DE L'AFRIQUE FRANÇAISE 55 *
bords du Congo et de ses affluents ne peut actuellement
se faire dans des conditions rémunératrices. C'est la rade
du cap Lopez, à l'embouchure de l'Ogooué, qui est le grand
port d'exportation du bois.
Je dois attirer aussi votre attention sur d'autres élé-
ments de prospérité du Congo. La colonie se trouve en
effet dotée du plus magnifique réseau de voies navigables
qui soit. Le Congo est, je crois, le troisième fleuve du
monde. On dit souvent, il est vrai, en parlant des fleuves
de l'Afrique Equatoriale : « Ces fleuves sont très étendus
mais ils ne sont pas navigables. » Naturellement, Etant
donné que certains de ces fleuves mesurent 4.000 kilo-
mètres de longueur, ils ne peuvent être navigables sur
4.000 kilomètres, mais ils le sont cependant sur des biefs
considérables. Je vais vous en donner des exemples.
Le Conyo est navigable depuis sou embouchure jusqu'à
Matadi, c'est-à-dire à 150 kilomètres de la mer, et pour
des bâtiments calant 5 mètres.
L'Ogooué qui est le second des grands fleuves de l'Afrique
Equatoriale, est navigable toute l'année jusqu'à 220 kilo-
mètres de la mer, pour des vapeurs de 150 tonnes, calant
1 m. 50 aux eaux moyennes et 1 mètre aux plus basses
eaux.
L'estuaire du Gabon peut être remonté jusqu'à 50 kilo-
mètres à l'intérieur par des bâtiments calant 4 mètres au
plus.
Dans le Haut-Ollbangui il existe un magnifique bief de
Brazzaville à Bangui qui mesure 1.200 kilomètres ; c'est-à-
dire la distance de Marseille à Dunkerque. C'est, comme
vous le voyez, un joli canal.
Un autre bief va de Brazzaville à Ouessou,et mesure
900 kilomètres ; c'est plus que de Marseille à Alger. Il peut
recevoir des bateaux calant de 2 mètres.
Il y a là des biefs tout à fait remarquables. Je ne parle
pas des rivières moins importantes et des affluents de ces
fleuves qui sont navigables pour des bateaux calant
t mètre el qui étendent les limites d'exploitation des bas-
sins fluviaux dans des proportions considérables. Le bas-
sin du Congo, par exemple ne mesure pas moins de
3.800.000 kilomètres carrés. L'Oubangui mesure 80n.000ki-
lomètres carrés, c'est-à-dire une fois et demi la France.
Le bassin de la Sanga mesure 260.0;10 kilomètres. La
Mossaka mesure 110.000 kilomètres carrés, 1 Ogooué,
2000"0 kilomètres carrés, l'Ivindo 70.000 kilomètres car-
rés Rappelez-vous que le bassin de la Seine ne mesure
que 77.00J kilomètres carrés.
Vous voyez donc quelle fortune pour ce pays d'avoir à
sa disposition un semblable réseau de voies navigables.
J'allais omettre un détail : à côté des ressources agrico-
les et fluviales qu'il possède, le Congo promet d'avoir des
ressources minières considérables. Un bassin minier qui
s'étend entre Brazzaville et Pointe-Noire sur la côte ne
mesure pas moins de 5.400 kilomètres carrés. On y trouve
du minerai riche de cuivre avec une teneur moyenne de
55 0/0, et des terres noires d'une teneur de 8 à 10 0;0. On
y trouve.également des minerais de zinc, du plomb et du
plomb argentifère.
Ce qui manque, c'est qu'on n'a pu jusqu'ici faire le tra-
vail dt; reconnaissance du sous-sol, parce qu'on ne peut
transporter jusqu'aux gîtes le gros outillage nécessaire
pour reconnaître profondément le sol minier. Nous rever-
rons tout à l'heure, quand nous examinerons le pro-
gramme d'emprunt, la question des chemins de fer desti-
nés à desservir cette région.
On ne peut que s'étonner qu'un pays si richement doté
aux points de vue agricole, forestier, fluvial et minier ait
été si longtemps négligé par la métropole.
En 19')8, moins occupée ailleurs, la métropole a pu con-
sacrer quoique attention à l'Afrique Equatoriale Fran-
çaise.
Mieux informée, elle a décidé d'aider la colonie Aussitôt
le pays a changé d'aspect. En même temps qu'un projet
d'emprunt était déposé au Parlement, l'occupation du pays
était activement entreprise. Les effectifs militaires qui
n'étaient en 1908 que de 3.400 hommes ont été élevés pro-
gressivement jusqu'à 7.200 hommes. Les circonscriptions
adtmni-h-atj es qui n'étaient en 1908 qu'au nombre de 17,
sont aujourd'hui au nombre de 59. Les postes administra-
tifs établis ont été portés de 87 à 144. Le personnel
administratif de l'administration indigène qui ne comptait '
en 1908 que 107 unités en compte 260 en 1912.
