très notable de la récolte par comparaison avec celle obtenue en appliquant le CQ.rn po st préparé sans engrais azotés ; 5° La récolte est augmentée surtout lors- applique de la paille transformée en compost sans engrais, en y ajoutant s derniers au moment de la fumure. On obtient, dans ce cas, une récolte supé- Iellre à celle que l'on a avec du fumier artificiel, c'est-à-dire avec du compost préparé avec les, engrais ; 6° A la préparation du fumier artificiel avec engrais Qzotés à la dose de N 0,7-0,8 on constate des pertes élevées en azote qui slé , jusqu'à 50 de la quantité de l'azote ajouté. A une diminution jusqu'à t ,4 :0 de la dose de N ajouté, les pertes deviennent insignifiantes, cependant l'in- sité de la décomposition ne diminue pas ; 7° On peut donc affirmer qu'il est Pltls rationnel de transformer la paille en compost avec addition d'engrais azotés * , la dose 0,4 de N ou (ce qui est mieux encore) de préparer le compost sans etllgraI's azotés et d'ajouter ces derniers au moment de l'application de la paille formée en compost directement dans le sol.
d Les modifications que subit la teneur en acide phosphorique soluble s superphosphates, au cours de son magasinage en gros. VII. Réac- SIon entre le phosphate monocalcique et l'oxyde de fer. — R. SHOJI et E.
c ~~si. (J. SQc. Chem. Ind. Japan, Tome 35, n° 9, 1932. — exitrait de Chi- r et Industrie, vol. 29, n° 4, avril 1933). — L'étude de l'action de l'acide sul- FUR 1(ÏUe par un mélange de phosphate tricalcique et d'oxyde ferrique montre que j Plus grande partie de l'oxyde reste inchangée dans le superphosphate formé.
ciUolque pratiquement il n'y ait pas de réaction entre le phosphate monocal- Ciqlle et l'oxyde ferrique à température ordinaire, quand on chauffe à 60° ils réa ^1SSen^ l'un sur l'autre et une partie de l'acide phosphorique se combine et p;;ICnt insoluble. L'oxyde naturel (hématite) réagit plus lentement qu'un oxyde D Paré chimiquement mais la tendance à la réaction est la même dans les deux ea8* Le rapport moléculaire entre l'anhydride phosphorique transformé, et l'oxyde Ique ferrique entré en relation est de 3/1. En conséquence, l'acide phosphorique soluble (je superphosphates fabriqués en partant des phosphates naturels diminue gra- à une de pendant le uellement quand ils sont soumis à une élévation de température pendant le l~ if Augmentation de la solubilité de P205 des scories Thomas par mé- lu nge avec des sels de potasse. J. FISHER (Die Phosphorsäure, 2, 1932). —
solubilité de p205 des scories et des phosphates bruts dans la solution d'acide icfUe 2 n'est pas augmentée par la présence des sels de K, Na ou Mg. L'aug- ni ^°n apparente qui avait été signalée par Haseloff est due exclusivement à ce fait que, dans les échantillons de mélange de potasse et de scories, il existe n. POIds total de P205 inférieur à celui qui existe dans l'échantillon de scories Çst ^langées. Par conséquent, P205 d'un mélange de scories et de sels de potasse Est déplacé, par un volume proportionnellement plus élevé d'acide citrique que P2()5 des scories pures.
^SPÉRIENCES exécutées avec des engrais azotés. J. W. TIDMORE et J. T.
lJlAMSON (Amer. Fertilizer, T. 77, n° 8, 1932 — extrait' de Chimie et Industrie, t'ol' 80, n° 1, juillet 1933). - L'étude de l'efficacité relative des différents engrais a.z tés et des méthodes employées pour neutraliser l'acidité produite par les engrais ph 1 d 1 •for S P^yslologiquement acides, a donné les résultats suivants : le nitrate est la \i,:e là plus rapidement assimilable. Cependant, dans les climats chauds, la li 4 8e d'action de l'azote ammoniacal lui est presque équivalente. Le nitrate est
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
Facebook
Twitter