Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1912-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1912 01 janvier 1912
Description : 1912/01/01 (A22,N1)-1912/12/31 (A22,N12). 1912/01/01 (A22,N1)-1912/12/31 (A22,N12).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9788417v
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/07/2017
DE L'AFRIQUE FRANÇAISE 51
Le budget de 1911 comportait 12.250.000 marks
de dépenses, 11 millions de recettes et 3.500.000
marks de subvention officielle. Le budget extraor-
dinaire s'élève à 17.600.000 marks, le total des
emprunts coloniaux, à 127.500.000 marks.
CAMILLE MARTIN.
Chronique de l'Armée coloniale
Le racolage pour la légion étrangère. — Des bruits,
dénués d'ailleurs de toute espèce de vraisemblance, circulent
depuis quelque temps au sujet de prétendus racolages pour la
légion étrangère, dont il est bon de faire justice. Les journaux
français ont reproduit souvent des articles de journaux allemands,
notamment de la Strassburger Post, racontant qu'un nommé
Bertran, sujet allemand, racolait en Alsace-Lorraine et qu'il
recevait du bureau français de recrutement une gratification de
50 francs pour chaque recrue qu'il lui amenait pour la légion
étrangère.
Quel est le mobile qui pousse cet individu à se faire passer
pour un agent de la France? Il n'est que trop facile de le supposer,
et s'il fait parade d'une qualité qu'il ne possède point, c'est qu'il y
a certainement un intérêt. Ce n'est qu'un incident nouveau dans
la campagne menée en Allemagne contre la légion étrangère.
Dans tous les cas, il est faux que l'on recrute pour le compte de
la légion ni en Allemagne ni ailleurs et qu'une prime quelconque
soit payée aux engagés ou à des intermédiaires.
Racolage ou primes sont absolument inutiles dans la circon-
stance, car ainsi qu'on l'affirme au ministère de la Guerre, le
nombre des candidats à la légion est très supérieur aux besoins
et les bureaux de recrutement refusent une très forte proportion
des volontaires qui se présentent, et même de ceux qui remplis-
sent toutes les conditions d'aptitude physique.
Nominations. — Par décret du 30 décembre 1911, le colonel
Berdoulat, d'infanterie coloniale, breveté, chef du 1er bureau de
la direction des troupes coloniales au ministère de la Guerre, a
été nommé, à dater du 9 janvier 1912, directeur des troupes colo-
niales au ministère de la Guerre, en remplacement de M. le général
de brigade Lombard, promu à cette date. —Le colonel d'artillerie
coloniale Montané-Capdeboscq a été nommé aux fonctions de
directeur chef des services militaires à l'administration centrale du
département des Colonies. — Le colonel d'infanterie coloniale
Mordrelle a été nommé aux fonctions de sous-directeur dans les
mêmes services. — M. le général de division Frey, disponible,
est placé, à dater du 9 janvier 1912, dans la 2e section (réserve),
du corps de l'état-major général des troupes coloniales.
BIBLIOGRAPHIE
La Banque d'Etat du Maroc. Origine, organisation,
fonctionnement, par URBAIN JAEGER, docteur en droit.
Un volume de 250 pages. Arthur Rousseau, 14, rue Souf-
flot, Paris.
Aucune étude ne venait plus à son heure que celle de
M. U. Jaeger, sur la Banque d'Etat du Maroc. L'accord franco-
allemand, en consacrant l existence de l'organisme financier inter-
national à la naissance duquel présida la conférence d'Algésiras,
rappelle cette institution à l'attention de l'opinion publique et sou-
ligne combien est précieux l'effort destiné à combler une des
lacunes de nos connaissances marocaines, grâce à un travail exact
et pratique. Quelle fut l'origine de la Banque d'Etat du Maroc ?
Quelle en est l'organisation et le fonctionnement ? Telles sont les
questions auxquelles répond le volume de M. Jeager. Ces questions
divisent tout naturellement l'ouvrage en trois parties, dont la pre-
mière est l historique de sa fondation. Ces pages sont les moins
nouvelles de cet exposé. L'auteur a tenté une description du Maroc
un peu trop livresque — et encore qu'il s'appuie sur les meilleures
sources tout ce par quoi le flou des habitudes islamiques dérou-
tait les conceptions méthodiques des financiers européens n'a pas
été mis en évidence. Bien supérieur est le chapi#e relatif à
Algésiras. A l'aide des Livres Jaunes, du volume devenu classique
de M. Tardieu, l'auteur trace le tableau de la situation en
février 1906 : importance du rôle joué par la France dans la fon-
dation du crédit marocain, droits du consortium qui avait couver-
l'emprunt de 1"904, et d'autre part nécessité de conserver à l'orga-
nisme futur le caractère d'instrument de crédit et de régularisa-
tion qui l'empècha de devenir jamais un instrument politique ou
administratif, favorisant une action aux dépèns de l'égalité éco-
nomique. Nos représentants avaient élaboré un projet, auquel
s'opposa tout naturellement un contre-projet allemand, qui préco-
nisait, à prot'os de la constitution du capital, méconnaissait les
droits du consortium français. Les conseils d'administration et de
contrôle devenaient des organismes politiques au lieu de rester
simplement financiers. Nos représentants durent lutter vigoureu-
sement contre ces prétentions inadmissibles qui ont néanmoins
influé d'une manière très sensible sur l'organisation finale.
