Titre : La Dépêche coloniale illustrée
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1910-12-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327559237
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 31 décembre 1910 31 décembre 1910
Description : 1910/12/31 (A10,N24). 1910/12/31 (A10,N24).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97432237
Source : CIRAD, 2016-191284
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/09/2016
LA DEPECHE COLONIALE ILLUSTREE .- ....1 .. -. 311
en particulier, les tramways de Hanoï et ex-
tensions'; celui de Phuninh-Giang à Késat et
Cam-Giang (Tonkin) ; celui de Tourane à Fai-
foo (Annam) ; celui de Saïgon à Chololl. et
enfin celui de Saïgon à Govap et Hoc-Mon.
Postes et télégraphes. — Ce réseau de rou-
tes, de voies navigables et de chemins de fer
est complété par environ 12.000 kilomètres de
lignes télégraphiques qui relient entre eux les
postes les plus éloignés de l'Indo-Chine, sans
compter les. lignes téléphoniques (Saïgon à
Cholon ; Hanoï à Haïphong) et- les postes de
Autres étagères portant des spécimens d'huile,
des issues de poissons, du poivre, etc.
télégraphie sans fil établis sur divers points
de la côte ou de l'intérieur.
Des communications électriques existent
entre l'Indo-Chine et l'Europe par le câbla
anglais de l'Extern Extension, par le câble
français de Haïphong à Amoy (Chine), qui
dessert Kouang-Tchéou-Wan et est relié à la
ligne sous-marine de Vladivostok.
On compte sur le territoire indo-chinois
plus de 270 bureaux de poste, dont plus
de 120 bureaux ouverts au service com-
plet et environ 150. bureaux restreints ; le
nombre de bureaux ruraux atteint presque
170 ; de plus 6 bureaux fonctionnant en Chine
dépendent du service postal et télégraphique
indo-chinois.
Lignes maritimes. — Avec la France et l'Eu-
rope, les relations sont assurées par les na-
vires des Messageries maritimes qui ont un
courrier bimensuel de Saïgon à Marseille avec
un service annexe, hebdomadaire, de Saïgon
à Haïphong, et un service mensuel de cargos
de Haïphong à Dunkerque.
La Compagnie des Chargeurs réunis a éga-
lement un service mensuel, régulier, de car-
gos entre Haïphong et Dunkerque.
La distance de Marseille à Saïgon (13.600
kilomètres) est franchie en vingt-quatre jours
par les paquebots postaux des Messageries
maritimes, avec escales à Port-Saïd, Djibouti
ou Aden, Colombo et Singapour.
L'Indo-Chine est en relations : avec la Chine
et le Japon par la ligne bimensuelle de Saïgon
à Yokohama par Hong-Kong et Shangha:i ;
avec la Chine seule, par plusieurs lignes de
Haïphong à Hong-Kong avec escales à Pak-
Hoï, Hoï-Hao et Kouang-Tchéou-Wan ; avec le
Siam par une ligne de Saïgon à Bangkok par
Poulo-Condore ; avec la Péninsule Malaise et
les Indes Néerlandaises par des lignes an-
nexes des Messageries Maritimes de Saïgon
à Singapour et de Singapour à Batavia.
En fin, la Compagnie française de cabotage
des mers de Chine envoie dés navires de Saï-
gon au Japon, à Hong-Kong, aux Philippines
et à Java, suivant chargement.
En outre, de très nombreux cargos {fré-
quentent le port de Saïgon où ils prennent
des chargements de riz pour l'Extrême-Orient
et pour la France.
Agriculture, Commerce et Industrie.
Riziculture. — La principale culture, la pro-
duction prépondérante de l'Indo-Chine est le
riz base de l'alimentation des populations in-
digenes ; on le rencontre à peu prèsTaîtout
mais ses deux principaux centres près de partout,ciilture
sont le delta de la Cochinchine et celui du
Tonkin..
On cultive en Indo-Chine un très grand
nombre de variétés de riz ; riz gluant, riz
dur, riz hâtif, riz tardif, riz de plaine, riz de
montagne, riz flottant ; cette grande variété
permet d'obtenir de bons rendements suivant
les régions et la variété cultivée.
Le. nombre des récoltes annuelles varie sui-
vant chaque pays : en Cochinchine, on n'en
fait qu'une ; au Tonkin et dans le Nord-An-
nam, il y en a deux, l'une au cinquième et
l'autre au dixième
mois de l'année anna-
mile (mai-juin et oc-
tobre -novembre) ;
dans le Centre-Annam
on fait également
deux récoltes, au troi-
sième et au huitième
mois.