Les résultats d'un pareil effort n'ont pas tardé à se faire
sentir. Les régions administrées qui occupaient 25 0/0 du
territoire, occupent maintenant 60 0/0; celles soumises à
notre influence administrative se sont étendues de 15 0/0
à 20 0/0, le pays qui nous ignore s'étant par contre réduit
de 60 °/°-à 20 u/0.
L'impôt de capitation qui est le meilleur indice de l'occu-
pation, qui, dans les pays neufs, constitue le signe le plus
manifeste de son progrès, s'est élevé de 1908 à 1912 de
1.392.0U0 francs à 3 700.OuO francs, c'est-à-dire qu'il s'est
accru de 150 0/0 en trois ans.
Le mouvement commercial a suivi la même progression.
Après avoir été de 20.500 000 francs en 1898, de 27 mil-
lions en 1908, il atteint 47 millions en 1912.
L'ensemble des budgets n'atteignait en 1908 que
7.900.000 francs; il se totalisait à 12.900.000 franes avant
l'accord franco-allemand du 4 décembre 1911 et se totalise
pour 1913 à 13.500.000 francs.
Le budget général a pu liquider en trois ans un passif
de plus d'un million légué par les gestions antérieures et
mettre, au cours de l'exercice 1911, une somme de
700.000 francs dans la caisse de réserve. Il y versera cette
année une somme plus importante encore.
La métropole, en même temps qu'elle mettait à la dispo-
sition de la colonie les hommes qui lui étaient nécessaires
pour les occuper son territoire, avait bien voulu lui procurer
es fonds d'emprunt indispensables pour réaliser un pro-
gramme d'études qui permît d'établir le programme d'ou-
tillage économique nécessaire à la mise en valeur du pays.
Cet emprunt a été présenté en 1908, voté en 1909 et rea-
lisé la meme année. Depuis cette époque, des missions
d'études se sont mises au travail et les résultats m'ont
permis de présenter au gouvernement un programme
général d'emprunt.
L'emprunt de 1909 comprenait des travaux et des études.
Trois millions étaient affectés à la construction des lignes
télégraphiques, 3 millions à la création d'un câble entre
Libreville ét Pointe-Noire, qui devait continuer les câbles
français que nous possédions déjà jusqu'à Libreville.
Les crédits affectés aux voies de communication se répar-
tissaient de la façon suivante : une route entre Fort-Libut
et Fort-Crampel. Cette route est destinée à mettre le bas-
sin du Chari en communication avec le bassin de l'Ouban-
gui; c'est la ligne de ravitaillement du Tchad. Cette route
avait fait l'objet de nombreuses critiques à la suite des
inspections de 1905 et 1906, et il était nécessaire d'y appor-
ter des améliorations afin de rendre le poriage le moins
pénible possible, — c'est d'ailleurs dans ce but que des
crédits avaient été prévus. La route est aujourd'hui con-
struite, des automobiles y sont à l'essai. Je ne sais pas si
ce mode de transport donnera d'excellents résultats; mais,
en tout cas, j'ai prévu, dans le projet d'emprunt nouveau
que j'ai soumis au gouvernement, une voie ferrée allant
de Bangui à Fort-Crampel. Je crois, en effet, que les voies
ferrees sont les meilleurs moyens de pénétration, que
dans de semblables pays, ils ne coûtent pas beaucoup plus
cher d'entretien que les routes auxquelles ils sont de beau-
coup supérieurs au point de vue de la capacité de trans-
port.
Il y a eu encore différents autres crédits pour des instal-
lations d'occupation, hôpitaux, ambulances, etc. qui fai-
saient totalement défaut dans la colonie.
J'en arrive enfin à uue partie très intéressante de cet
emprunt : il y avait 200.000 francs prévus pour des essais
de télégraphie sans fil. Des expériences avaient été faites
en 19U2 au Gabon et n'avaient donné aucun résultat. Mais
les progrès de la télégraphie sans fil étaient tels en 1908
et 1909 que je n'ai pas hésité à reprendre les essais sur
d'autres points. Je dois dire que le succès a couronné nos
efforts. Aujourd'hui, nous avons des postes de télégraphie
sans fil à Brazzaville et à Pointe Noire, qui communiquent
régulièrement. Ce sont des postes modestes, mais cepen-
dant ils communiquent avec tous les bateaux qui se rendent
du cap Vert au Cap, c'est-à-dire qu'ils ont en mer des por-
tées de 1.200 kilomètres Il est à noter, en outre, qu'entre
Brazzaville et Loango, la télégraphie sans fil rencontre
de grosses difficultés, car elle a à traverser une zone de
monts et de forêts. Quotidiennement, nous communiquons
bords du Congo et de ses affluents ne peut actuellement
se faire dans des conditions rémunératrices. C'est la rade
du cap Lopez, à l'embouchure de l'Ogooué, qui est le grand
port d'exportation du bois.