M. Jaeger débrouille d'une façon excessivement claire tout l'éche-
veau de ces longues et arides négociations en marquant le but
poursuivi par chacun, les formes, voire les roueries employées par
les adversaires pour en arriver à leurs fins, enfin les interventions
des personnalités influentes dont les suggestions aidèrent à la
réalisation de l'entente. S'il est ici pleinement rendu justice aux
talents du plénipotentiaire français, M. Revoil, qui résista à tant
d'assauts, évita tant de traquenards, on peut du moins s'étonner
qu'il ne soit pas dit un mot des efforts de M. Regnault qui, au
Comité de réduction joua un rôle équivalent à celui tenu dans les
autres réunions par le chef de la délégation française.
Il est impossible de suivre l'auteur dans tous les détails qu'il
donne sur la situation légale de la banque, sur les rapports avec
l'Etat marocain, ses attributions et ses organes. Cette dernière
partie est certainement, la plus nouvelle, la plus intéressante, celle
qui comble vraiment la lacune signalée au début.
Enfin, M. Jaeger examine comment a fonctionné l'institution,
son rôle vis-à-vis du trésor chérifien, son influence bienfaisante
— qui pourrait s'augmenter encore — sur la stabilisation du
cours des monnaies, et aussi sur l'aide qu'elle a apportée au déve-
loppement économique du Maroc. ici encore on eût aimé à voit
l'auteur rendre justice au labeur de M. Guiot, directeur du con-
trôle de la dette marocaine.
M. Jaeger, prépare une nouvelle édition de son travail qui
sera parfait quand il aura retouché çà et là quelques points très
secondaires. Aussi bien doit-on voir dans les réserves qui ont été
formulées, moins un désir exclusif de critique, qu'un souci d'ap-
porter, si petites fussent-elles, des petites indications de détail à
une œuvre qui restera comme un des types de monographie finan-
cière, œuvre indispensable à tous ceux qu'intéresse l'histoire
comme la mise en valeur du Maroc et dont le légitime succès
inspirera, inchah Allah, aux futurs docteurs en droit, le désir
d'étudier au lieu de thèse, d'une spécialisation un peu exclusive,
des sujets plus directement utiles et d'éclairer, par une étude et
des connaissances juridiques approfondies les problèmes généraux
que l'évolution des peuples pose chaque jour. J.-L. L.
L'Afrique Occidentale Française, par LOUIS
SONOLET. Un volume in-16 de 450 pages. Prix : 4 francs.
Hachette, 79, boulevard Saint-Germain.
L'an dernier, la littérature de l'Afrique Occidentale s'est enrichie
d'un certain nombre de volumes. Beauconp d'entre eux traitent de
questions spéciales : d'autres, au contraire, embrassent l'ensemble
du sujet. Parmi ces derniers, il faut citer l'étude très générale
toute de vulgarisation de M. Louis Sonolet, intitulée l'Afrique
Occidentale Française. Publiciste à la plume alerte et spiri-
tuelle, conteur attrayant, M. Sonolet ne s'était jusqu'ici jamais
essayé dans le genre colonial. Des colonies de l'Afrique Occiden-
tale, il avait seulement entendu parler par quelques-uns et non
des moindres qui, civils ou militaires, avaient si bien travaillé là-
bas, à l'expansion de la France. Quittant la vie parisienne,
M. Sonolet voulut aller visiter cette Afrique Occidentale dont on
lui disait le merveilleux développement. Il partit, voyagea en tous
sens, et s'il a beaucoup vu, il a aussi beaucoup retenu. En quelques
mois, il a pu juger l'œuvre grandiose entreprise dans l'Afrique
de l'Ouest. Et il rapporta de cette randonnée à travers les cinq
colonies de l'Afrique Occidentale l'excellent petit livre qu'il offre
au grand public.
