Titre : Bulletin / Association cotonnière coloniale
Auteur : Association cotonnière coloniale. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1929-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327046323
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1929 01 janvier 1929
Description : 1929/01/01 (A27,N85)-1929/01/31. 1929/01/01 (A27,N85)-1929/01/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97449837
Source : CIRAD, 2016-193402
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/06/2017
Le Coton algérien
Le Petit Provençal, 11 octobre 1928 :
La culture du cotonnier, qui a donné lieu à de nonl-
breux essais de 1904 à 1910, est pratiquée actuellement
d'une façon assez intensive dans la vallée du Chéliff,
à Orléansville, et dans la plaine du Sig et de l'Habra.
Le département de Constantine lui-même ne s'est pas
désintéressé de cette culture qui a pris une extension
progressive dans la région de Philippeville et de
Bône.
Les rendements ont varié de 12 à 10 quintaux de
coton brut à l'hectare pour les départements d'Alger et
d'Oran et de 6 à 8 pour celui de Constantine (cultures
non irriguées). Dans certaines exploitations, le bénéfice
net à l'hectare a atteint 8.500 francs. Dans la seule
plaine du Chéliff (Orléansville) plus de 3.000 hectares
ont été consacrés à ce textile.
On voit, par ces chiffres, l'intérêt que présente la
culture du coton qui, si elle s'étendait sur 10.000 hec-
tares, rapporterait au bas mot 50 millions de bénéfices
par an aux colons algériens.
Les cotons d 'Algérie, produits par des variétés égyp-
tiennes sélectionnées présentent les mêmes qualités que
ceux d 'Egypte et peuvent être employés. aux mêmes
usages. Les principales variétés cultivées dans la
colonie sont le Mississipi (précoce, courte soie) et le
Mitafifi (longue soie). La qualité du fil de coton algérien
hautement appréciée par les experts du Havre, de
Liverpool et d'Alexandrie, a obtenu, dans toutes les
expertises, les notes les plus favorables et, mieux
encore, a permis d'atteindre, sur les marchés où ce fil
a été présenté, les prix des plus fines variétés égyp-
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Le Petit Provençal, 11 octobre 1928 :
La culture du cotonnier, qui a donné lieu à de nonl-
breux essais de 1904 à 1910, est pratiquée actuellement
d'une façon assez intensive dans la vallée du Chéliff,
à Orléansville, et dans la plaine du Sig et de l'Habra.
Le département de Constantine lui-même ne s'est pas
désintéressé de cette culture qui a pris une extension
progressive dans la région de Philippeville et de
Bône.
Les rendements ont varié de 12 à 10 quintaux de
coton brut à l'hectare pour les départements d'Alger et
d'Oran et de 6 à 8 pour celui de Constantine (cultures
non irriguées). Dans certaines exploitations, le bénéfice
net à l'hectare a atteint 8.500 francs. Dans la seule
plaine du Chéliff (Orléansville) plus de 3.000 hectares
ont été consacrés à ce textile.
On voit, par ces chiffres, l'intérêt que présente la
culture du coton qui, si elle s'étendait sur 10.000 hec-
tares, rapporterait au bas mot 50 millions de bénéfices
par an aux colons algériens.
Les cotons d 'Algérie, produits par des variétés égyp-
tiennes sélectionnées présentent les mêmes qualités que
ceux d 'Egypte et peuvent être employés. aux mêmes
usages. Les principales variétés cultivées dans la
colonie sont le Mississipi (précoce, courte soie) et le
Mitafifi (longue soie). La qualité du fil de coton algérien
hautement appréciée par les experts du Havre, de
Liverpool et d'Alexandrie, a obtenu, dans toutes les
expertises, les notes les plus favorables et, mieux
encore, a permis d'atteindre, sur les marchés où ce fil
a été présenté, les prix des plus fines variétés égyp-
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