Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1912-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1912 01 janvier 1912
Description : 1912/01/01 (A22,N1)-1912/12/31 (A22,N12). 1912/01/01 (A22,N1)-1912/12/31 (A22,N12).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9788417v
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/07/2017
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■202 - BULLETIN DU COMITÉ
poursuivre jusqu'à anéantissement ou jusqu'à
soumission complète les débris des bandes senous-
sistes sur lesquels on trouvera des renseignements
détaillés dans le rapport du capitaine Modat, dont
nous commençons la publication dans les Ren-
seignements Coloniaux du présent numéro.
CÔTE FRANÇAISE DES SOMALIS
Le commerce de 1911. — La Côte fran-
çaise des Somalis a fait, en 1911, un commerce
de 51.600.000 francs, déduction faite du mouve-
ment monétaire.
Aux 32.620.000 francs d'importations (supé-
rieures de 11 millions et demi à celles de 1910),
la France participe pour plus de 9 millions et demi.
Les tissus de coton écru y entrent pour 7.604.000
francs, et les tissus de coton blanchis pour 1.776.000
francs. On a compté pour 3.473.000 francs de car-
touches de guerre et 1.603.000 francs d'armes de
guerre, « plus-value tout à fait exceptionnelle —
dit la note de l'Office colonial— et résultat d'une
importation par navire japonais pour le compte
du gouvernement éthiopien de 20.000 fusils et
20 millions de cartouches pris aux Russes pen-
dant la dernière guerre ». Aden et l'Angleterre
figurentaux importations pourpres de 13millions,
la Belgique pour un peu moins de 2 millions,
l'Autriche pour 1.666.000 fr. et l'Allemagne seule-
ment pour 804.000 francs. Inutile de rappeler que
la plus grande part de l'importation va en Ethio-
pie, qui reçoit 22.708.000 francs sur les 32.620.000
francs d'importations totales.
Les exportations du cru de la colonie se sont
élevées à environ 19 millions, consistant surtout
en peaux, café, dents d'éléphants et cire. L'avan-
cée du chemin de fer qui est actuellement à 65
kilomètres de Diré-Daoua et 377 de Djibouti ne
fera qu'améliorer ces chiffres déja fort satisfai-
sants.
BIBLIOGRAPHIE
Une Ame de colonial : les lettres du lieute-
nant-colonel Mois, avec une préface de MAURICE
BARRÉS, de l'Académie française. Un yol. in-16 de XXVIII-
281 pages, avec un portrait et une carte ; 3 fr. 50. —
Emile-Paul. 100, faubourg Saint-Honoré.
« Accomplir de grandes choses en vue d'un idéal très net, que
ce soit la délivrance du tombeau du Christ ou l'établissement de
la France en Afrique et de toile manière qu'on en parle avanta-
geusement dans la chambre des dames, c'est le rêve constant des
jeunes Français à travers les siècles et c'est peut-être aussi l'oc-
cupation qu'il leur faut pour qu'ils ne glissent pas dans l'anar-
chie sociale ou dans l'anarchie intellectuelle. )) Ce rêve que
M. Maurice Barrés décrit en tête du livre où viennent d'être pu-
bliées les lettres que le lieutenant-colonel Mali écrivait du terri-
toire du Tchad à sa fiancée, la malheureuse victime du combat de
Doroté l'avait fait et presque réalisé quand il succomba, à la tète
de ses troupes, au combat du 9 novembre 1910. Les lecteurs de
l'Afrique française ont connu en leur temps ces événements.
Ce qu il- trouveront dans cé yohme, c'est bien l'ame du lieu-
tenant-colonel ~}okll. C,,, lettre iminiL-s évoquent mieux qu'un
récit les sentiments de i un Je nos « coloniaux ». Moll écrivait à
chaque courrier des lettres ou plutÔt des billets rapideE, pleins de
sentimentalité, niais pleins aussi des incidents de la vie de cam-
pagne et de la vie de brousse. A côté des pages de psychologie
émouvante et même romanesque qui ont fleuri sur les routes du
Ouadaï. des anecdotes vivement écrites, des petits tableaux
tracés d'une plume alerte évoquent excellemment les hommes et
les choses du territoire du Tchad. En voici un, pris à Bir-Taouil :
« Hier, tout l'après-midi, en faisant mon étape, mon regard se ré-
jouissait du très beau coloris sur les plaines et sur les collines
rocheuses sous de magnifiques effets de lumière. Il y avait des
montagnes toutes bleues, d'autres mauves, d'autres roses. Sur
les vallées lointaines on eût dit qu'était jetée une immense gaze
violine. Plus près, les pentes étaient couvertes de tapis grenat.
jonquille, émeraude, suivant les herbes qui recouvraient le sol.