Je dois attirer aussi votre attention sur d'autres élé-
ments de prospérité du Congo. La colonie se trouve en
effet dotée du plus magnifique réseau de voies navigables
qui soit. Le Congo est, je crois, le troisième fleuve du
monde. On dit souvent, il est vrai, en parlant des fleuves
de l'Afrique Equatoriale : « Ces fleuves sont très étendus
mais ils ne sont pas navigables. » Naturellement, Etant
donné que certains de ces fleuves mesurent 4.000 kilo-
mètres de longueur, ils ne peuvent être navigables sur
4.000 kilomètres, mais ils le sont cependant sur des biefs
considérables. Je vais vous en donner des exemples.
Le Conyo est navigable depuis sou embouchure jusqu'à
Matadi, c'est-à-dire à 150 kilomètres de la mer, et pour
des bâtiments calant 5 mètres.
L'Ogooué qui est le second des grands fleuves de l'Afrique
Equatoriale, est navigable toute l'année jusqu'à 220 kilo-
mètres de la mer, pour des vapeurs de 150 tonnes, calant
1 m. 50 aux eaux moyennes et 1 mètre aux plus basses
eaux.
L'estuaire du Gabon peut être remonté jusqu'à 50 kilo-
mètres à l'intérieur par des bâtiments calant 4 mètres au
plus.
Dans le Haut-Ollbangui il existe un magnifique bief de
Brazzaville à Bangui qui mesure 1.200 kilomètres ; c'est-à-
dire la distance de Marseille à Dunkerque. C'est, comme
vous le voyez, un joli canal.
Un autre bief va de Brazzaville à Ouessou,et mesure
900 kilomètres ; c'est plus que de Marseille à Alger. Il peut
recevoir des bateaux calant de 2 mètres.
Il y a là des biefs tout à fait remarquables. Je ne parle
pas des rivières moins importantes et des affluents de ces
fleuves qui sont navigables pour des bateaux calant
t mètre el qui étendent les limites d'exploitation des bas-
sins fluviaux dans des proportions considérables. Le bas-
sin du Congo, par exemple ne mesure pas moins de
3.800.000 kilomètres carrés. L'Oubangui mesure 80n.000ki-
lomètres carrés, c'est-à-dire une fois et demi la France.
Le bassin de la Sanga mesure 260.0;10 kilomètres. La
Mossaka mesure 110.000 kilomètres carrés, 1 Ogooué,
2000"0 kilomètres carrés, l'Ivindo 70.000 kilomètres car-
rés Rappelez-vous que le bassin de la Seine ne mesure
que 77.00J kilomètres carrés.
Vous voyez donc quelle fortune pour ce pays d'avoir à
sa disposition un semblable réseau de voies navigables.
J'allais omettre un détail : à côté des ressources agrico-
les et fluviales qu'il possède, le Congo promet d'avoir des
ressources minières considérables. Un bassin minier qui
s'étend entre Brazzaville et Pointe-Noire sur la côte ne
mesure pas moins de 5.400 kilomètres carrés. On y trouve
du minerai riche de cuivre avec une teneur moyenne de
55 0/0, et des terres noires d'une teneur de 8 à 10 0;0. On
y trouve.également des minerais de zinc, du plomb et du
plomb argentifère.
Ce qui manque, c'est qu'on n'a pu jusqu'ici faire le tra-
vail dt; reconnaissance du sous-sol, parce qu'on ne peut
transporter jusqu'aux gîtes le gros outillage nécessaire
pour reconnaître profondément le sol minier. Nous rever-
rons tout à l'heure, quand nous examinerons le pro-
gramme d'emprunt, la question des chemins de fer desti-
nés à desservir cette région.
On ne peut que s'étonner qu'un pays si richement doté
aux points de vue agricole, forestier, fluvial et minier ait
été si longtemps négligé par la métropole.
En 19')8, moins occupée ailleurs, la métropole a pu con-
sacrer quoique attention à l'Afrique Equatoriale Fran-
çaise.
Mieux informée, elle a décidé d'aider la colonie Aussitôt
le pays a changé d'aspect. En même temps qu'un projet
d'emprunt était déposé au Parlement, l'occupation du pays
était activement entreprise. Les effectifs militaires qui
n'étaient en 1908 que de 3.400 hommes ont été élevés pro-
gressivement jusqu'à 7.200 hommes. Les circonscriptions
adtmni-h-atj es qui n'étaient en 1908 qu'au nombre de 17,
sont aujourd'hui au nombre de 59. Les postes administra-
tifs établis ont été portés de 87 à 144. Le personnel
administratif de l'administration indigène qui ne comptait '
en 1908 que 107 unités en compte 260 en 1912.