* Le rendement est
variable suivant les
régions et les soins ;
il oscille entre 500 et
4.000 kilos de grain à
l'hectare ; entre ces
deux extrêmes, la
bonne moyenne est de
2.000 à 2.500 kilos.
En Cochinchine, les
rizières occupent une
superficie variable
suivant les années de
1 million à 1.200.000
hectares. On estime
que cette superficie
pourrait être doublée si l'on utilisait, après
des travaux assez considérables de drainage
et d'assèchement, de vastes plaines presque
toujours inondées (plaines de joncs, plaines
marécageuses de Camau).
L'Administration locale a établi le plan de
ces travaux et les ressources nécessaires à
leur exécution existent ; d'autre part, elle
cherche à établir dans certaines régions
peu habitées du- delta cochinchinois des
Palais de l'Indo-Chine. — Une salle. d'exposition
;
cultivateurs originaires d'autres régions.
Au Tonkin, la superficie cultivée en riz os-
cille, pour le delta, entre 800.000 et 900.000
hectares ; cette surface peut aussi aisément
être accrue ; on évalue à plus de 40.000 hec-
tares l'étendue des terrains qui, s'ils étaient
. irrigués, pourraient être cultivés en riz. La
possibilité de faire, dans certaines rizières,
deux récoltes par an compense dans une cer-
taine mesure la moindre étendue de la su-
perficie des rizières ; cependant l'Administra-
tion a entrepris, comme en Cochinchine, des
travaux de drainage et d'irrigation, en parti-
culier dans les provinces de Bac-Gang, de Ha-
Nain, de Ha-ddng, de. Bac-Ninh, où ces tra-.
vaux ont ouvert à' la culture près de 18.000
h-ectares. Les travaux d'hydraulique agricole
sont d'ailleurs l'objet des efforts constants de
l'Administration des Travaux publics dans
toute l'Indo-Chine.
Dans le Centre et le Sud-Annam, où la pro-
duction du riz est insuffisante, les indigènes
s'efforcent de. perfectionner leurs cultures :
dans le Quang-Nam, en particulier, ils ob-
tiennent deux récoltes ; ailleurs ils sèment du
riz hâtif afin d'éviter les inondations.
Exposition des huiles et des usines de poissons, poivre, etc.
Au Cambodge, c'est surtout dans les pro-
vinces de Takéo, Saoi-Rieng, Prey-Veng et
dans les provinces qui ont fait retour récem-
ment de Siem-Réap et de Battambang que l'on
cultive le riz ; il s'exporte presque tout entier
par Sa:igon. -
Autres cultures. — C'est surtout depuis
l'occupation française que de nouvelles cul-
tures ont été introduites dans le pays et que
les autres cultures, déjà nombreuses, se sont
développées.
On peut les diviser en deux groupes : les
cultures alimentaires et les cultures indus-
trielles.
Parmi les cultures alimentaires, il faut ci-
ter tout d'abord le maïs dont la culture pra-
tiquée, il y a quelques années, surtout au
Tonkin, s'étend peu à peu dans toute l'Indo-
Chine (exportation en 1908 : 80.000 tonnes).
Viennent ensuite : les légumes, les patates,
les ignames, les taros, le manioc, l'arrow-
root, qui se rencontrent un peu partout, mais
surtout au Tonkin et dans le Nord-Annam les,
patates et le manioc font l'objeL d'une grande
culture, le manioc en particulier, utilisé sur-
tout pour la fabrication du tapioca. A signa-
ler également l'extension de la culture du pe-
tit haricot vert (dau-xanh), avec lequel on
peut fabriquer du vermicelle, dont les Anna-
mites achètent chaque année à la Chine pour
4 à 500.000 piastres.
L'Indo-Chine produit une très grande va-
riété de fruits tropicaux : bananes, mangues,
mangoustes, ananas, oranges, etc.
Enfin, il y a lieu de signaler un certain
nombre de cultures spéciales, dites de den-
rées coloniales : poivre, thé, café, canne à su-
cre, cannelle, cardamome.
Le poivre est cultivé en Cochinchine et
plus encore au Cambodge ; sa production a
presque doublé en ces dernières années, dé-
passant 5 à 6.000 tonnes, et comme elle ne
trouve pas de débouchés suffisants, sa valeur
a beaucoup diminué; la culture de cette épice
devient peu rémunératrice et les quantités à
importer en France viennent d'être fixées par
une loi métropolitaine-
Le thé réussit parfaitement en Annam et
au Tonkin et sa culture s'étend de plus en
plus ; malheureusement sa préparation en-
core imparfaite l'empêche de se substituer
aux thés de Chine,-que l'Indo-Chine ou la
France importent chaque année en quantités
considérables. L'Indo-Chine, en effet (Cochin-
chine surtout) achète annuellement à. la
Chine environ 1.200 tonnes de thé, et, d'au-
tre part, l'importation du thé en France at-
teint 3.000 tonnes.
en particulier, les tramways de Hanoï et ex-
tensions'; celui de Phuninh-Giang à Késat et
Cam-Giang (Tonkin) ; celui de Tourane à Fai-
foo (Annam) ; celui de Saïgon à Chololl. et
enfin celui de Saïgon à Govap et Hoc-Mon.