C'était une orgie de nuances vives ou mortes Sous un ciel d'une
pureté incomparable et sous un soleil éclatant. »
Mais ce livre n'est pas seulement attrayant pour l'Africaiu et
pour l'artiste. Il se joue, à travers ces lettres rapides, tout un
drame moral singulièrement poignant : Moll avait sans cesse les
yeux tournés vers le foyer qui l'attendait à son retour en FTance
et disait à chaque jour sa joie du prochain retour, mais survient
le danger, le devoir, la marche nécessaire vers le Massalit et le
ton change a Me voici, écrit-il, en pleine action, faisant mon
métier de soldat, marchant vers de rudes sensations, sentant
peser sur moi de graves responsabilités, certain de ma valeur,
confiant dans ma troupe, ayant conscience de l'importance des
décisions que je prendrai et de l'étendue des conséquences qu'elles
peuvent avoir, sachant que du degré de sûreté de mon jugement
dépend la vie de nos hommes... Oh! comme je voudrais vous faire
bien comprendre le sentiment que j'éprouve et la satisfaction
que je savoure de jouer mon rôle d'homme et de soldat ! »
M. Maurice Barrès a dégagé dans une jolie préface l'enseigne-
ment de cette correspondance dont la publication fera mieux
comprendre l'âme de nos coloniaux et célébré « cette courte vie,
bien pleine, à la française, qui reçoit d'une mort sanglante et de
cette liasse de lettres passionnées, la poésie des destinées Ùúer-
rompues ». Les amis et les camarades de Moll trouveront aussi
dans ce livre élégant .et émouvant une reproduction du portrait
de Moll par Edouard Detaille et quelques pages de M. Auguste
Terrier résùmant la carrière africaine du jeune lieutenant-colonel
qui dort maintenant dans le cimetière d'Abéché.
L'Armée coloniale dans une guerre franco-
allemande, par J. VALLADE. Prix : i fr. W. — Edi-
tions et librairie, 40, rue de Seine, Paris.
Ce livre, écrit par un colonial de carrière, est une oeuvra d'\es-
pérance en l'avenir de l'armée et de la nation. TI esquisse le rôle
prépondérant que doit jouer l'armée coloniale dans la défense du
pays. Il combat de ce chef les projets Raiberti et Augagneur.
Il indique brièvement les rôles que, grâce à l'armée coloniale
seule, pourront jouer l'armée noire et Farinée berbère. Il s'adresse
ainsi, non seulement à tous les coloniaux, mais à tous les Fran-
çais qui s'intéressent aux choses de l'armée, à l'avenir de la race
et de la civilisation françaises.
Le Choc des races, par CHARLES GÉNIAUX ; 1 vol in-lC
de 320 pages ; 3 fr. 50. — Fayard, 18, rue Saiut-Gothard.
Dans' le cadre du roman, M. Géniaux étudie cette fois enenre
l'une des questions posées par le développement de l'Afrique du
Nord une Française peut-elle épouser un musulman? Et anloor
rie CI' problème nous voyons les divers types de la Tunisie: le
colon (Ill bled qui a encore la foi et cului qui ne l'a plus, celui
qui maltraite les « bicots » et celui qui veut les associer, les
Jeunes-Tunisiens. le vieil Arabe ruiné, le Juif âpre et le Tunisien
de vieille famille instruit, cultivé, mais qui ne renonce pas à, son
islam. Le coup de couteau d'un Sicilien jaloux empêche celui-ci
de devenir le mari de la jeune Française et la question reste posée.
M, Géniaux l'a du moins présentée avec tout son talent si apprécié
et si colore,
La rf g-ipolitaine d'hier et de demain, par H.-M.
DE MATHUISIEULX. Un volume in-16, illustré de 52 gra-
vures tirées hors texte et de 2 cartes en noir (Collection
de Voyages illustrés). Broché, 4 francs, cartonné toile,
5 fr. o0. — Hachette et Cie, Paris.
M. de Mathuisieulx est un des rares Européens qui ait pu
jusqu:à présent pénétrer dans l'intérieur de cette Tripolitaine que
les autorités turques tenaient jalousement fermée. lie 1901 à 190i.
il y remplit, dans un but d'études, quatre missions qui le portè-
rent jusqu'au cœur du pays.
