fle graines avaient germé. Une forte végétation herbacée fut combattue par la deuxième façon et beaucoup moins par la troisième ; 8° La récolte fut l'opération Ja plus coûteuse : elle revient, à l'ha., à 68 $ 42 pour les cannes vierges et à 95 pour les repousses ; 9° La production totale à l'ha. fut de 45,36 tonnes pOur les cannes vierges et 18,43 tonnes pour les repousses ; 10° Le coût de pro- duction par ha., cannes coupées et prêtes au charroi, fut de 158 $ 25 pour les cannes vierges et de 64 $ 87 pour les repousses. Le transport compris cela fait 194 $ pour les cannes vierges et 82 $ 47 pour les repousses ; 11° Le prix de Production à la tonne pour les cannes vierges coupées et prêtes au transport, fut, sur champ, de 3 à 48 et de 4 $ 27 transportées à l'usine. Pour les repousses, les prix correspondants furent 3 $ 62 et 4 $ 47 ; 12° Le bénéfice net par tonne rut de 0 $ 58 pour les cannes vierges et de 0 $ 56 pour les repousses. Il fut basé p?' un prix de vente de 5 $ 60 ; 13° Le revenu net à l'ha. fut de 26 $ 71 pour es cannes vierges et de 10 $ 33 pour les repousses ; 14° Le pourcentage de rapport Sllr l'investissement fut de 11,74 pour les cannes vierges et de 11,11 pour les repousses. (Résumé des auteurs).
V Une nouvelle huile commercialisée : l'huile de Babassu. A. HUTIN. La Qture, 15 février 1933. — extrait des Annales de Gembloux, août 1933). — Les Uts prix relatifs des huiles de coco ou coprah, des huiles de palme, de palmiste et connexes, ont conduit les botanistes et industriels coloniaux à chercher des ^Uccédanés bon marché. Au Brésil, on exploite des palmiers spéciaux : Orbignia speciosa, Orbignia Martiana, Attelea speciosa. Le nom commercial de ces huiles est celui d'huile de babassu. Elle est contenue au laux de 66 du poids de e. Cette amande elle-même ne constitue que 8 du poids du fruit.
"IldOCar de ce fruit peut fournir 30 de charbon à usages décolorants, 8 1 ,Icid,e acétique à 80 de pureté, 8 de goudron utilisable et un peu d'esprit de tlS. A Maranho (Brésil), des usines ont été installées. En Bolivie, on se sert depuis jogternps du fruit du babassu et l'on nourrit le bétail avec ses tourteaux, que on dit économiques.
h. ^KLIYU grass. H. G. ELLIOTT. (Journ. of the Depart. of Agric., Western Aus- Il;' la, juin 1933). —- Le Kikuyu grass (Pennisetum clandestinum Pilga) est origi- Ilaire du Congo belge et fut introduit du Sud africain en Australie. Il a, dans ce pays 1 dépassé le stade expérimental et est employé en grand comme herbe de pâ \1rage et un peu comme « lawn grass ». Comme cette plante ne graine pas et Un peu comme « lawn grass ),. Co mme cette plant-e ne graine pas bQ ns le Sud-Ouest de l'Australie les moyens de multiplication employés sont les ures et la division de la couronne. La gelée ne l'affecle pas. Le Kikuyu grass P0Us0 sur presque tous les terrains mais vient naturellement mieux sur les sols fertiles. es. Ng grainant pas il est facile de l'empêcher de devenir envahissant. C'est £ rainant Pas il es^ facile de l'empêcher de devenir envahissant. C'est est pâturage de valeur mais il ne peut être employé à faire du foin. La ptantation est recommandée au printemps et au début de l'été (Résumé de l'auteur).
* Action de la conservation au froid et de l'âge des semences d'ara- c^e sur la germination et le rendement. J. H. BEATTIE, A. M. JACKSON et R. E. CURRIN (U. S. Dept. Agr., Circ. 233, 1932). - La conservation au froid des graines d'arachide, entre 0 et 5° C, ne présente aucun inconvénient au point de de vue de la germination e du rendement. Cette pratique peut être recommandée Puifc Quelle offre l'avantage de maintenir saines les semences conservées. Il n'en
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
Facebook
Twitter