Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1917-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1917 01 janvier 1917
Description : 1917/01/01 (N1,A27)-1917/12/31 (N12,A27). 1917/01/01 (N1,A27)-1917/12/31 (N12,A27).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97885087
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/07/2017
148 BULLETIN DU COMITÉ
turcs. Rome régna pendant des siècles. Les Chaouïa, du
haut des montagnes, voyaient reluire au soleil les mar-
bres de Timgad, mais un jour qu'avait défailli la force ro-
maine, que s'était affaissé l'effort byzantin, les Berbères
se ruaient sur Timgad et le brûlaient. Ils avaient effacé
les souvenirs de Rome et aujourd'hui par un singulier re-
tour de destinée, ils les font revivre en déblayant les ruines
de Timgad sous les yeux de nos archéologues.
Il nous a semblé qu'il fallait couper court aux bruits
d'insoumission de l'Aurès et aux prédictions venimeuses
de l'Allemagne. Pendant que l'Allemagne attend le soulè-
vement de l'Aurès, nous y organisons le tourisme. Nous
vous offrons, Messieurs, de vous conduire sans escorte
dans les gorges de Tighanimine, de Rouffi, de Baniane et
de M'Chounech, où des maçons chaouïas construisent sans
créneaux ni meurtrières les bordjs qui vous abriteront.
Ainsi nous donnons à certains incidents une solution
humaine ; ainsi nous parachevons par l'école et par l'inva-
sion touristique, l'œuvre française dans la partie où elle
était restée en suspens.
Questions indigènes. — A plusieurs reprises au cours
de cet entretien, j'ai effleuré les questions indigènes.
Ai-je besoin de dire que si la guerre a ralenti quelques-uns
de nos desseins, notamment en matière scolaire, la sol-
licitude de la France s'est toutefois manifestée à leur égard
sous diverses formes? Faisons beaucoup pour eux, car ils
font beaucoup pour nous. Non pas que nous voulions éta-
blir une balance reciproque ni une comptabilité spéciale par
doit et avoir. Nous chercherons toujours à faire bonne
mesure, et dût notre bilan s'établir momentanément par
un déficit, nous resterions fidèles à la même inspiration
généreuse. En tout état de cause, nous sommes les plus
favorisés par notre degre de civilisation, et nous accom-
plissons une obligation sacrée à l'égard d'un peuple dont
une fatalité heureusement réparable a ralenti le pas dans
la voie du progrès. Nous sommes les éducateurs, c'est nous
qui devons ensemencer et donner sans compter.
Mais les musulmans ont fait en ces derniers temps pour
la France un effort trop visible pour n'être pas souligné.
Nous venons de lever l'intégralité de la classe 1917. Sur
30.000 conscrits du service armé et du service auxiliaire,
nous comptons tout juste 1 1/2 0/0 d'inscrits d'office. En-
core parmi ces inscrits d'office, beaucoup sont-ils morts
sans doute (car on ne peut faire fond sur l'exactitude de
nos états civils musulmans), d'autres embauchés antérieu-
rement en France dans les usines privées. Leur trace étant
perdue par la suppression du permis de voyage, ils ont
pu n'être pas touchés par les convocations. S'agit-il des
travailleurs pour les usines de guerre ? Nous en avons
demandé en septembre 17.500. Il en est venu 25,178. Ce
qui porte au chiffre imposant de 79.000 le nombre des tra-
vailleurs indigènes qui prêtent leur concours à l'industrie
et à l'agriculture métropolitaines.
Il est juste de dire que les salaires perçus par ces tra-
vailleurs constituent pour leur pays d'origine un élément
d'aisance considérable. Quelques chiffres seront éloquents.
Dans les communes kabyles situées entre l'Isser et la
Soummam , les salaires épargnés par les ouvriers et
rentrés au pays par voie de mandats postaux s'élevaient
en 1914 à 10.198.364 francs, en 1915 à 12.336.299 francs,
en 1916 à 17.287.021 francs Pour 1917, il faudra majorer
ces chiffres de moitié.
Ils deviennent plus frappants si on y ajoute les primes
touchées au départ par les soldats et les travailleurs, prime
dont une partie est dévolue à la famille, si on ajoute aussi
les allocations journalières qui approchent de 20 millions
en Algérie.
Vous avez à souffrir, Messieurs,de cet exode de la main-
d'œuvre ; mais la France en profite d'abord, et la civilisa-
tion ensuite. Cette collaboration dans la défense des inté-
rêts nationaux sera le meilleur ciment de la concorde
franco-indigène.
