Titre : Bulletin / Association cotonnière coloniale
Auteur : Association cotonnière coloniale. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1927-10-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327046323
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 octobre 1927 01 octobre 1927
Description : 1927/10/01 (A25,N80)-1927/10/31. 1927/10/01 (A25,N80)-1927/10/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97588961
Source : CIRAD, 2016-193402
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 13/12/2016
C'est une grave erreur de croire, par exemple, que
du coton de 32 mIn. de longueur de soie, mélangé à
du coton de 26 mm., donne une matière supérieure
comme valeur au coton de 26 mm. seul. Cette matière
est presque inemployable, et sa valeur est, en tout
cas, très inférieure à celle de la fibre régulière de
26 mm.
Le coton se divise, on le sait, en deux grandes
catégories :
Coton à longue soie, coton à courte soie.
«
Le premier, dont le type par excellence est le coton
égyptien, est destiné à certains usages spéciaux et
entre pour 20-25 % dans le total de la consommation
des broches françaises. La longueur de la fibre est
supérieure à 30-32 mm.
Le second, représenté par le coton américain, ali-
mente 75 à 80 % des besoins de la filature. La lon-
gueur de sa fibre est inférieure à 30 Innl.
Qu'il soit à longue ou à courte soie, le coton est
récolté avec les graines qui y adhèrent. La proportion
de celles-ci, par rapport au poids total recueilli, est
de 60 à 80 %, suivant les variétés.
Il importe, avant toute chose, de les séparer de la
fibre proprement dite, pour, d'une part, permettre
le travail de cette dernière, et, d'autre part, récupérer
les graines pour la semence, la fabrication de l'huile
et autres usages industriels.
Dans les contrées où les indigènes ne cultivent le
coton que pour leurs besoins personnels, l'égrenage
se fait à la main sur une pierre plate, à l'aide d'un
rouleau en bois.
Partout où a pénétré le commerce européen, le
travail est exécuté par des machines, actionnées à
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du coton de 32 mIn. de longueur de soie, mélangé à
du coton de 26 mm., donne une matière supérieure
comme valeur au coton de 26 mm. seul. Cette matière
est presque inemployable, et sa valeur est, en tout
cas, très inférieure à celle de la fibre régulière de
26 mm.
Le coton se divise, on le sait, en deux grandes
catégories :
Coton à longue soie, coton à courte soie.
«
Le premier, dont le type par excellence est le coton
égyptien, est destiné à certains usages spéciaux et
entre pour 20-25 % dans le total de la consommation
des broches françaises. La longueur de la fibre est
supérieure à 30-32 mm.
Le second, représenté par le coton américain, ali-
mente 75 à 80 % des besoins de la filature. La lon-
gueur de sa fibre est inférieure à 30 Innl.
Qu'il soit à longue ou à courte soie, le coton est
récolté avec les graines qui y adhèrent. La proportion
de celles-ci, par rapport au poids total recueilli, est
de 60 à 80 %, suivant les variétés.
Il importe, avant toute chose, de les séparer de la
fibre proprement dite, pour, d'une part, permettre
le travail de cette dernière, et, d'autre part, récupérer
les graines pour la semence, la fabrication de l'huile
et autres usages industriels.
Dans les contrées où les indigènes ne cultivent le
coton que pour leurs besoins personnels, l'égrenage
se fait à la main sur une pierre plate, à l'aide d'un
rouleau en bois.
Partout où a pénétré le commerce européen, le
travail est exécuté par des machines, actionnées à
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