* Action des engrais et amendements sur les nitrates du so. A^ BEAUMONT. (Proc. 2nd Internat. Cong. Soil Sci. (Léningrad), 1932, 3, 57). -:.L à teur a utilisé pour ses expériences des limons sableux très fins, un nu teneur élevée en matière organique et en N et dont les réactions allaient d lJ C'- acidité forte à une alcalinité légère. — Les nitrates du sol ont légèrement delà monté pour des applications de CaO allant jusqu'à 64 quintaux par ha. Au de cette quantité, CaO n'a exercé aucune influence favorable sur la nitruica dans quelques cas même, les' applications élevées ont diminué la teneur SOl nitrates. De même, on a constaté une légère augmentation de la teneur d
en nitrates correspondant à l'élévation du pH par addition de CaO. La .011lié fication se produit rapidement dans un sol de pH 4,6, mais bien aPPrOA *S1°^ en engrais. Les engrais verts enfouis par labour (mt retardé la llitrificatI ,i pendant 3 ou 4 semaines, mais après ce délai des nitrates se sont accu m1'^ rapidement dans les parcelles ayant reçu de l'azote qu'ils auraient pu di ment être un facteur limitant la croissance. Des divers éléments chimIques teS lisés par les engrais, c'est N qui a produit la plus forte augmentation des 111 3 du sol, augmentation inégalement proportionnelle à la quantité appliquee. a entraîné une légère augmentation des nitrates, mais P a exercé une iufllJe les négative. Les effets de CaO et des engrais ne s'additionnent pas. Les 11 rj.
trouvés dans le sol y existaient en quantité supérieure aux quantités t Je ques calculées d'après cette idée que les engrais N sont l'a source I)rillciP"@.e d'éléments nitrifiables. Cela démontre avec évidence que le processus de il fication est augmenté par l'application des engrais, surtout azotés. La forille de l'azote est importante, surtout eu égard aux conditions climatiques. Eu salo de sèche, c'est le nitrate de soude qui a ordonné la plus grande accumulât100 ):l\J' nitrates, ensuite le sulfate d'ammoniaque et le tourteau de coton. En sa]SO par mide, c'est le sulfate d'ammoniaque qui prend la première place suivi P le nitrate de soude et les tourteaux de coton.
** Effet que l'application d'engrais exerce sur la fixation de \aZQte et la nitrification dans certains terrains de culture d'expénece.
B. THOMAS et F.-J. ELLIOTT. (J. Soc. C.hem. Ind., 1932, T. 51, n° 39). — Les AUTE ont étudié la fixation de l'azote et la nitrification sur des échantillons de G0JG arables et de pâturages, sous l'influence de différentes fumures en faisant y le pH de 4,53 à 7,87, à l'aide de chaulages progressifs. Les deux phénoIll aa- subissent, au même degré, l'influence de la réaction du sol. Les matières ordeS niques ont une influence moins grande que le pH sur le développement j microorganismes, mais plus sensible cependant que les engrais minéraux all l'influence est presque nulle. Dans le cas des pâturages, la fixation de 1 ';izote des courant de l'année varie très peu et n'est pas en rapport avec les variations Ws conditions atmosphériques ; au printemps et en automne, elle est un peu varia, intense ; la nitrification se comporte d'une façon analogue, mais subit des t 130 tions saisonnières plus fortes. Sur les sols arables, la fixation de l'azote atteint de maximum pour un pH de 6,5-7,5 ; la nitrification diminue à partir d'un F la 7,3, mais la corrélation avec les variations de pH est moins grande que pouf leS fixation de l'azote. Celle-ci varie avec les saisons plus fortement que sur ell pâturages et elle dépend de l'humidité ; des maxima ont été observés en avril e eI1 septembre. La nitrification subit sur les terres arables les mêmes variations sal nières que sur les pâturages. La terre arable fixe plus d'azote que la terre des Pral.
et la nitrification y est supérieure. On peut supposer que ceci est dû à la suc ^g.
sion des cultures et au travail de la terre, qui produit une dispersion des croorganismes, une bonne aération et de meilleures conditions de températufe.
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