11 faut savoir gré également à nos indigènes de leur par-
ticipation à l'emprunt national de 1916. 14.906 d'entre eux
ont souscrit un capital de 2.867.000 francs; ceux qui ont
fait cet effort méritoire, ont dû surmonter des répugnances
restées chez beaucoup invincibles — pour les prêts à
intérêt. C'est un premier pas fait dans une voie nouvelle et
tout rentier se transformera en agent de propagande.
Aussi la France a-t-elle été bien inspirée en donnant aux
musulmans un témoignage éclatant du respect de leur foi
Elle a organisé aux lieux saints, malgré tous les obstacles
accumulés, un pèlerinage couronné d'un plein succès. Nous
sommes fiers de dire, appuyé sur des documents authen-
tiques, que les musulmans d'Algérie ont joué, dans cette
expédition, dont le caractère français autant que religieux
n'a échappé à personne, un rôle prépondérant, et qu'ils ont
fait impression par la dignité de leurs manières, par leur
tenue distinguée, par le degré de leur culture morale et
intellectuelle. Leur passage en Orient laissera des traces
ineffaçables. Votre sympathique collègue, M. l'Agha
Sahraoui était au premier rang des missionnaires français
à La Mecque. comme il avait été en 1915 au premier rang
des combattants de l'Yser.
Malgré l'état de guerre, nous avons pu créer cette année
l'école de maçonnerie d'Azazga, l'école de maçonnerie de
Dra-el-Mizan et l'école des tapis de Saint-Denis du Sig. Les
écoles de Dra-el Mizan et d'Azazga fonctionnent dans les
mêmes conditions que celles de Fort-National, de Michelet
et de la Soummam. Bientôt, une école de menuiserie sera
créée à la Soummam, Un office de travail pour l'utilisation
de la main d'oeuvre indigène sera prochainement institué et
nous avons confié à M. Rolland, inspecteur de l'enseigne-
ment agricole, une mission pour la création de petites
coopératives agricoles dont nous attendons des résultats
importants.
Constatant le loyalisme des indigènes, je me suis em-
pressé, dès le 31 décembre 1914, de détendre notablement
les liens de l'indigénat et d'en affranchir tous les indigènes
ayant un fils servant dans l armée à quelque titre que ce
soit. Par une circulaire du 8 août dernier, j'ai recommandé
de faire bénéficier de la même faveur les autres membres
de la famille. Notre arrêté du 11 septembre 1916 étend aux
militaires réformés n° 1 et n° 2 le bénéfice de la même
exemption.
Enfin le nombre des emplois à réserver aux anciens
militaires fixé par le décret du 19 septembre 1912 aux trois
quarts de l'effectif de certains emplois, vient d'être porté
aux 5/6 par décret du 1 ! janvier 1916. Un droit de préfé-
rence est accordé aux réformés n° 1 ou retraités par suite
d'infirmités contractées en service devant l'ennemi. Ces
dispositions ont.été notifiées à toutes les populations des
douars par des avis en langue arabe.
Notre préoccupation d'améliorer le sort des indigènes
matériellement et moralement est constante; non seulement
elle se traduit par la préparation de la réforme fiscale dont
nous avons parlé plus haut, mais aussi par des mesures
de détail ininterrompues. Elles ne font ni bruit ni tapage,
mais les indigènes les ressentent et ils nous en sont recon-
naissants.
La France bornera t-elle là l'expression de sa gratitude?
Ce serait pénétrer sur un domaine plus élevé que le nôtre
et dont la direction nous échappe.
bi le législateur devait intervenir, nous souhaiterions
qu'ils 'inspirât toujours des règles de l'évolution ration-
llelle, méthodique, qui dominent tous les progrès en matière
ethnique comme en matière scientifique. Et je terminerai
en citant une pensée du Père de Foucauld qui, depuis
douze années, s'était exilé au fond de notre territoire et
partageait son temps entre ses recherches scientifiques et
les soins qu'il prodiguait aux indigènes. Il écrivait le
13 janvier 1912 : « Il faut élever les peuples du Nord de
l'Afrique non pas par des lois, leur donnant d'un trait de
plume les mêmes devoirs et les mêmes droits qu'à nous
dont ils diffèrent si complètement, mais en travaillant à
leur donner l'aisance matérielle, une instruction spéciale,
une mentalité appropriée. Ce n'est pas l'œuvre d'un jour.
mais cela peut se faire, parce qu'en bonne philosophie il
est évident que c'est notre devoir de le faire et aussi parce
que l'expérience historique montre que cela s'est fait bien
des fois. »
Nous avons été consternés d'apprendre que le Père de
Foucauld a été assassiné le 1er décembre dernier. Sa
pensée, fruit de longues méditations, fortifiées sur l'expé-
rience, est exprimée avec simplicité dans une lettre intime.