De ce que fut, antérieurement aux invasions destructives de
■202 - BULLETIN DU COMITÉ
poursuivre jusqu'à anéantissement ou jusqu'à
soumission complète les débris des bandes senous-
sistes sur lesquels on trouvera des renseignements
détaillés dans le rapport du capitaine Modat, dont
nous commençons la publication dans les Ren-
seignements Coloniaux du présent numéro.
CÔTE FRANÇAISE DES SOMALIS
Le commerce de 1911. — La Côte fran-
çaise des Somalis a fait, en 1911, un commerce
de 51.600.000 francs, déduction faite du mouve-
ment monétaire.
Aux 32.620.000 francs d'importations (supé-
rieures de 11 millions et demi à celles de 1910),
la France participe pour plus de 9 millions et demi.
Les tissus de coton écru y entrent pour 7.604.000
francs, et les tissus de coton blanchis pour 1.776.000
francs. On a compté pour 3.473.000 francs de car-
touches de guerre et 1.603.000 francs d'armes de
guerre, « plus-value tout à fait exceptionnelle —
dit la note de l'Office colonial— et résultat d'une
importation par navire japonais pour le compte
du gouvernement éthiopien de 20.000 fusils et
20 millions de cartouches pris aux Russes pen-
dant la dernière guerre ». Aden et l'Angleterre
figurentaux importations pourpres de 13millions,
la Belgique pour un peu moins de 2 millions,
l'Autriche pour 1.666.000 fr. et l'Allemagne seule-
ment pour 804.000 francs. Inutile de rappeler que
la plus grande part de l'importation va en Ethio-
pie, qui reçoit 22.708.000 francs sur les 32.620.000
francs d'importations totales.
Les exportations du cru de la colonie se sont
élevées à environ 19 millions, consistant surtout
en peaux, café, dents d'éléphants et cire. L'avan-
cée du chemin de fer qui est actuellement à 65
kilomètres de Diré-Daoua et 377 de Djibouti ne
fera qu'améliorer ces chiffres déja fort satisfai-
sants.
BIBLIOGRAPHIE
Une Ame de colonial : les lettres du lieute-
nant-colonel Mois, avec une préface de MAURICE
BARRÉS, de l'Académie française. Un yol. in-16 de XXVIII-
281 pages, avec un portrait et une carte ; 3 fr. 50. —
Emile-Paul. 100, faubourg Saint-Honoré.
« Accomplir de grandes choses en vue d'un idéal très net, que
ce soit la délivrance du tombeau du Christ ou l'établissement de
la France en Afrique et de toile manière qu'on en parle avanta-
geusement dans la chambre des dames, c'est le rêve constant des
jeunes Français à travers les siècles et c'est peut-être aussi l'oc-
cupation qu'il leur faut pour qu'ils ne glissent pas dans l'anar-
chie sociale ou dans l'anarchie intellectuelle. )) Ce rêve que
M. Maurice Barrés décrit en tête du livre où viennent d'être pu-
bliées les lettres que le lieutenant-colonel Mali écrivait du terri-
toire du Tchad à sa fiancée, la malheureuse victime du combat de
Doroté l'avait fait et presque réalisé quand il succomba, à la tète
de ses troupes, au combat du 9 novembre 1910. Les lecteurs de
l'Afrique française ont connu en leur temps ces événements.
Ce qu il- trouveront dans cé yohme, c'est bien l'ame du lieu-
tenant-colonel ~}okll. C,,, lettre iminiL-s évoquent mieux qu'un
récit les sentiments de i un Je nos « coloniaux ». Moll écrivait à
chaque courrier des lettres ou plutÔt des billets rapideE, pleins de
sentimentalité, niais pleins aussi des incidents de la vie de cam-
pagne et de la vie de brousse. A côté des pages de psychologie
émouvante et même romanesque qui ont fleuri sur les routes du
Ouadaï. des anecdotes vivement écrites, des petits tableaux
tracés d'une plume alerte évoquent excellemment les hommes et
les choses du territoire du Tchad. En voici un, pris à Bir-Taouil :
« Hier, tout l'après-midi, en faisant mon étape, mon regard se ré-
jouissait du très beau coloris sur les plaines et sur les collines
rocheuses sous de magnifiques effets de lumière. Il y avait des
montagnes toutes bleues, d'autres mauves, d'autres roses. Sur
les vallées lointaines on eût dit qu'était jetée une immense gaze
violine. Plus près, les pentes étaient couvertes de tapis grenat.
jonquille, émeraude, suivant les herbes qui recouvraient le sol.