Bien qu'il ait été brusquement transplanté de l'asphalte parisien
sur la terre africaine, M. Sonolet a su exposer clairement les
rouages administratifs de notre grande colonie. Il a pu voir à
l'œuvre le personnel administratif du haut en bas de l'échelle, il a
su rendre hommage au dévouement qu'il déploie et il se rencontre
à propos de ce jugement flatteur avec un jeune et actif parlemen-
Le budget de 1911 comportait 12.250.000 marks
de dépenses, 11 millions de recettes et 3.500.000
marks de subvention officielle. Le budget extraor-
dinaire s'élève à 17.600.000 marks, le total des
emprunts coloniaux, à 127.500.000 marks.
CAMILLE MARTIN.
Chronique de l'Armée coloniale
Le racolage pour la légion étrangère. — Des bruits,
dénués d'ailleurs de toute espèce de vraisemblance, circulent
depuis quelque temps au sujet de prétendus racolages pour la
légion étrangère, dont il est bon de faire justice. Les journaux
français ont reproduit souvent des articles de journaux allemands,
notamment de la Strassburger Post, racontant qu'un nommé
Bertran, sujet allemand, racolait en Alsace-Lorraine et qu'il
recevait du bureau français de recrutement une gratification de
50 francs pour chaque recrue qu'il lui amenait pour la légion
étrangère.
Quel est le mobile qui pousse cet individu à se faire passer
pour un agent de la France? Il n'est que trop facile de le supposer,
et s'il fait parade d'une qualité qu'il ne possède point, c'est qu'il y
a certainement un intérêt. Ce n'est qu'un incident nouveau dans
la campagne menée en Allemagne contre la légion étrangère.
Dans tous les cas, il est faux que l'on recrute pour le compte de
la légion ni en Allemagne ni ailleurs et qu'une prime quelconque
soit payée aux engagés ou à des intermédiaires.
Racolage ou primes sont absolument inutiles dans la circon-
stance, car ainsi qu'on l'affirme au ministère de la Guerre, le
nombre des candidats à la légion est très supérieur aux besoins
et les bureaux de recrutement refusent une très forte proportion
des volontaires qui se présentent, et même de ceux qui remplis-
sent toutes les conditions d'aptitude physique.
Nominations. — Par décret du 30 décembre 1911, le colonel
Berdoulat, d'infanterie coloniale, breveté, chef du 1er bureau de
la direction des troupes coloniales au ministère de la Guerre, a
été nommé, à dater du 9 janvier 1912, directeur des troupes colo-
niales au ministère de la Guerre, en remplacement de M. le général
de brigade Lombard, promu à cette date. —Le colonel d'artillerie
coloniale Montané-Capdeboscq a été nommé aux fonctions de
directeur chef des services militaires à l'administration centrale du
département des Colonies. — Le colonel d'infanterie coloniale
Mordrelle a été nommé aux fonctions de sous-directeur dans les
mêmes services. — M. le général de division Frey, disponible,
est placé, à dater du 9 janvier 1912, dans la 2e section (réserve),
du corps de l'état-major général des troupes coloniales.
BIBLIOGRAPHIE
La Banque d'Etat du Maroc. Origine, organisation,
fonctionnement, par URBAIN JAEGER, docteur en droit.
Un volume de 250 pages. Arthur Rousseau, 14, rue Souf-
flot, Paris.
Aucune étude ne venait plus à son heure que celle de
M. U. Jaeger, sur la Banque d'Etat du Maroc. L'accord franco-
allemand, en consacrant l existence de l'organisme financier inter-
national à la naissance duquel présida la conférence d'Algésiras,
rappelle cette institution à l'attention de l'opinion publique et sou-
ligne combien est précieux l'effort destiné à combler une des
lacunes de nos connaissances marocaines, grâce à un travail exact
et pratique. Quelle fut l'origine de la Banque d'Etat du Maroc ?
Quelle en est l'organisation et le fonctionnement ? Telles sont les
questions auxquelles répond le volume de M. Jeager. Ces questions
divisent tout naturellement l'ouvrage en trois parties, dont la pre-
mière est l historique de sa fondation. Ces pages sont les moins
nouvelles de cet exposé. L'auteur a tenté une description du Maroc
un peu trop livresque — et encore qu'il s'appuie sur les meilleures
sources tout ce par quoi le flou des habitudes islamiques dérou-
tait les conceptions méthodiques des financiers européens n'a pas
été mis en évidence. Bien supérieur est le chapi#e relatif à
Algésiras. A l'aide des Livres Jaunes, du volume devenu classique
de M. Tardieu, l'auteur trace le tableau de la situation en
février 1906 : importance du rôle joué par la France dans la fon-
dation du crédit marocain, droits du consortium qui avait couver-
l'emprunt de 1"904, et d'autre part nécessité de conserver à l'orga-
nisme futur le caractère d'instrument de crédit et de régularisa-
tion qui l'empècha de devenir jamais un instrument politique ou
administratif, favorisant une action aux dépèns de l'égalité éco-
nomique. Nos représentants avaient élaboré un projet, auquel
s'opposa tout naturellement un contre-projet allemand, qui préco-
nisait, à prot'os de la constitution du capital, méconnaissait les
droits du consortium français. Les conseils d'administration et de
contrôle devenaient des organismes politiques au lieu de rester
simplement financiers. Nos représentants durent lutter vigoureu-
sement contre ces prétentions inadmissibles qui ont néanmoins
influé d'une manière très sensible sur l'organisation finale.
