htti~ L'accroissement des arbres réservés dans les coupes de taillis s fuian peut être théoriquement calculé d'après le temps qui s,écoulera e l'exploitation de ces coupes et l'exploitation des coupons en f~Il tai dinée. .\JI' En admettant un accroissement de diamètre d' un centimètre 1 et par an, sauf pour le Chhœuteal et le Phdiek, les arbres < H. p^r- n" 1 : auront augmenté de 0 m. 30 pour la coupe 1; auront augmenté de 0 m. 29 pour la coupe 2 ; auront, augmenté de 0 m. 28 pour la coupe 3.
Pour simplifier les calculs, nous pourrons, sans qu'il y ait ni.
erreur, prendre la moyenne de cet accroissement qui sera pendant la période séparant l'exploitation des coupes et des ^jilr période à la fin de laquelle le traitement de cette foret passel'(l (Ill sous fulaie à la futaie jardinée. ('¡Ipl [] e'l sera de nu\rne pour les arhres des coupons sui vanls qUI' ]ll()ÍII' deux ans de moins et conséquemment une moyenne de 0 m, 02 (le111()jlli , l '1\' de diamètre dans chacun des coupons au fur et a mesure q11 0,1 ( '1,[1[10\
dans l'exploitation en futaie jardinée : exploilation qui doit par. ill'il, en 10 ans, la superficie primitivement parcourue en 30 ans.
L' accroissement des arbres réservés dans les coupes de tailhs ■ qui formeront les derniers coupons de futaie sera sensiblement Illèti.~
que dans les coupes qui formeront les premiers.
On pourrait objecter (pie, paj suite de l'aération consécutive a jyM1' On pourrait objecter que, par suite de l'aération eonspcutive (l 'eJlÙ¡i' lation, le taux d'accroissement des arbres des coupes formant Ie 'j)Irnii'rt' }el' < e coupons sera plus fort que celui des arbres réservés dans lee ..)i~' coupes, ceux-ci ayant été dégagés bien plus tard, mais ils ai" (jjX l' de plus lors de leur exploitation , .; Fr" près compensation ; admettons donc les données fournies paUl les miers coupons comme base sérieuse pour tous. |()iil' Les essences classées se trouvant dans les coupons n'étant 1 de (tl également exploitées, ainsi que nous l'avons vu au co'" CI] ¡lnnl1i etude (1), nous pouvons d'après leur emploi et le volume ntu') ii1'11' vérifié au cours de ces 25 dernières années dans la Division Métrey et livré au commerce, les classer en huit groupes. t les n;1 1 1 l 1 , , TlteJlt treize essences le plus communément exploitées qui représent jt>s des bois présentés à la vérification (tableau XVII).
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
Institut national d'agronomie de la France d'outre mer Institut national d'agronomie de la France d'outre mer/services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Institut national d'agronomie de la France d'outre mer" or dc.contributor adj "Institut national d'agronomie de la France d'outre mer")France France/services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "France" or dc.contributor adj "France")
