Bulletin / Association cotonnière coloniale

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140 pages

Titre : Bulletin / Association cotonnière coloniale

Auteur : Association cotonnière coloniale. Auteur du texte

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1927-10-01

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327046323

Type : texte texte

Type : publication en série imprimée publication en série imprimée

Langue : français

Description : 01 octobre 1927 01 octobre 1927

Description : 1927/10/01 (A25,N80)-1927/10/31. 1927/10/01 (A25,N80)-1927/10/31.

Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad

Droits : Consultable en ligne

Identifiant : ark:/12148/bpt6k97588961

Source : CIRAD, 2016-193402

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 13/12/2016

Cette situation ne cessera que le jour où la culture
du coton sera l'œuvre de grandes coopératives agri-
coles, où l'administration fera le nécessaire pour pro-
curer aux planteurs des semences sélectionnées et
standardisées.

/

Le coton en Tunisie

Les w Annales coloniales, 4 juillet 1927 :

M. Delanoue, directeur du « Groupe Textile Coopé-
ratif de Tunisie », a présenté. à la « Société des Agri-
culteurs de Tunisie », un rapport de grand intérêt
sur « les possibilités tunisiennes pour la culture du
cotonnier ».

Nous extrayons de ce rapport, paru dans La Tunisie
agricole (organe de la Société des Agriculteurs), les
passages les plus frappants, et nous soulignons les
observations les plus « pratiques », dans un texte
d'ailleurs utile d'un bout à l'autre.

« Une région a particulièrement retenu notre attention,
c est celle de Kasserine. Elle est en effet tout à fait favo-
risée pour la culture du cotonnier.

« Les indigènes, relativement nomades, ne s'inté-
téressent pas aux plantations arbustives qui sont
d'un rapport éloigné. Ils ensemencent chaque année
en blé des surfaces qui leur donnent des récoltes très
irrégulières. Une culture leur apporterait son tribut
assuré, c'est le cotonnier.

« La chaleur estivale ne manque assurément pas ;
si on ne peut pas compter sur l'eau de pluie, l'eau du
sol y est suffisamment abondante, et la nappe peu
profonde (5 ou 6 mètres) alimente une quantité de
puits qui sont pour la plupart en inactivité.

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