Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1909-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1909 01 janvier 1909
Description : 1909/01/01 (N1,A19)-1909/12/31 (N12,A19). 1909/01/01 (N1,A19)-1909/12/31 (N12,A19).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9787844t
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/07/2017
DE L'AFRIQUE FRANÇAISE 251
ou de la mise au point. Dans cet ordre d'idées, je note les
efforts déployés par quelques-uns de nos compatriotes pour
développer la culture de l'ananas en Guinée, du coton au
Soudan et au Dahomey, du cacaoyer à la Côte d'Ivoire ou
encore ceux des Sociétés qui, dans plusieurs de nos colo-
nies, tendent à l'exploitation du sous-sol. L'étude à laquelle
il est actuellement procédé des gisements aurifères et des
nappes pétrolifères offre un grand intérêt. Au Sénégal, un
essai d'utilisation de l'écorce du baobab pour la fabrica-
tion de la pâte à papier et les besoins de l'industrie textile
mérite d'être signalé. A la Côte d'Ivoire l'intéressante mis-
sion du capitaine Gros, entreprise sous l'égide de la Société
de Géographie de Paris, a rapporté des renseignements
précis, contrôlés, sur les richesses forestières de la région
et nous permet d'espérer bientôt la création de grands
chantiers industriels. Il faut dire aussi l'activité persévé-
rante déployée par divers groupements, notamment par la
Compagnie coloniale de pêche en vue de l'installation de
sécheries de poissons à Port-Etienne. De son côté, l'admi-
nistration poursuit, soit par les diverses missions qu'elle
entretient, soit par ses services organisés, l'inventaire et
l'étude des richesses de l'Afrique Occidentale Française,
ainsi que le développement de produits qu'elle croit appe-
lés à un certain avenir > tels que le mouton à laine et
l'autruche au Soudan, le cocotier dans les diverses zones
côtières, Au Sénégal, l'association cotonnière qui, depuis
huit ans, a rendu de si précieux services à nos colonies, a
entrepris d'importants essais de culture de coton par irri-
gation. Je crois d'ailleurs qu'en maints endroits et notam-
ment dans cette dernière colonie des travaux hydrauliques
très simples et peu coûteux, auxquels il conviendrait
d'initier les indigènes, contribueraient largement au déve-
loppement de la richesse agricole. Un peu partout nous
essayons d'entraver la ruine des peuplements caoutchou-
quifères.
Mais, en attendant que le succès soit venu couronner les
initiatives particulières auxquelles je faisais allusion il y a
un instant, initiatives qui vont maintenant, je l'espère,
devenir plus nombreuses et plus puissantes à mesure que
nous leur offrons des moyens d'investigation et de transport
plus faciles, en attendant ce concours actif, dis-je, c'est
sur l'indigène que nous avons surtout à compter pour dé-
velopper le pays. Aussi devons-nous nous féliciter de
l'extension des travaux agricoles que nous constatons par-
tout. Il convient cependant de -veiller à ce que les nouvelles
cultures n'amènent pas les indigènes à abandonner à la
légère celles qui les ont fait vivre jusqu'ici; aussi les Admi-
nistrations locales s'appliquent-elles avec raison à leur
montrer, par exemple, que leur intérêt bien entendu est
d'étendre, plutôt que de restreindre l'exploitation des pal-
mistes, qui est une de leurs-ressources les plus certaines
et un-des éléments de notre prospérité.
Je reviens à l'année commerciale 1908, qui, malgré la
crise générale,. a été bonne pour le Sénégal, assez bonne
pour le Dahomey et passable peur les autres colonies du
groupe. Elle a particulièrement profité au commerce fran-
çais, dont la part dans les importations totales a atteint
56 0/0 contre 50 0/0 en 1907 et 43 0/0 en 1906. Cette part
a été de 63 0/0 dans les colonies du Sénégal et du Haut-
Sénégal et Niger, de 59 0/0 en Guinée, de 43 0/0 à la Côte
d'Ivoire et de 24 0/0 au Dahomey.
On sait que dans ces deux dernières possessions la
Convention du 14 juin 1898 avec l'Angleterre nous inter-
dit de frapper d'un tarif différentiel les marchandises étran-
gères.
Si l 'on tient compte que parmi ces dernières figurent un
certain nombre d'articles que la France ne produit pas,
tels que les genièvres, les huiles de pétrole, certains bois
de construction, le tabac, les colas, la houille, etc..., on
arrive à estimer à une quinzaine de millions au maximum
la valeur des produits étrangers dont un remaniement,
dans le sens de la prohibition, des tarifs applicables au
Sénégal,. au Haut-Sénégal et Niger et à la Guinée pourrait
•empecher 1 entrée. Ce serait un assez maigre résultat, eu
égard aux conséquences possibles d'une pareille réforme.