Postes et télégraphes. — Ce réseau de rou-
tes, de voies navigables et de chemins de fer
est complété par environ 12.000 kilomètres de
lignes télégraphiques qui relient entre eux les
postes les plus éloignés de l'Indo-Chine, sans
compter les. lignes téléphoniques (Saïgon à
Cholon ; Hanoï à Haïphong) et- les postes de
Autres étagères portant des spécimens d'huile,
des issues de poissons, du poivre, etc.
télégraphie sans fil établis sur divers points
de la côte ou de l'intérieur.
Des communications électriques existent
entre l'Indo-Chine et l'Europe par le câbla
anglais de l'Extern Extension, par le câble
français de Haïphong à Amoy (Chine), qui
dessert Kouang-Tchéou-Wan et est relié à la
ligne sous-marine de Vladivostok.
On compte sur le territoire indo-chinois
plus de 270 bureaux de poste, dont plus
de 120 bureaux ouverts au service com-
plet et environ 150. bureaux restreints ; le
nombre de bureaux ruraux atteint presque
170 ; de plus 6 bureaux fonctionnant en Chine
dépendent du service postal et télégraphique
indo-chinois.
Lignes maritimes. — Avec la France et l'Eu-
rope, les relations sont assurées par les na-
vires des Messageries maritimes qui ont un
courrier bimensuel de Saïgon à Marseille avec
un service annexe, hebdomadaire, de Saïgon
à Haïphong, et un service mensuel de cargos
de Haïphong à Dunkerque.
La Compagnie des Chargeurs réunis a éga-
lement un service mensuel, régulier, de car-
gos entre Haïphong et Dunkerque.
La distance de Marseille à Saïgon (13.600
kilomètres) est franchie en vingt-quatre jours
par les paquebots postaux des Messageries
maritimes, avec escales à Port-Saïd, Djibouti
ou Aden, Colombo et Singapour.
L'Indo-Chine est en relations : avec la Chine
et le Japon par la ligne bimensuelle de Saïgon
à Yokohama par Hong-Kong et Shangha:i ;
avec la Chine seule, par plusieurs lignes de
Haïphong à Hong-Kong avec escales à Pak-
Hoï, Hoï-Hao et Kouang-Tchéou-Wan ; avec le
Siam par une ligne de Saïgon à Bangkok par
Poulo-Condore ; avec la Péninsule Malaise et
les Indes Néerlandaises par des lignes an-
nexes des Messageries Maritimes de Saïgon
à Singapour et de Singapour à Batavia.
En fin, la Compagnie française de cabotage
des mers de Chine envoie dés navires de Saï-
gon au Japon, à Hong-Kong, aux Philippines
et à Java, suivant chargement.
En outre, de très nombreux cargos {fré-
quentent le port de Saïgon où ils prennent
des chargements de riz pour l'Extrême-Orient
et pour la France.
Agriculture, Commerce et Industrie.
Riziculture. — La principale culture, la pro-
duction prépondérante de l'Indo-Chine est le
riz base de l'alimentation des populations in-
digenes ; on le rencontre à peu prèsTaîtout
mais ses deux principaux centres près de partout,ciilture
sont le delta de la Cochinchine et celui du
Tonkin..
On cultive en Indo-Chine un très grand
nombre de variétés de riz ; riz gluant, riz
dur, riz hâtif, riz tardif, riz de plaine, riz de
montagne, riz flottant ; cette grande variété
permet d'obtenir de bons rendements suivant
les régions et la variété cultivée.
Le. nombre des récoltes annuelles varie sui-
vant chaque pays : en Cochinchine, on n'en
fait qu'une ; au Tonkin et dans le Nord-An-
nam, il y en a deux, l'une au cinquième et
l'autre au dixième
mois de l'année anna-
mile (mai-juin et oc-
tobre -novembre) ;
dans le Centre-Annam
on fait également
deux récoltes, au troi-
sième et au huitième
mois.
* Le rendement est
variable suivant les
régions et les soins ;
il oscille entre 500 et
4.000 kilos de grain à
l'hectare ; entre ces
deux extrêmes, la
bonne moyenne est de
2.000 à 2.500 kilos.