Les résultats d'un pareil effort n'ont pas tardé à se faire
sentir. Les régions administrées qui occupaient 25 0/0 du
territoire, occupent maintenant 60 0/0; celles soumises à
notre influence administrative se sont étendues de 15 0/0
à 20 0/0, le pays qui nous ignore s'étant par contre réduit
de 60 °/°-à 20 u/0.
L'impôt de capitation qui est le meilleur indice de l'occu-
pation, qui, dans les pays neufs, constitue le signe le plus
manifeste de son progrès, s'est élevé de 1908 à 1912 de
1.392.0U0 francs à 3 700.OuO francs, c'est-à-dire qu'il s'est
accru de 150 0/0 en trois ans.
Le mouvement commercial a suivi la même progression.
Après avoir été de 20.500 000 francs en 1898, de 27 mil-
lions en 1908, il atteint 47 millions en 1912.
L'ensemble des budgets n'atteignait en 1908 que
7.900.000 francs; il se totalisait à 12.900.000 franes avant
l'accord franco-allemand du 4 décembre 1911 et se totalise
pour 1913 à 13.500.000 francs.
Le budget général a pu liquider en trois ans un passif
de plus d'un million légué par les gestions antérieures et
mettre, au cours de l'exercice 1911, une somme de
700.000 francs dans la caisse de réserve. Il y versera cette
année une somme plus importante encore.
La métropole, en même temps qu'elle mettait à la dispo-
sition de la colonie les hommes qui lui étaient nécessaires
pour les occuper son territoire, avait bien voulu lui procurer
es fonds d'emprunt indispensables pour réaliser un pro-
gramme d'études qui permît d'établir le programme d'ou-
tillage économique nécessaire à la mise en valeur du pays.
Cet emprunt a été présenté en 1908, voté en 1909 et rea-
lisé la meme année. Depuis cette époque, des missions
d'études se sont mises au travail et les résultats m'ont
permis de présenter au gouvernement un programme
général d'emprunt.
L'emprunt de 1909 comprenait des travaux et des études.
Trois millions étaient affectés à la construction des lignes
télégraphiques, 3 millions à la création d'un câble entre
Libreville ét Pointe-Noire, qui devait continuer les câbles
français que nous possédions déjà jusqu'à Libreville.
Les crédits affectés aux voies de communication se répar-
tissaient de la façon suivante : une route entre Fort-Libut
et Fort-Crampel. Cette route est destinée à mettre le bas-
sin du Chari en communication avec le bassin de l'Ouban-
gui; c'est la ligne de ravitaillement du Tchad. Cette route
avait fait l'objet de nombreuses critiques à la suite des
inspections de 1905 et 1906, et il était nécessaire d'y appor-
ter des améliorations afin de rendre le poriage le moins
pénible possible, — c'est d'ailleurs dans ce but que des
crédits avaient été prévus. La route est aujourd'hui con-
struite, des automobiles y sont à l'essai. Je ne sais pas si
ce mode de transport donnera d'excellents résultats; mais,
en tout cas, j'ai prévu, dans le projet d'emprunt nouveau
que j'ai soumis au gouvernement, une voie ferrée allant
de Bangui à Fort-Crampel. Je crois, en effet, que les voies
ferrees sont les meilleurs moyens de pénétration, que
dans de semblables pays, ils ne coûtent pas beaucoup plus
cher d'entretien que les routes auxquelles ils sont de beau-
coup supérieurs au point de vue de la capacité de trans-
port.
Il y a eu encore différents autres crédits pour des instal-
lations d'occupation, hôpitaux, ambulances, etc. qui fai-
saient totalement défaut dans la colonie.
J'en arrive enfin à uue partie très intéressante de cet
emprunt : il y avait 200.000 francs prévus pour des essais
de télégraphie sans fil. Des expériences avaient été faites
en 19U2 au Gabon et n'avaient donné aucun résultat. Mais
les progrès de la télégraphie sans fil étaient tels en 1908
et 1909 que je n'ai pas hésité à reprendre les essais sur
d'autres points. Je dois dire que le succès a couronné nos
efforts. Aujourd'hui, nous avons des postes de télégraphie
sans fil à Brazzaville et à Pointe Noire, qui communiquent
régulièrement. Ce sont des postes modestes, mais cepen-
dant ils communiquent avec tous les bateaux qui se rendent
du cap Vert au Cap, c'est-à-dire qu'ils ont en mer des por-
tées de 1.200 kilomètres Il est à noter, en outre, qu'entre
Brazzaville et Loango, la télégraphie sans fil rencontre
de grosses difficultés, car elle a à traverser une zone de
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