ei1 1928 el 1932 indiquent de grosses augmentations des teneurs en azote et en Jnatière organique dans le cas des parcelles à Indigofera mais des diminutions en ce qui concerne les témoins. Les paroelJes à Clitoria montrent une légère en cOncerne les téiiioiiis. Les parcelles à Clitoria montrent une légère gains IOn. en azote. Toutes les parcelles accusent des pertes, en argile et des Heu daen sable + gravier mais les plus faibles pertes et gains respectifs ont Ijeil r) Us les parcelles à Indigofera ; l'inverse se produit pour les témoins ; 6° Les ^lyseso' entraîné par l'érosion montrent que c'est dans les parcelles à hïdi.c- ra qu'il renferme les plus forts pourcentages de potasse, acide phospho- rif t faibl e azote alors que c'est sur les témoins que sont enregistrées les plus bas es, proportions. Les pourcentages d'argile sont, pour ce même sol, les plus ee Illdigofera. Ce sol entraîné est en général plus riche en matières ferti- il Isa-l'tts que celui dont il est dérivé ; 7° D'après les chiffres d'analyse obtenus les rnOllttités totales des constituants fertilisants du sol perdues par l'érosion se niont lrès apprécjables. Il est perdu en moyenne, par ha., annuellement : 80 kg.
en 75 kg. de potasse et 28 kg. d'acide phosphorique. Les plus faibles pertes Sse et acide phosphorique se produisent dans les parcelles à Indigofera ma-[s Pertes en azote sont plus fortes, sur ces parcelles que sur les témoins.
dUes ortes Pertes en ce dernier élément des parcelles à Indigofera sont évidemment (jUes aUX débris de feuilles décomposés; 8° Les résultats des analyses sont un a e de plus de la valeur et de l'efficacité relative d'une couverture d'Indi- gofer endecaphyUa et de haies de protection de Clitoria cajanifolia pour diminuer SIOn et la perte de fertilité du sol. (Résumé des auteurs).
* n. des matières organiques dans le sol par les micro- 0rgan1'SLLLES- S. OSUGI et S.-YOSHlE, (Proc. and Internat. Cong. Soil Sci. (Lenin- grqdy 3, 107-110). ----,.< Dans les conditions des champs de riz et des champs seCs édition au sol de N assimilable a accéléré la décomposition de la matière 1lqlle. En ce qui concerne celle du glucose et du papier filtre, le rapport C/N Pou Us convenable a été 10/1 pour les champs secs et 5/1 pour les champs de riz.
cornr la Paille de riz qiu contient de la matière beaucoup plus difficilement dé- C°mpo.S, a^^e' le rapport le meilleur a été 30-20/1. La transformation de N ammo- niaCai ei1 formes insolubles, conséquente à l'incorporation de matières organi- qlleg Se produit plus lentement dans les conditions, des dWJllpS de riz que dans celles des charnps secs et -la 'quantité maximum de N intéressée par cette transfor- mation des champs secs et la quantité maximum de N intéressée par cette transfor- délaiQ,n est beaucoup moindre. N ainsi fixé ne devient utilisable qu'après un long mât Les auteurs donnent les vitesses de décomposition d'un certain nombre d~élé nts végétaux et d'engrais animaux.
\7\1~e bila? des bases dans le sol arable, en particulier au point de vUe 11 délavage. A. JACOB. (J Landw. 1932, T. 80, n° 4). — Le besoin du sol EN a8es, sUrtout en potasse, chaux et magnésie, se règle d'après les besoins des pWteles pertes par délavage., Celles-ci sont plus ou moins grandes suivaint et ature du sel et le travail de la terre. Elles sont importantes pour la chaux Ilort négligeables pour la potasse fixée par adsorption. Exception faite des sols eux
sableux et .marécageux, un amendement en sels de potasse solubles n'augmente Pas es pertes en potasse, par délavage. Ce fait est dû à l'adsorption rapide de la P°ta dans les couches supérieures du sol et à sa transformation en complexes en ïïlent solubles. Ceci permet de faire l'épandage des sels de potasse déjà Iïllle! pour faciliter l'élimination par délavage des anions et autres sels eSIrahl ùidé 1• ^a^)les pour certaines cultures. Une fumure précoce de sels de potasse est QJJ.t avantageuse sur les terres' trè,s adsorbantes. Le travail de la terre qui
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