Nous avons le désir absolu, c'est un de nos premiers
devoirs, de seconder le plus largement possible les intérêts
des producteurs français et avec eux ceux du travail natio-
nal, mais nous ne devons jamais perdre de vue cette pensée
que la plus habile politique que puisse avoir la France
vis-à-vis de sa grande colonie est de lui donner les moyens
de prospérer.
Messieurs, la balance commerciale de 1909, de son côté,
s'annonce sous d'heureux auspices; au 31 mars, en effet,
les importations du premier trimestre égalaient, à peu de
chose près, en valeur, celles de la période correspondante
de 1908, soit 25 millions environ, malgré une diminution
seusible des entrées pour le compte de services publics.
Quant aux exportations, elles accusaient, en s 'élevant à
34.700.000 francs, un accroissement de 5 millions, c'est-
à-dire supérieur à celui de l'année dernière tout entière.
C'est un témoignage de la grande activité que déploient les
indigènes, encouragés par la hausse du marché et désireux
de satisfaire à leurs besoins croissants. La dernière période
de traite a d'ailleurs été favorisée par une récolte abon-
dante, exceptionnelle même, en certains endroits. Au
1er mai, en effet, l'Afrique Occidentale Française avait
exporté 130.000 tonnes d'arachides, provenant presque en
totalité du Sénégal et embarquées principalement à Ru-
fisque, contre 93.000 pendant les quatre premiers mois de
1908, soit une augmentation de près de 56 0/0. La statis-
tique donne, dans le même sens, les chiffres de 10.000 tonnes
contre 7.500 pour les palmistes, de 7.400 tonnes contre
5.209 pour les huiles de palme et de 1.771 contre 1.361 pour
le caoutchouc.
Vous le constatez, Messieurs, l'Afrique Occidentale dé-
veloppe réellement sa production et répond à la confiance
que le gouvernement lui a accordée en l'autorisant à recoti-
rir au crédit pour l'exécution du programme de travaux
publics élaboré par mon prédécesseur.
La construction de nos chemins de fer suit sa marche
normale.
En Guinée, le rail/au 31 mars dernier, atteignait le kilo-
mètre 355 à partir de Conakry, et les terrassements étaient
effectués sur 112 kilomètres vers Kouroussa. Il est de plus
en plus certain que la voie atteindra le Niger à la fin de
1910.
A la Côte d'Ivoire, le rail était, au 31 décembre dernier,
posé jusqu'au kilomètre 162. On a continué les travaux de
superstructure jusqu'au pont du N'Zi, dont les piles et les
culées sont très avancées.
Au 31 mars 1909, le rail du « Thiès-Kayes » était au ki-
lomètre 108. Les travaux prévus seront terminés à là fin
de cette année. La section de 43 kilomètres de Kayes à
Ambidédi sera livrée à l'exploitation à l'époque delà crue
du Sénégal. Il entre dans mon programme de relier le plus
tôt possible cette section à la précédente, c'est-à-dire de
construire la voie projetée sur toute la longueur, ainsi que
de prolonger jusqu'à Kankan le chemin de fer de la
Guinée.
L'exploitation de ces artères de pénétration a donné, en
19-08, les résultats les plus encourageants. Les bénéfices
nets du Kayes-Niger se sont élevés à 957.000 francs, soit
1.724 francs par kilomètre; ceux du Conakry-Niger à
250.000 francs, soit 993 francs par kilomètre; ceux du
chemin de fer de la Côte d'Ivoire, à 96.000 francs, soit
941 francs par kilomètre ; enfin, sur l'embranchement du
Baol, les revenus du trafic ont atteint 150.000 francs pen-
dant le premier trimestre 1909, c'est-à-dire près de
2.000 francs par kilomètre exploité pendant la première
période de traite où cette amorce de ligne a été livrée.
Les autres grands travaux publics prévus sur les deux
emprunts de 65 et de 100 millions, sont en bonne voie d'exé-
cution ou de préparation.
La plupart de ceux qui sont imputables au premier de
ces emprunts n'exigeaient que des parachèvements sans
importance au 31 décembre dernier. Sur l'ensemble du
crédit total, il ne restait guère qu'un reliquat de 7 millions
environ, qui s'applique principalement aux égouts de Saint-
Louis et de Rufisque et à l'achèvement des travaux d'amé-
nagement.des ports du Sénégal.
Le port de Dakar est terminé ou peu s'en faut. L'amélio-
ration de l'éclairage de ses abords a été entreprise par la
construction d'un phare en mer sur l'extrême pointe des
rochers des Almadies. Les études effectuées pour.faciliter
la navigation du Sénégal ont été complétées par la publica-
tion d'instructions nautiques pour les patrons et pilotes
qui parcourent le fleuve.