Elle prend à notre oreille la solennité d'une voix d'outre-
tombe.
Nous rendrons compte prochainement de la
session des Délégations Financières.
turcs. Rome régna pendant des siècles. Les Chaouïa, du
haut des montagnes, voyaient reluire au soleil les mar-
bres de Timgad, mais un jour qu'avait défailli la force ro-
maine, que s'était affaissé l'effort byzantin, les Berbères
se ruaient sur Timgad et le brûlaient. Ils avaient effacé
les souvenirs de Rome et aujourd'hui par un singulier re-
tour de destinée, ils les font revivre en déblayant les ruines
de Timgad sous les yeux de nos archéologues.
Il nous a semblé qu'il fallait couper court aux bruits
d'insoumission de l'Aurès et aux prédictions venimeuses
de l'Allemagne. Pendant que l'Allemagne attend le soulè-
vement de l'Aurès, nous y organisons le tourisme. Nous
vous offrons, Messieurs, de vous conduire sans escorte
dans les gorges de Tighanimine, de Rouffi, de Baniane et
de M'Chounech, où des maçons chaouïas construisent sans
créneaux ni meurtrières les bordjs qui vous abriteront.
Ainsi nous donnons à certains incidents une solution
humaine ; ainsi nous parachevons par l'école et par l'inva-
sion touristique, l'œuvre française dans la partie où elle
était restée en suspens.
Questions indigènes. — A plusieurs reprises au cours
de cet entretien, j'ai effleuré les questions indigènes.
Ai-je besoin de dire que si la guerre a ralenti quelques-uns
de nos desseins, notamment en matière scolaire, la sol-
licitude de la France s'est toutefois manifestée à leur égard
sous diverses formes? Faisons beaucoup pour eux, car ils
font beaucoup pour nous. Non pas que nous voulions éta-
blir une balance reciproque ni une comptabilité spéciale par
doit et avoir. Nous chercherons toujours à faire bonne
mesure, et dût notre bilan s'établir momentanément par
un déficit, nous resterions fidèles à la même inspiration
généreuse. En tout état de cause, nous sommes les plus
favorisés par notre degre de civilisation, et nous accom-
plissons une obligation sacrée à l'égard d'un peuple dont
une fatalité heureusement réparable a ralenti le pas dans
la voie du progrès. Nous sommes les éducateurs, c'est nous
qui devons ensemencer et donner sans compter.
Mais les musulmans ont fait en ces derniers temps pour
la France un effort trop visible pour n'être pas souligné.
Nous venons de lever l'intégralité de la classe 1917. Sur
30.000 conscrits du service armé et du service auxiliaire,
nous comptons tout juste 1 1/2 0/0 d'inscrits d'office. En-
core parmi ces inscrits d'office, beaucoup sont-ils morts
sans doute (car on ne peut faire fond sur l'exactitude de
nos états civils musulmans), d'autres embauchés antérieu-
rement en France dans les usines privées. Leur trace étant
perdue par la suppression du permis de voyage, ils ont
pu n'être pas touchés par les convocations. S'agit-il des
travailleurs pour les usines de guerre ? Nous en avons
demandé en septembre 17.500. Il en est venu 25,178. Ce
qui porte au chiffre imposant de 79.000 le nombre des tra-
vailleurs indigènes qui prêtent leur concours à l'industrie
et à l'agriculture métropolitaines.
Il est juste de dire que les salaires perçus par ces tra-
vailleurs constituent pour leur pays d'origine un élément
d'aisance considérable. Quelques chiffres seront éloquents.
Dans les communes kabyles situées entre l'Isser et la
Soummam , les salaires épargnés par les ouvriers et
rentrés au pays par voie de mandats postaux s'élevaient
en 1914 à 10.198.364 francs, en 1915 à 12.336.299 francs,
en 1916 à 17.287.021 francs Pour 1917, il faudra majorer
ces chiffres de moitié.
Ils deviennent plus frappants si on y ajoute les primes
touchées au départ par les soldats et les travailleurs, prime
dont une partie est dévolue à la famille, si on ajoute aussi
les allocations journalières qui approchent de 20 millions
en Algérie.
Vous avez à souffrir, Messieurs,de cet exode de la main-
d'œuvre ; mais la France en profite d'abord, et la civilisa-
tion ensuite. Cette collaboration dans la défense des inté-
rêts nationaux sera le meilleur ciment de la concorde
franco-indigène.
11 faut savoir gré également à nos indigènes de leur par-
ticipation à l'emprunt national de 1916. 14.906 d'entre eux
ont souscrit un capital de 2.867.000 francs; ceux qui ont
fait cet effort méritoire, ont dû surmonter des répugnances
restées chez beaucoup invincibles — pour les prêts à
intérêt. C'est un premier pas fait dans une voie nouvelle et
tout rentier se transformera en agent de propagande.
