Titre : Bulletin / Association cotonnière coloniale
Auteur : Association cotonnière coloniale. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1929-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327046323
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1929 01 janvier 1929
Description : 1929/01/01 (A27,N85)-1929/01/31. 1929/01/01 (A27,N85)-1929/01/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97449837
Source : CIRAD, 2016-193402
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/06/2017
boiseries qui lui sont nécessaires), et une série d'im-
menses magasins généraux et entrepôts.
En ce qui concerne la force motrice qui sera fournie provisoire-
ment par une centrale électrique, on envisage sous peu l'utilisation
de la houille blanche produite par les chutes de Sangq sur l'Inkisi ;
cette concession a été ratifiée par une convention du 10 décembre 1927.
La chute de Sanga est à vingt-cinq kilomètres- de
Madimba (rail Matadi-Léo) et à quatre-vint-cinq kilo-
mètres de Léo. La construction de deux routes automo-
biles reliant la future centrale au chemin de fer et à
l'usine est commencée, le type des poteaux qui suppor-
teront le double câble (tension de 110.000 volts) est
choisi, et le matériel nécessaire aux travaux d'équipe-
ment de la chute- est, en partie, en route. On compte
mettre en exploitation la centrale hydro-électrique
au début de 1931.
Le barrage aura douze mètres de hauteur, la chute
en a dix-neuf. Total, plus de trente mètres. Energie
produite : 30.000 C; .V., pouvant être portée à 50.000,
huit mois sur douze.
Coût : 80 millions environ... mais, d'une part, l'éta-
blissement de cette centrale permettra à la « Texaf »
d'éviter l'importation de 10 millions de francs de
combustile par an et, d'autre part, il y aura du courant
à vendre. Et Léopoldville en a le plus grand besoin.
Les usines, entièrement achevées, seront, capables
d'un chiffre d'affaire de deux cents millions.
La Nation Belge répond aux arguments de ceux qui ne croient
pas à la possibilité de réussite de la « Texaf » en ce qui concerne
notamment la fabrication sur place des tissus de coton.
Quant aux débouchés, ils sont assurés. D'aucuns
estiment que les installations de « Texaf » sont trop
vastes... Répondons par des chiffres. Le Congo a im-
porté en 1926 pour 200 millions de tissus (valeur au
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menses magasins généraux et entrepôts.
En ce qui concerne la force motrice qui sera fournie provisoire-
ment par une centrale électrique, on envisage sous peu l'utilisation
de la houille blanche produite par les chutes de Sangq sur l'Inkisi ;
cette concession a été ratifiée par une convention du 10 décembre 1927.
La chute de Sanga est à vingt-cinq kilomètres- de
Madimba (rail Matadi-Léo) et à quatre-vint-cinq kilo-
mètres de Léo. La construction de deux routes automo-
biles reliant la future centrale au chemin de fer et à
l'usine est commencée, le type des poteaux qui suppor-
teront le double câble (tension de 110.000 volts) est
choisi, et le matériel nécessaire aux travaux d'équipe-
ment de la chute- est, en partie, en route. On compte
mettre en exploitation la centrale hydro-électrique
au début de 1931.
Le barrage aura douze mètres de hauteur, la chute
en a dix-neuf. Total, plus de trente mètres. Energie
produite : 30.000 C; .V., pouvant être portée à 50.000,
huit mois sur douze.
Coût : 80 millions environ... mais, d'une part, l'éta-
blissement de cette centrale permettra à la « Texaf »
d'éviter l'importation de 10 millions de francs de
combustile par an et, d'autre part, il y aura du courant
à vendre. Et Léopoldville en a le plus grand besoin.
Les usines, entièrement achevées, seront, capables
d'un chiffre d'affaire de deux cents millions.
La Nation Belge répond aux arguments de ceux qui ne croient
pas à la possibilité de réussite de la « Texaf » en ce qui concerne
notamment la fabrication sur place des tissus de coton.
Quant aux débouchés, ils sont assurés. D'aucuns
estiment que les installations de « Texaf » sont trop
vastes... Répondons par des chiffres. Le Congo a im-
porté en 1926 pour 200 millions de tissus (valeur au
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