Une drague maritime automotrice et porteuse, qui pourra
se déplacer sur toute notre côte et sur le parcours de nos
ou de la mise au point. Dans cet ordre d'idées, je note les
efforts déployés par quelques-uns de nos compatriotes pour
développer la culture de l'ananas en Guinée, du coton au
Soudan et au Dahomey, du cacaoyer à la Côte d'Ivoire ou
encore ceux des Sociétés qui, dans plusieurs de nos colo-
nies, tendent à l'exploitation du sous-sol. L'étude à laquelle
il est actuellement procédé des gisements aurifères et des
nappes pétrolifères offre un grand intérêt. Au Sénégal, un
essai d'utilisation de l'écorce du baobab pour la fabrica-
tion de la pâte à papier et les besoins de l'industrie textile
mérite d'être signalé. A la Côte d'Ivoire l'intéressante mis-
sion du capitaine Gros, entreprise sous l'égide de la Société
de Géographie de Paris, a rapporté des renseignements
précis, contrôlés, sur les richesses forestières de la région
et nous permet d'espérer bientôt la création de grands
chantiers industriels. Il faut dire aussi l'activité persévé-
rante déployée par divers groupements, notamment par la
Compagnie coloniale de pêche en vue de l'installation de
sécheries de poissons à Port-Etienne. De son côté, l'admi-
nistration poursuit, soit par les diverses missions qu'elle
entretient, soit par ses services organisés, l'inventaire et
l'étude des richesses de l'Afrique Occidentale Française,
ainsi que le développement de produits qu'elle croit appe-
lés à un certain avenir > tels que le mouton à laine et
l'autruche au Soudan, le cocotier dans les diverses zones
côtières, Au Sénégal, l'association cotonnière qui, depuis
huit ans, a rendu de si précieux services à nos colonies, a
entrepris d'importants essais de culture de coton par irri-
gation. Je crois d'ailleurs qu'en maints endroits et notam-
ment dans cette dernière colonie des travaux hydrauliques
très simples et peu coûteux, auxquels il conviendrait
d'initier les indigènes, contribueraient largement au déve-
loppement de la richesse agricole. Un peu partout nous
essayons d'entraver la ruine des peuplements caoutchou-
quifères.
Mais, en attendant que le succès soit venu couronner les
initiatives particulières auxquelles je faisais allusion il y a
un instant, initiatives qui vont maintenant, je l'espère,
devenir plus nombreuses et plus puissantes à mesure que
nous leur offrons des moyens d'investigation et de transport
plus faciles, en attendant ce concours actif, dis-je, c'est
sur l'indigène que nous avons surtout à compter pour dé-
velopper le pays. Aussi devons-nous nous féliciter de
l'extension des travaux agricoles que nous constatons par-
tout. Il convient cependant de -veiller à ce que les nouvelles
cultures n'amènent pas les indigènes à abandonner à la
légère celles qui les ont fait vivre jusqu'ici; aussi les Admi-
nistrations locales s'appliquent-elles avec raison à leur
montrer, par exemple, que leur intérêt bien entendu est
d'étendre, plutôt que de restreindre l'exploitation des pal-
mistes, qui est une de leurs-ressources les plus certaines
et un-des éléments de notre prospérité.
Je reviens à l'année commerciale 1908, qui, malgré la
crise générale,. a été bonne pour le Sénégal, assez bonne
pour le Dahomey et passable peur les autres colonies du
groupe. Elle a particulièrement profité au commerce fran-
çais, dont la part dans les importations totales a atteint
56 0/0 contre 50 0/0 en 1907 et 43 0/0 en 1906. Cette part
a été de 63 0/0 dans les colonies du Sénégal et du Haut-
Sénégal et Niger, de 59 0/0 en Guinée, de 43 0/0 à la Côte
d'Ivoire et de 24 0/0 au Dahomey.
On sait que dans ces deux dernières possessions la
Convention du 14 juin 1898 avec l'Angleterre nous inter-
dit de frapper d'un tarif différentiel les marchandises étran-
gères.
Si l 'on tient compte que parmi ces dernières figurent un
certain nombre d'articles que la France ne produit pas,
tels que les genièvres, les huiles de pétrole, certains bois
de construction, le tabac, les colas, la houille, etc..., on
arrive à estimer à une quinzaine de millions au maximum
la valeur des produits étrangers dont un remaniement,
dans le sens de la prohibition, des tarifs applicables au
Sénégal,. au Haut-Sénégal et Niger et à la Guinée pourrait
•empecher 1 entrée. Ce serait un assez maigre résultat, eu
égard aux conséquences possibles d'une pareille réforme.
