Titre : Bulletin / Association cotonnière coloniale
Auteur : Association cotonnière coloniale. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1929-04-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327046323
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 avril 1929 01 avril 1929
Description : 1929/04/01 (A27,N86)-1929/04/30. 1929/04/01 (A27,N86)-1929/04/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9744982t
Source : CIRAD, 2016-193402
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/06/2017
il n'en est pas moins insuffisant si l'on considère que
la France a consommé en 1927 1.132.000 balles dont
-813.000 de coton d'Amérique, 98.000 provenant
-d'Egypte, 146.000 des Indes et 75.000 de contrées
diverses, il ne représente comme production que 1,25 %
de consommation cotonnière française.
Nous payons aux Etats-Unis près de 2 milliards
de francs par an en valeur actuelle et près de 240
millions à l'Egypte pour cette matière première.
L'intérêt national exige donc que nous essayons
.de tirer ces matières de nos possessions d'outre-mer.
C'est dans ce but que l'Association Cotonnière Cote
niale a établi en Afrique Occidentale Française, ces
dernières années 16 usines d'égrenages et particuliè-
rement dans le centre où le coton est déjà produit
depuis longtemps par les indigènes.
Le développement de la' culture cotonnière et la
création de' nouvelles usines d'égrenage nécessitaient,
forcément un contact entre la France et l'Afrique
Occidentale Française, et c'est ainsi que après le voyage
de l'éminent président de l'Association Cotonnière
Coloniale, M. Arthur Waddington, en 1924, suivi,
il y a deux ans, par une tournée d'inspection de l'Ingé-
nieur chef de l'A. C. C. j'entrepris l'année dernière, à
mon tour, le voyage dont je'vous rapporte les impres":
sions :
Grâce au bienveillant et précieux concours du Gou-
verneur général de l'A. O. F., ainsi qu'à l'appui du
personnel dirigeant de l'Association Cotonnière Colo-
niale, ce voyage de pas tout à fait 3 mois en terre
'.africaine, dans des conditions qui ne ressemblent en
rien à celles que nous connaissons ici, s'est passé le
mieux du monde, et restera un souvenir de liberté
et d'indépendance par ses contrastes allant du plus
grand confort moderne jusqu'à passer des nuits dans
— 97 —
la France a consommé en 1927 1.132.000 balles dont
-813.000 de coton d'Amérique, 98.000 provenant
-d'Egypte, 146.000 des Indes et 75.000 de contrées
diverses, il ne représente comme production que 1,25 %
de consommation cotonnière française.
Nous payons aux Etats-Unis près de 2 milliards
de francs par an en valeur actuelle et près de 240
millions à l'Egypte pour cette matière première.
L'intérêt national exige donc que nous essayons
.de tirer ces matières de nos possessions d'outre-mer.
C'est dans ce but que l'Association Cotonnière Cote
niale a établi en Afrique Occidentale Française, ces
dernières années 16 usines d'égrenages et particuliè-
rement dans le centre où le coton est déjà produit
depuis longtemps par les indigènes.
Le développement de la' culture cotonnière et la
création de' nouvelles usines d'égrenage nécessitaient,
forcément un contact entre la France et l'Afrique
Occidentale Française, et c'est ainsi que après le voyage
de l'éminent président de l'Association Cotonnière
Coloniale, M. Arthur Waddington, en 1924, suivi,
il y a deux ans, par une tournée d'inspection de l'Ingé-
nieur chef de l'A. C. C. j'entrepris l'année dernière, à
mon tour, le voyage dont je'vous rapporte les impres":
sions :
Grâce au bienveillant et précieux concours du Gou-
verneur général de l'A. O. F., ainsi qu'à l'appui du
personnel dirigeant de l'Association Cotonnière Colo-
niale, ce voyage de pas tout à fait 3 mois en terre
'.africaine, dans des conditions qui ne ressemblent en
rien à celles que nous connaissons ici, s'est passé le
mieux du monde, et restera un souvenir de liberté
et d'indépendance par ses contrastes allant du plus
grand confort moderne jusqu'à passer des nuits dans
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