s'effondrent sous le poids des animaux qui piétinent sans ménag tous les canaux dont l'entretien devient ainsi pratiquement imposé Il faut alors transformer le réseau drainant à ciel ouvert en réseau sière terrain ou interdire l'accès des drains aux animaux par une a oU disposée parallèlement au drain constituée par du fil de fer bar o",e plus économiquement par des rondins entrecroisés, quand on ( 1 localement de bois à discrétion.
Tous ces dispositifs économiques ont été déjà expérimentes Sur de8 plantations de Cochinchine ou des hauts plateaux d Annam Nous oï,g à remercier tout particulièrement M. LORTHOLARY, Directeur de la P
tion de Dak-doa (Kontum), de sa collaboration et de ses précieux C en matière de drainage souterrain par fascines et d'aménagement ^■ c0n0- mique de point d'eau antimalarien, et M. GOBELOT, Directeur cr le plantation de Xa-cam (Cochinchine), qui a bien voulu nous ®° des dispositif économique que nous décrivons ici pour l'aménagent t des puits d'arrosage des jardins maraîchers.
En résumé, La situation sanitaire d'une collectivité ouvrière humaine, vivant
une région où le paludisme sévit sous la forme hyperendéniique (iodes splénique infantile constamment supérieur à 50 p. 100), ne s a La en général pas suffisamment sous l'effet de la quinisation préventiv prophylaxie antilarvaire apporte, au meilleur prix et dans un de et tivement court, un an au minimum, une amélioration incontes définitive, si elle est appliquée rationnellement, et suivant une tec précise. , 't~ blir Avant d'entreprendre toute œuvre d'assainissement, il importe d e quête le bilan des ravages que cause la maladie, entre autres par une. enq< épidémiologique portant sur l'effectif atteint, enquête qui fournir^ leurs d'autres renseignements, indispensables à connaître pour a duite de la prophylaxie antilarvaire. rr~ Il est en outre, indispensable de déterminer les points d eau d (enquête entomologique), leur étendue, leurs caractéristiques toP pour phiques et la nature du terrain sur lequel doit porter le draina# p0llr pouvoir en toute connaissance de cause établir un projet d'assaimsS el)t et un devis des travaux. édecill On voit déjà que la collaboration intime de l'ingénieur et du Ulédecili , 1., , , Il' entre.
spécialisé s'avère indispensable pour mener à bien une te C pfi?1-' sanitaire.
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
Institut national d'agronomie de la France d'outre mer Institut national d'agronomie de la France d'outre mer/services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Institut national d'agronomie de la France d'outre mer" or dc.contributor adj "Institut national d'agronomie de la France d'outre mer")France France/services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "France" or dc.contributor adj "France")
