fournissent les quantités de matière, verte nécessaire. On utilise surtout ullr composée très répandue ; 2° Fumure minérale: L'acide phosphorique prilicipale, ment sous la forme superphosphate est l'élément le plus employé. Dans les rizières pauvres, on apporte quelquefois en plus de l'azote. Il est particuliè recommandé de ne pas apporter de fumure minérale sans fumure organique- 's potasse n'a jamais manifesté d'action positive sur les rendements. Les,.' enê minéraux ne sont jamais payants et en 1929 leur emploi était tout juste rédjullé- rateur ; 3° Technique expérimentale : Des expériences ont été faites pour d miner les variations de fertilité d'un terrain suivant les zones. Ces variations t considérables, cependant l'erreur standard qui diminuait avec la grandeur jt parcelles élémentaires ne varie pratiquement plus au delà de 1/87 d'acre, soit 50 m2 environ.
IV. —• INDOCHINE
Office indochinois du Riz : M. DEVISME, Directeur. t f;1Ït Nous renvoyons le lecteur aux notes et documents que cetétablissemell odes ou fera paraître. L'Office du Riz a été normalement amené à modifier ses m1 de travail à mesure de son développement. Ses programmes d'étude avalent déjà fait place à leur heure aux idées de M. DUMONT et beaucoup de ses sugge tj0ns sont actuellement en cours de réalisation.
Les ennemis du Riz et l'élevage des Carpes. R. CHIAPPELLI (GIOR^^ Risicoltura, XXII, 1932. — extrait de la Revue de Botanique appliquée, n. paf juillet 1933). — Les riziculteurs se plaignent fréquemment des dégâts produits ( les nombreux parasites qui infestent leurs cultures. Très souvent, les racines jeunes plants sont rongées par des mollusques d'eau douce (Planarbe, Lymnée, etc j, par la larve d'un insecte (Stratiomys), les larves de Phrygane, etc., d'autre P par certaines années, on voit pulluler un petit crustacé, l'Apus cancriformis, qui ril ses mouvements désordonnés, trouble l'eau, et empêche l'enracinement <~ IJljS nouvellement transplantés. D'après l'A. le meilleur moyen de détruire les en du riz, consiste à élever des carpes dans les rizières ; ces poissons, très vo^ débarrassent en peu de temps une rizière de tous les hôtes indésirables qtl 'elle recèle.
CULTURES DIVERSES Coût de production de canne à sucre au Collège d Agriculture des Coût de production de canne à sucre au Collège d'Agriculture des Philippines. * ALEJANDRO B. CATAMBAY et JESUS E. SEGOVIA (The philippine 49 ri- culturist, vol. XXII, n° 4, septembre 1933). — 1° Le prix des labours de prépara tiol, pour un ha. de plantation fut de 32 $ 27. Ils comprennent un labour au tra 21 il et deux labours à la charrue indigène ; 2° Le prix du hersage fut de 3$,f l'ha. On employa la herse indigène en bambou ; 3° Le coût du sillonnage fut je 7 $ 78 par ha. La profondeur des sillons était de 15 à 20 cm. Pour obtenir cette profondeur la charrue indigène fut passée trois fois ; 4° Le coût total de P la tion des boutures, fut de 16 $ 24 ; 5° Le prix de culture des cannes vierges à l'ha., de 29 $ 54. Il comprend trois façons ; 6° Le prix de culture des e 115 fut de 30 $ 61 à l'ha. Il comprend quatre façons ; 7° Dans la culture des calolies vierges, il ne fut pratiquement pas retourné d'herbes à la première façon car pe
* Le d ,t' é t acltlBI * Les prix, donnés en pesos, ont été ramenés en piastres au cours moyen 3c' ci 100 piastres = 107 pesos.
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