CoIlservent. leur appétit et ne se tarent pas ; leurs membres restent intacts ce Ul montre; la bonne trempe de leur appareil locomoteur. Le travail 4tlquel elles :sont soumises, est d'autant plus pénible qu'il est accompli dll Montées et descentes, car il n 'y a pas un chemin en terrain plat ,ls la Jumeriterie. Un fleuve, ces jument^ montent un double tonneau ul, tomt),ereatr de sable, une charrette de fourrage vert ruisselant (/a.u (700 à 800 kg.) jusqu'à l'endroit le plus, élevé de l'établissement 0 Stries de différence de niveau). Lorsque pour faire la même route, t fournisseur de paddy monte avec des juments du pays chargées seu- ^rit à 300 kg., le conducteur doit s'atteler lui-même auprès de son Ir¡h al et parfois, le renfort d' un deuxième cheval est nécessaire. Ce laib lea.u du charretier attelé à côté de son cheval est bien familier à ceux Ul circulent sur les routes de cette région du Ton kin.
°Us utilisons à la Jumenterie tous les instrument agricoles français.
1 exception du grand brabant qui est de la force de 4 forts chevaux et que nous attelons à 12 bœufs, tous nos instruments sont actionnés par les juments, soit la herse à trois compartiments, le pulvériseur, le ïïioir, |]e rouleau, les charrues Oliver, les houes à cheval et le distri- d'" lr d engrais. La traction t'quille a l' avantage sur la traction bovine d'étre bi eaucoup plus rapide. Certains instruments tels que la herse et le pilvériseur mûs par des ho.:'ufs ont lIlI rendement à peu près, nul, 6 qtie, Il etant animés d'aucune force vive, ils n'arrivent pas à casser le$ mottes ; ils les poussent. Il faut passer dix fois pour obtenir un là où il suffit de passer une fois avec des chevaux.
et - U trait, la résistance des poulains de 1/2 sang arabe est indéniable ceux. qui auraient encore des doutes n'auraient qu'à se ren d, la .Itlllle,llt,erie pour se convaincre de la qualité de ces chevaux.
,Le service de la selle est encore plus pénible., parce qu'il exige non dans elYlent un effort, musculaire intense mais encore beaucoup d'adresse (jai^' lme région aussi montagneuse que celle du Territoire de Cao-bang, Nous yons nous-même. mis à l'épreuve trois juments sur de longs P}' COUrs choisis parmi les plus difficiles, certaines étapes étant accom- pli à alJures rapides, toutes les côtes étant descendues au trot, le pas M' étant el) employé que pour monter ; nous ne parlons pas du parcours Cei Paliel1 étendu qu'il n'y en a pas dans cette région, ou si peu, que ne mérite même pas mention.
est Avec Mère, tranquille, fille de Tunis, (1/2 sang arabe Mogod), qui 110 notre monture personnelle et accompagné par un étalonnier auquel s avons enseigné quelques principes élémentaires d'équitation, cet ÍI.\¡o onnler montant la jument Josette, 3/4 arabe tarbaise dont nous la S donné les mensurations au tableau VII, nous avons fait en 36 heures h r donnée suivante : Nuoc-hai, Ta-xa, Nguyên-hinh, Tap-na, Thung-
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