous demeure d'une manière permanente
supérieure sur mer, même alors cette Afrique centrale
allemande sera assez puissante en elle-même pour re-
pousser toute attaque venue de l'extérieur. Est-ce que
notre Afrique orientale, telle qu'elle est, ne s'est pas main-
tenue par elle-même pendant près de trois ans sans rien
autre que ses propres forces ? 11 nous faudra équiper notre
empire africain en armes, en fabriques et en dépôts de
munitions, de telle sorte qu'il soit apte à « tenir son bout »
contre un monde d'ennemis. Grâce à nos « U-boats » de
commerce, cet empire resterait en communication avec la
mère-patrie même en supposant, une fois encore, les An-
glais complètement maîtres de la mer. Un certain nombre
d'U-boats de guerre, stationnés là, assureraient la défense
des îles et de leurs ports même contre les cuirassés an-
glais. Les Anglais consentiront-ils jamais à nous concéder
un tel empire colonial ? J'espère qu'ils y seront forcés. Si
on les met en face de cette alternative : ou bien nous per-
mettre d'avoir de telles colonies, ou bien nous voir éta-
blir un Dominion direct ou indirect sur la Belgique, il leur
deviendra plus facile de nous laisser avoir l'empire colonial.
IV. — Hermann Oncken.
Un autre nom à peine moins connu que celui
de lians Delbrück est celui du professeur d'his-
toire d'Heidelberg, Hermann Oncken, éditeur de
la grande histoire allemande universelle. Oncken,
comme Delbrück, est un « modéré », un adver-
saire des pangermanistes, l'un des hommes dis-
tingués qui formèrent le « Comité national alle-
mandjpour la préparation d'une paix honorable »,
comité créé dans l'été de 1916 pour combattre la
propagande pangermaniste et soutenir Bethmann
Hollweg. Il y a quelques mois (en 1917) Hermann
Oncken a publié un.petit opuscule intitulé : Das
alte und das Neue Mittel Europa (La vieille et
la nouvelle Mittel Europa), au cours duquel il
consacra quelques pages à la Mittel Afrika :
Pour déjouer complètement les calculs de l'Angleterre, il
sera nécessaire que le programme de guerre allemand, au
lieu de se confiner à la Mittel Europa, s'assigne, en lignes
fermes et nettes, en outre et au delà, un autre but suscep-
tible d'être atteint. Ce but ne doit pas consister en annexions
à l Ouest (programme pangermaniste), annexions que nous
pourrions avoir tendance à demander au vu de la situation
militaire, mais bien à utiliser nos succès militaires qui
nous ont donné des gages en dehors de nos frontières en
Belgique et dans le Nord de la France, pour obtenir des com-
pensations en Afrique. Si aujourd'hui l'Angleterre poursuit
la guerre avec d'aussi intenses efforts, c'est pour nous dé-
pouiller de ces gages ; tant qu'elle ne les aura pas recou-
vrés, elle ne peut avec sécurité engranger ses gains colo-
niaux ni mener la guerre économique à une fin victo-
rieuse. L'Angleterre combat pour un but de guerre situé
hors d'Europe. Nous, de notre côté, nous combattons en
Flandre et en Champagne, en premier lieu, contre la vo-
lonté implacable qui veut arracher, du corps de l'Empire,
des terres allemandes, mais également, d'une manière
indirecte, pour recouvrer notre territoire colonial et l'aug-
menter. Nous combattons pour l'empire de l'Afrique cen-
trale.
Notre expérience de cette guerre nous a appris que nos
possessions coloniales dispersées ne pouvaient tenir en
temps de guerre, contre la puissance navale britannique.
En ce sens, les paroles que Bismarck adressait à l'Angle-
terre, quand nous avons inauguré une politique coloniale,
se sont trouvées vérifiées : «Nous stvons que vous pouvez
attaquer nos colonies avec succès et que nous ne pour-
rons user de représailles, parce que vous avez la maîtrise
de la mer.» Ce qu'il nous faut, c'est un empire colonial
que nous ne devions pas au bon plaisir de l'Angleterre, un
empire qui se suffise si bien à lui-même qu'il puisse
compter sur ses propres forces pour assurer Sd défense.
Le fait qu'un corps de héros germains d'importance numé-
rique tout à fait faible a pu tenir l'Afrique orientale pen-
dant trois années a prouvé qu'un territoire d'outre-mer
suffisamment étendu, avec une population nombreuse,
peut se défendre par ses propres ressources, même s'il
est coupé de la mère-patrie. Après cette expérience, nous
sommes fondés à dire qu'une Afrique allemande traver-
sant toute l'étendue du continent africain possèderait
effectivement, et même à un plus haut degré, cette apti-
tude à se défendre elle-même. En vérité, si les commulJi.
cations militaires et le recrutement indigène étaient con-
venablement organisés, si des escales et des stations
charbonnières étaient établies en rapport avec notre nou-
velle arme l'U Boat, un territoire continu d'etendue suffi-
sante serait rendu pratiquement inattaquable. Si, avant la
guerre, le caractère fragmentaire de nos possessions colo-
niales constituait une faiblesse de notre position mondiale,
leur réunion signifierait un renforcement de notre position
qui rayonnerait au-dehors et assurerait à notre puissance
mondiale une influence ressentie bien loin au delà de nos
frontières (eine Starkung vcn innen Aérais, die sich auch
nach aussen hin machtpolitische Geltung verschaffen ïuird).
Ce n'est pas à dire pour cela que, à moins de posséder le
contrôle de la côte flamande avec les avantages navals
qui s'y attachent, nous ne puissions sentir nos posses-
sions coloniales en sécurité, — ce n'est pas à dire non
plus que, pour assurer la défense de nos colonies contre
l'Angleterre, il nous faille tenir en nos mains, comme con-
dition indispensable, le célèbre « pistolet pointé au cœur
de l'Angleterre » (Anvers). Il existe un autre procédé, et
plus sûr.
Il nous est possible de consentir des sacrifices sur d'au-
tres points pour acquérir un dominion colonial étendu et
compact. Si l'on entend restaurer de toute façon le statu
BBN8EIGNEMBNTB COLONIAUX. — NOS 1 et 2 . ***
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