C'était une orgie de nuances vives ou mortes Sous un ciel d'une
pureté incomparable et sous un soleil éclatant. »
Mais ce livre n'est pas seulement attrayant pour l'Africaiu et
pour l'artiste. Il se joue, à travers ces lettres rapides, tout un
drame moral singulièrement poignant : Moll avait sans cesse les
yeux tournés vers le foyer qui l'attendait à son retour en FTance
et disait à chaque jour sa joie du prochain retour, mais survient
le danger, le devoir, la marche nécessaire vers le Massalit et le
ton change a Me voici, écrit-il, en pleine action, faisant mon
métier de soldat, marchant vers de rudes sensations, sentant
peser sur moi de graves responsabilités, certain de ma valeur,
confiant dans ma troupe, ayant conscience de l'importance des
décisions que je prendrai et de l'étendue des conséquences qu'elles
peuvent avoir, sachant que du degré de sûreté de mon jugement
dépend la vie de nos hommes... Oh! comme je voudrais vous faire
bien comprendre le sentiment que j'éprouve et la satisfaction
que je savoure de jouer mon rôle d'homme et de soldat ! »
M. Maurice Barrès a dégagé dans une jolie préface l'enseigne-
ment de cette correspondance dont la publication fera mieux
comprendre l'âme de nos coloniaux et célébré « cette courte vie,
bien pleine, à la française, qui reçoit d'une mort sanglante et de
cette liasse de lettres passionnées, la poésie des destinées Ùúer-
rompues ». Les amis et les camarades de Moll trouveront aussi
dans ce livre élégant .et émouvant une reproduction du portrait
de Moll par Edouard Detaille et quelques pages de M. Auguste
Terrier résùmant la carrière africaine du jeune lieutenant-colonel
qui dort maintenant dans le cimetière d'Abéché.
L'Armée coloniale dans une guerre franco-
allemande, par J. VALLADE. Prix : i fr. W. — Edi-
tions et librairie, 40, rue de Seine, Paris.
Ce livre, écrit par un colonial de carrière, est une oeuvra d'\es-
pérance en l'avenir de l'armée et de la nation. TI esquisse le rôle
prépondérant que doit jouer l'armée coloniale dans la défense du
pays. Il combat de ce chef les projets Raiberti et Augagneur.
Il indique brièvement les rôles que, grâce à l'armée coloniale
seule, pourront jouer l'armée noire et Farinée berbère. Il s'adresse
ainsi, non seulement à tous les coloniaux, mais à tous les Fran-
çais qui s'intéressent aux choses de l'armée, à l'avenir de la race
et de la civilisation françaises.
Le Choc des races, par CHARLES GÉNIAUX ; 1 vol in-lC
de 320 pages ; 3 fr. 50. — Fayard, 18, rue Saiut-Gothard.
Dans' le cadre du roman, M. Géniaux étudie cette fois enenre
l'une des questions posées par le développement de l'Afrique du
Nord une Française peut-elle épouser un musulman? Et anloor
rie CI' problème nous voyons les divers types de la Tunisie: le
colon (Ill bled qui a encore la foi et cului qui ne l'a plus, celui
qui maltraite les « bicots » et celui qui veut les associer, les
Jeunes-Tunisiens. le vieil Arabe ruiné, le Juif âpre et le Tunisien
de vieille famille instruit, cultivé, mais qui ne renonce pas à, son
islam. Le coup de couteau d'un Sicilien jaloux empêche celui-ci
de devenir le mari de la jeune Française et la question reste posée.
M, Géniaux l'a du moins présentée avec tout son talent si apprécié
et si colore,
La rf g-ipolitaine d'hier et de demain, par H.-M.
DE MATHUISIEULX. Un volume in-16, illustré de 52 gra-
vures tirées hors texte et de 2 cartes en noir (Collection
de Voyages illustrés). Broché, 4 francs, cartonné toile,
5 fr. o0. — Hachette et Cie, Paris.
M. de Mathuisieulx est un des rares Européens qui ait pu
jusqu:à présent pénétrer dans l'intérieur de cette Tripolitaine que
les autorités turques tenaient jalousement fermée. lie 1901 à 190i.
il y remplit, dans un but d'études, quatre missions qui le portè-
rent jusqu'au cœur du pays.
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