Aussi la France a-t-elle été bien inspirée en donnant aux
musulmans un témoignage éclatant du respect de leur foi
Elle a organisé aux lieux saints, malgré tous les obstacles
accumulés, un pèlerinage couronné d'un plein succès. Nous
sommes fiers de dire, appuyé sur des documents authen-
tiques, que les musulmans d'Algérie ont joué, dans cette
expédition, dont le caractère français autant que religieux
n'a échappé à personne, un rôle prépondérant, et qu'ils ont
fait impression par la dignité de leurs manières, par leur
tenue distinguée, par le degré de leur culture morale et
intellectuelle. Leur passage en Orient laissera des traces
ineffaçables. Votre sympathique collègue, M. l'Agha
Sahraoui était au premier rang des missionnaires français
à La Mecque. comme il avait été en 1915 au premier rang
des combattants de l'Yser.
Malgré l'état de guerre, nous avons pu créer cette année
l'école de maçonnerie d'Azazga, l'école de maçonnerie de
Dra-el-Mizan et l'école des tapis de Saint-Denis du Sig. Les
écoles de Dra-el Mizan et d'Azazga fonctionnent dans les
mêmes conditions que celles de Fort-National, de Michelet
et de la Soummam. Bientôt, une école de menuiserie sera
créée à la Soummam, Un office de travail pour l'utilisation
de la main d'oeuvre indigène sera prochainement institué et
nous avons confié à M. Rolland, inspecteur de l'enseigne-
ment agricole, une mission pour la création de petites
coopératives agricoles dont nous attendons des résultats
importants.
Constatant le loyalisme des indigènes, je me suis em-
pressé, dès le 31 décembre 1914, de détendre notablement
les liens de l'indigénat et d'en affranchir tous les indigènes
ayant un fils servant dans l armée à quelque titre que ce
soit. Par une circulaire du 8 août dernier, j'ai recommandé
de faire bénéficier de la même faveur les autres membres
de la famille. Notre arrêté du 11 septembre 1916 étend aux
militaires réformés n° 1 et n° 2 le bénéfice de la même
exemption.
Enfin le nombre des emplois à réserver aux anciens
militaires fixé par le décret du 19 septembre 1912 aux trois
quarts de l'effectif de certains emplois, vient d'être porté
aux 5/6 par décret du 1 ! janvier 1916. Un droit de préfé-
rence est accordé aux réformés n° 1 ou retraités par suite
d'infirmités contractées en service devant l'ennemi. Ces
dispositions ont.été notifiées à toutes les populations des
douars par des avis en langue arabe.
Notre préoccupation d'améliorer le sort des indigènes
matériellement et moralement est constante; non seulement
elle se traduit par la préparation de la réforme fiscale dont
nous avons parlé plus haut, mais aussi par des mesures
de détail ininterrompues. Elles ne font ni bruit ni tapage,
mais les indigènes les ressentent et ils nous en sont recon-
naissants.
La France bornera t-elle là l'expression de sa gratitude?
Ce serait pénétrer sur un domaine plus élevé que le nôtre
et dont la direction nous échappe.
bi le législateur devait intervenir, nous souhaiterions
qu'ils 'inspirât toujours des règles de l'évolution ration-
llelle, méthodique, qui dominent tous les progrès en matière
ethnique comme en matière scientifique. Et je terminerai
en citant une pensée du Père de Foucauld qui, depuis
douze années, s'était exilé au fond de notre territoire et
partageait son temps entre ses recherches scientifiques et
les soins qu'il prodiguait aux indigènes. Il écrivait le
13 janvier 1912 : « Il faut élever les peuples du Nord de
l'Afrique non pas par des lois, leur donnant d'un trait de
plume les mêmes devoirs et les mêmes droits qu'à nous
dont ils diffèrent si complètement, mais en travaillant à
leur donner l'aisance matérielle, une instruction spéciale,
une mentalité appropriée. Ce n'est pas l'œuvre d'un jour.
mais cela peut se faire, parce qu'en bonne philosophie il
est évident que c'est notre devoir de le faire et aussi parce
que l'expérience historique montre que cela s'est fait bien
des fois. »
Nous avons été consternés d'apprendre que le Père de
Foucauld a été assassiné le 1er décembre dernier. Sa
pensée, fruit de longues méditations, fortifiées sur l'expé-
rience, est exprimée avec simplicité dans une lettre intime.
Elle prend à notre oreille la solennité d'une voix d'outre-
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