organismes parasites des haricots ; inoculée à plusieurs variétés de haricots elle a déterminé chez elles des lésions locales présentant de l'analogie avec celles que l'on observe chez l'Aleurites au début de l'infection.
Traitement par l'huile des maladies du bananier. MALCOLM J'A.fl& Tropical Agriculturist, vol. LXXXI, n° 2, août 1933). — 1° Le traitement précoDI autrefois pour les deux maladies sérieuses du bananier (maladie en grappes du sommet et maladie de Panama) était l'arrachage et la destruction par le feu de toutes les touffes de bananier dans lesquelles l'une ou l'autre des maladies ses montrée. Il se révéla difficile de réaliser efficacement ce traitement par suite (le, la façon de végéter des bananiers ; 2° Un traitement des touffes malades avec de l'huile lourde a été mis au point à la Jamaïque ; 3° Des expériences avec di f san te rentes huiles ont été menées à Ceylan et on y a découvert une huile satls al t et peu coûteuse (connue sous le nom d'« huile pour maladie du bananier» e vendue par la Compagnie Shell de Ceylan) ; 4° Le traitement consiste à abattre les plantes malades jusqu'à 10 cm. du sol et à répandre sur et autour d elle* de 1/2 à 1 litre d'huile spéciale par touffe. Cette huile pénètre dans le SOt et tue les parties souterraines du bananier. Le prix de l'huile employée est estimé à environ R. 0,10 (= 0 $ 06 env.) par touffe ou plant-mère. (Résumé 6 l'auteur).
Inutilité de la désinfection sur place par la chaleur des graines de coton produites en Somalie comme moyen de lutte contre « Platyed1*® gossypiella » Saund. Dr ALPHONSO CHIAROMONTE (Coton et Cult. cotonnière, vo- 7, fasc. 3). — Dans cette communication l'auteur rend compte d'observationS faites en Somalie italienne sur la désinfection des graines de coton par la chalcur dans le but d'éviter l'extension de « Plalyedra gossypiella », le ver rose du coton nier. Il décrit un procédé utilisant la chaleur solaire, très économique, lie donnant pas toujours de bons résultats malgré la haute température obte"te par exposition au soleil (60° C). La désinfection par l'air chaud (machine SimoI1 a remplacé le procédé utilisant la chaleur, solaire à la station d'égrenage de Vittorio. L'auteur critique l'emploi de cette machine, qui, selon lui, nuit au pouvoir germinatif de la graine. Il signale un point important de la biologie de Platyedra gossypiella qui en Somalie ne se chrysaliderait jamais dans la grai1?®' mais dans les débris végétaux à la surface du sol ou à quelques millimètres de profondeur dans la terre. Platyedra gossypiella n'hivernerait pas dans la gr,' ille, et par conséquent, la désinfection des semences ne serait pas motivée en SOInalie
PISCICULTURE La mortalité des carpes, ses causes, ses remèdes. MICHEL LHÉW11^ (Bulletin français de Pisciculture, mars 1933 — extrait de la Revue des Eavï e Forêts, n° 5, mai 1933). — Dans les petits, étangs non alimentés par des ruiss®311^ ou des sources, on constate souvent, surtout pendant la canicule, que des carpe meurent sans cause apparente. L'A. établit que ces carpes sont empoisonnées, OU plus exactement asphyxiées par l'hydrogène sulfuré qui se dégage de la ,,¡¡se accumulée au fond de ces étangs. Comme remèdes il conseille de brasser forte, ment l'eau afin de donner au poisson l'air qui lui manque, puis d'y jeter permanganate de potasse. Comme mesures préventives, l'assec hivernal et le cblJ
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