M. Jaeger débrouille d'une façon excessivement claire tout l'éche-
veau de ces longues et arides négociations en marquant le but
poursuivi par chacun, les formes, voire les roueries employées par
les adversaires pour en arriver à leurs fins, enfin les interventions
des personnalités influentes dont les suggestions aidèrent à la
réalisation de l'entente. S'il est ici pleinement rendu justice aux
talents du plénipotentiaire français, M. Revoil, qui résista à tant
d'assauts, évita tant de traquenards, on peut du moins s'étonner
qu'il ne soit pas dit un mot des efforts de M. Regnault qui, au
Comité de réduction joua un rôle équivalent à celui tenu dans les
autres réunions par le chef de la délégation française.
Il est impossible de suivre l'auteur dans tous les détails qu'il
donne sur la situation légale de la banque, sur les rapports avec
l'Etat marocain, ses attributions et ses organes. Cette dernière
partie est certainement, la plus nouvelle, la plus intéressante, celle
qui comble vraiment la lacune signalée au début.
Enfin, M. Jaeger examine comment a fonctionné l'institution,
son rôle vis-à-vis du trésor chérifien, son influence bienfaisante
— qui pourrait s'augmenter encore — sur la stabilisation du
cours des monnaies, et aussi sur l'aide qu'elle a apportée au déve-
loppement économique du Maroc. ici encore on eût aimé à voit
l'auteur rendre justice au labeur de M. Guiot, directeur du con-
trôle de la dette marocaine.
M. Jaeger, prépare une nouvelle édition de son travail qui
sera parfait quand il aura retouché çà et là quelques points très
secondaires. Aussi bien doit-on voir dans les réserves qui ont été
formulées, moins un désir exclusif de critique, qu'un souci d'ap-
porter, si petites fussent-elles, des petites indications de détail à
une œuvre qui restera comme un des types de monographie finan-
cière, œuvre indispensable à tous ceux qu'intéresse l'histoire
comme la mise en valeur du Maroc et dont le légitime succès
inspirera, inchah Allah, aux futurs docteurs en droit, le désir
d'étudier au lieu de thèse, d'une spécialisation un peu exclusive,
des sujets plus directement utiles et d'éclairer, par une étude et
des connaissances juridiques approfondies les problèmes généraux
que l'évolution des peuples pose chaque jour. J.-L. L.
L'Afrique Occidentale Française, par LOUIS
SONOLET. Un volume in-16 de 450 pages. Prix : 4 francs.
Hachette, 79, boulevard Saint-Germain.
L'an dernier, la littérature de l'Afrique Occidentale s'est enrichie
d'un certain nombre de volumes. Beauconp d'entre eux traitent de
questions spéciales : d'autres, au contraire, embrassent l'ensemble
du sujet. Parmi ces derniers, il faut citer l'étude très générale
toute de vulgarisation de M. Louis Sonolet, intitulée l'Afrique
Occidentale Française. Publiciste à la plume alerte et spiri-
tuelle, conteur attrayant, M. Sonolet ne s'était jusqu'ici jamais
essayé dans le genre colonial. Des colonies de l'Afrique Occiden-
tale, il avait seulement entendu parler par quelques-uns et non
des moindres qui, civils ou militaires, avaient si bien travaillé là-
bas, à l'expansion de la France. Quittant la vie parisienne,
M. Sonolet voulut aller visiter cette Afrique Occidentale dont on
lui disait le merveilleux développement. Il partit, voyagea en tous
sens, et s'il a beaucoup vu, il a aussi beaucoup retenu. En quelques
mois, il a pu juger l'œuvre grandiose entreprise dans l'Afrique
de l'Ouest. Et il rapporta de cette randonnée à travers les cinq
colonies de l'Afrique Occidentale l'excellent petit livre qu'il offre
au grand public.
Bien qu'il ait été brusquement transplanté de l'asphalte parisien
sur la terre africaine, M. Sonolet a su exposer clairement les
rouages administratifs de notre grande colonie. Il a pu voir à
l'œuvre le personnel administratif du haut en bas de l'échelle, il a
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