Nous avons le désir absolu, c'est un de nos premiers
devoirs, de seconder le plus largement possible les intérêts
des producteurs français et avec eux ceux du travail natio-
nal, mais nous ne devons jamais perdre de vue cette pensée
que la plus habile politique que puisse avoir la France
vis-à-vis de sa grande colonie est de lui donner les moyens
de prospérer.
Messieurs, la balance commerciale de 1909, de son côté,
s'annonce sous d'heureux auspices; au 31 mars, en effet,
les importations du premier trimestre égalaient, à peu de
chose près, en valeur, celles de la période correspondante
de 1908, soit 25 millions environ, malgré une diminution
seusible des entrées pour le compte de services publics.
Quant aux exportations, elles accusaient, en s 'élevant à
34.700.000 francs, un accroissement de 5 millions, c'est-
à-dire supérieur à celui de l'année dernière tout entière.
C'est un témoignage de la grande activité que déploient les
indigènes, encouragés par la hausse du marché et désireux
de satisfaire à leurs besoins croissants. La dernière période
de traite a d'ailleurs été favorisée par une récolte abon-
dante, exceptionnelle même, en certains endroits. Au
1er mai, en effet, l'Afrique Occidentale Française avait
exporté 130.000 tonnes d'arachides, provenant presque en
totalité du Sénégal et embarquées principalement à Ru-
fisque, contre 93.000 pendant les quatre premiers mois de
1908, soit une augmentation de près de 56 0/0. La statis-
tique donne, dans le même sens, les chiffres de 10.000 tonnes
contre 7.500 pour les palmistes, de 7.400 tonnes contre
5.209 pour les huiles de palme et de 1.771 contre 1.361 pour
le caoutchouc.
Vous le constatez, Messieurs, l'Afrique Occidentale dé-
veloppe réellement sa production et répond à la confiance
que le gouvernement lui a accordée en l'autorisant à recoti-
rir au crédit pour l'exécution du programme de travaux
publics élaboré par mon prédécesseur.
La construction de nos chemins de fer suit sa marche
normale.
En Guinée, le rail/au 31 mars dernier, atteignait le kilo-
mètre 355 à partir de Conakry, et les terrassements étaient
effectués sur 112 kilomètres vers Kouroussa. Il est de plus
en plus certain que la voie atteindra le Niger à la fin de
1910.
A la Côte d'Ivoire, le rail était, au 31 décembre dernier,
posé jusqu'au kilomètre 162. On a continué les travaux de
superstructure jusqu'au pont du N'Zi, dont les piles et les
culées sont très avancées.
Au 31 mars 1909, le rail du « Thiès-Kayes » était au ki-
lomètre 108. Les travaux prévus seront terminés à là fin
de cette année. La section de 43 kilomètres de Kayes à
Ambidédi sera livrée à l'exploitation à l'époque delà crue
du Sénégal. Il entre dans mon programme de relier le plus
tôt possible cette section à la précédente, c'est-à-dire de
construire la voie projetée sur toute la longueur, ainsi que
de prolonger jusqu'à Kankan le chemin de fer de la
Guinée.
L'exploitation de ces artères de pénétration a donné, en
19-08, les résultats les plus encourageants. Les bénéfices
nets du Kayes-Niger se sont élevés à 957.000 francs, soit
1.724 francs par kilomètre; ceux du Conakry-Niger à
250.000 francs, soit 993 francs par kilomètre; ceux du
chemin de fer de la Côte d'Ivoire, à 96.000 francs, soit
941 francs par kilomètre ; enfin, sur l'embranchement du
Baol, les revenus du trafic ont atteint 150.000 francs pen-
dant le premier trimestre 1909, c'est-à-dire près de
2.000 francs par kilomètre exploité pendant la première
période de traite où cette amorce de ligne a été livrée.
Les autres grands travaux publics prévus sur les deux
emprunts de 65 et de 100 millions, sont en bonne voie d'exé-
cution ou de préparation.
La plupart de ceux qui sont imputables au premier de
ces emprunts n'exigeaient que des parachèvements sans
importance au 31 décembre dernier. Sur l'ensemble du
crédit total, il ne restait guère qu'un reliquat de 7 millions
environ, qui s'applique principalement aux égouts de Saint-
Louis et de Rufisque et à l'achèvement des travaux d'amé-
nagement.des ports du Sénégal.
Le port de Dakar est terminé ou peu s'en faut. L'amélio-
ration de l'éclairage de ses abords a été entreprise par la
construction d'un phare en mer sur l'extrême pointe des
rochers des Almadies. Les études effectuées pour.faciliter
la navigation du Sénégal ont été complétées par la publica-
tion d'instructions nautiques pour les patrons et pilotes
qui parcourent le fleuve.
Une drague maritime automotrice et porteuse, qui pourra
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