En Cochinchine, les
rizières occupent une
superficie variable
suivant les années de
1 million à 1.200.000
hectares. On estime
que cette superficie
pourrait être doublée si l'on utilisait, après
des travaux assez considérables de drainage
et d'assèchement, de vastes plaines presque
toujours inondées (plaines de joncs, plaines
marécageuses de Camau).
L'Administration locale a établi le plan de
ces travaux et les ressources nécessaires à
leur exécution existent ; d'autre part, elle
cherche à établir dans certaines régions
peu habitées du- delta cochinchinois des
Palais de l'Indo-Chine. — Une salle. d'exposition
;
cultivateurs originaires d'autres régions.
Au Tonkin, la superficie cultivée en riz os-
cille, pour le delta, entre 800.000 et 900.000
hectares ; cette surface peut aussi aisément
être accrue ; on évalue à plus de 40.000 hec-
tares l'étendue des terrains qui, s'ils étaient
. irrigués, pourraient être cultivés en riz. La
possibilité de faire, dans certaines rizières,
deux récoltes par an compense dans une cer-
taine mesure la moindre étendue de la su-
perficie des rizières ; cependant l'Administra-
tion a entrepris, comme en Cochinchine, des
travaux de drainage et d'irrigation, en parti-
culier dans les provinces de Bac-Gang, de Ha-
Nain, de Ha-ddng, de. Bac-Ninh, où ces tra-.
vaux ont ouvert à' la culture près de 18.000
h-ectares. Les travaux d'hydraulique agricole
sont d'ailleurs l'objet des efforts constants de
l'Administration des Travaux publics dans
toute l'Indo-Chine.
Dans le Centre et le Sud-Annam, où la pro-
duction du riz est insuffisante, les indigènes
s'efforcent de. perfectionner leurs cultures :
dans le Quang-Nam, en particulier, ils ob-
tiennent deux récoltes ; ailleurs ils sèment du
riz hâtif afin d'éviter les inondations.
Exposition des huiles et des usines de poissons, poivre, etc.
Au Cambodge, c'est surtout dans les pro-
vinces de Takéo, Saoi-Rieng, Prey-Veng et
dans les provinces qui ont fait retour récem-
ment de Siem-Réap et de Battambang que l'on
cultive le riz ; il s'exporte presque tout entier
par Sa:igon. -
Autres cultures. — C'est surtout depuis
l'occupation française que de nouvelles cul-
tures ont été introduites dans le pays et que
les autres cultures, déjà nombreuses, se sont
développées.
On peut les diviser en deux groupes : les
cultures alimentaires et les cultures indus-
trielles.
Parmi les cultures alimentaires, il faut ci-
ter tout d'abord le maïs dont la culture pra-
tiquée, il y a quelques années, surtout au
Tonkin, s'étend peu à peu dans toute l'Indo-
Chine (exportation en 1908 : 80.000 tonnes).
Viennent ensuite : les légumes, les patates,
les ignames, les taros, le manioc, l'arrow-
root, qui se rencontrent un peu partout, mais
surtout au Tonkin et dans le Nord-Annam les,
patates et le manioc font l'objeL d'une grande
culture, le manioc en particulier, utilisé sur-
tout pour la fabrication du tapioca. A signa-
ler également l'extension de la culture du pe-
tit haricot vert (dau-xanh), avec lequel on
peut fabriquer du vermicelle, dont les Anna-
mites achètent chaque année à la Chine pour
4 à 500.000 piastres.
L'Indo-Chine produit une très grande va-
riété de fruits tropicaux : bananes, mangues,
mangoustes, ananas, oranges, etc.
Enfin, il y a lieu de signaler un certain
nombre de cultures spéciales, dites de den-
rées coloniales : poivre, thé, café, canne à su-
cre, cannelle, cardamome.
Le poivre est cultivé en Cochinchine et
plus encore au Cambodge ; sa production a
presque doublé en ces dernières années, dé-
passant 5 à 6.000 tonnes, et comme elle ne
trouve pas de débouchés suffisants, sa valeur
a beaucoup diminué; la culture de cette épice
devient peu rémunératrice et les quantités à
importer en France viennent d'être fixées par
une loi métropolitaine-
Le thé réussit parfaitement en Annam et
au Tonkin et sa culture s'étend de plus en
plus ; malheureusement sa préparation en-
core imparfaite l'empêche de se substituer
aux thés de Chine,-que l'Indo-Chine ou la
France importent chaque année en quantités
considérables. L'Indo-Chine, en effet (Cochin-
chine surtout) achète annuellement à. la
Chine environ 1.200 tonnes de thé, et, d'au-
tre part, l'importation du thé en France at-
teint 3.000 tonnes.
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