terminations suivantes: 1° Rapport C/N; 2° Teneur en N; 30 Degré d'humification avec NH3 ; 4° Pentosanes. Dans la décomposition de la paille, du fumier d'étable, un rapport C/N inférieur à 20 a correspondu avec des pertes en matière sèche d'environ 50 A ce stade, sur la base de la matière sèche, il a été retenu 2 de N; Le degré d'humification (essai à NH3 aqueux) a été supérieur à 30% et la teneur en pentosanes inférieure à 12 Dans ces conditions, on n'a pas constaté que l'emploi du fumier ait eu de mauvais résultats sur la croissance Les feuilles de betteraves, de lupin, etc., ont été nitrifiées beaucoup plus rapide- ment que le fumier d'écurie; le taux de la nitrification n'a pas été en rapport étroit avec le rapport C/N des éléments en expérience, bien que la nitrification la plus rapide se soit produite, en général, dans les engrais verts à teneur élevée en protéine.
Facteurs d'efficacité et leur emploi pour déterminer les rapports fer- tilisants les meilleurs. W.-A. HUELSEN. (Journ. Agr. Research. U. S., !¡.5, y, 1932 — extrait de Experiment Station Record, vol. 68, n° 4, avril 1933). — A raIde de l'analyse critique de certains facteurs calculés d'après des résultats expérimen- taux et appelés facteurs d'efficacité les traitements fertilisants optima furent « déterminés (par l'auteur de cette étude, de la station expérimentale d'Illinois) d'une masse de rendements apparemment étrangers et en désaccord, sans av recours à des essais supplémentaires. Cette analyse est essentiellement une étu des effets réciproques que les engrais ont l'un sur l'autre comme s'ils étaie déterminés d'après les rendements de la culture. L'influence des engrais 1 uia sur l'autre sembla suivre certaines lignes définies qui peuvent ou non avoir une application plus vaste que les limites de cette expérience. » L'action réciproque de ces sels est décrite: « N a tendance à diminuer l'efficacité de P quand ce dernier élément est appliqué en quantités apparemment insuffisantes dans les diverses combinaisons fertilisantes ; mais si des quantités suffisantes de P sont comprises de petits traitements supplémentaires de N accroissent l'efficacité P. Ce dernier, appliqué seul, en augmentant les doses, montre des diminutions successives d'efficacité mais lorsqu'on l'emploie en combinaison avec N ou à la fois avec N et K il y a une augmentation constante d'efficacité. P influence aussi l'efficacité de N à un point considérable. Lorsque la teneur en F dans les ï~ langes N + P et dans les engrais complets apparaît insuffisante, l'efficacité de 1 est diminuée alors que, au contraire, il y a une augmentation appréciable de so effet si la teneur en P est suffisante. Quand les applications de N sont augmentées et que P est maintenu constant les plus faibles quantités de N sont habituelle- ment les plus efficaces. Une étude sur les relations existant entre N et K indique que ces deux éléments nutritifs ont un effet réciproque l'un sur l'autre et, en outre, cette réciprocité montre une tendance à être inverse, c'est-à-dire que, sous certaines conditions, beaucoup de N et peu de k présentent des facteurs d'efficacité équivalents à ceux provenant de peu de N et beaucoup de K. Avec apport P, toutefois, une combinaison renfermant peu de N et beaucoup de K donne ordinairement des meilleurs résultats qu'une avec beaucoup de N et peu de Kt — P, outre qu'il est soumis à l'action de N, est aussi sujet à un changement considérable dû à K. L'effet de K est quelque peu complexe et ne se manifeste pas de la même manière sous toutes, les conditions. Considéré au point de vU® de l'influence sur les rendements en grain, K semble plus efficace lorsqu'appliqué en quantités relativement petites en combinaison avec P mais sans N. L'addi- tion de N, comme celle de K, donne naissance à une relation inverse dans lit- quelle F semble maintenir son efficacité en équilibre quand la dose de K augmente
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