Titre : Bulletin économique de l'Indochine
Auteur : Indochine française. Direction des affaires économiques. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Saïgon)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Hanoï)
Date d'édition : 1933-07-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32728645t
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 55886 Nombre total de vues : 55886
Description : 01 juillet 1933 01 juillet 1933
Description : 1933/07/01 (A36)-1933/08/31. 1933/07/01 (A36)-1933/08/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : France-Vietnam Collection numérique : France-Vietnam
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65826254
Source : CIRAD, 2013-106464
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 11/04/2014
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- SOMMAIRE
-- 565 —
QUe superphosphate met en évidence la supériorité du nitrate de potasse qui donne
~~tuentation de récolte de 31 Le superphosphate double est le plus
écou °nilTue de toutes les sources de phosphore, quoique le phosphate précipité
] aussi efficace.
cotonnier : engrais (Chem. Abs., 25, 1931 — extrait de Coton et Culture
nieï-0 chlorure de potassium et des superphosphates ammoniacaux et du sulfate
pj^^ftiaque (en cas de besoin d'un supplément d'azote) avec des mélanges pré-
9vecchlorure de potasse, des superphosphates ordinaires et du sulfate d'am-
UiorUa(îUe employés comme engrais pour le cotonnier, dans les champs d'expériences.
-en S 17 essais le superphosphate ammoniacal a donné une moyenne de récolle
erairie de - cotonnier de 6,4 supérieure à celle obtenue au moyen de super-
hate seul. La moyenne de coton obtenue à la première cueillette est également
ell1 S /le:ee dans le cas d'emploi de la même fumure, Le superphosphate ammoniacal
em p | était obtenu en traitant des superphosphates ordinaires
dausces expériences était obtenu en traitant des superphosphates ordinaires
avec environ 6 d'ammoniaque anhydre.
Jo ga Ion du sorgho par boutures.— REA H.-E. et R.-E. KARPER. (Amer.
Journ. B t, extrait de Biological Abstracts, vol. 7, n° 3, mars 1932).
— 6S essais de propagation par boutures de Absfracts, vol. 7, types et variétés
de es essais de propagation par boutures de tige de différents types et variétés
¡lé\:gh? et d'une variété de maïs indien montrèrent que les sorghos avaient
¡hI" Ppe rapidement à la fois des racines et des pousses alors que le maïs pro-
Co seulement des racines de la bande racinée des nœuds. Les boutures étaient
[1 11stltllées soit de morceaux de'tige à 2 nœuds, écorcés ou non, soit de morceaux
>, ( llœuQ écorcés. Des bocaux de multiplication furent employés avec les pre-
gati res tandis que les dernières furent placées en serre. Le dernier mode de propa-
Ç^tiQU fut, celui qui eut le plus de succès. Le millet et le sorgho furent reproduits
fies faeilement par boutures que par graines. Les boutures de sorgho donnent
ellto racines à la fois de la base du bourgeon de tige et de la bande racinée
ento Urant le nœud de la bouture-mère.
SOLS ET AMENDEMENTS
Les eaUy- souterraines de l'Egypte. AUDEBEAU Bey. (Mémoire présenté à l'Aca-
démie d'Agricultlire par iNI. T..BARois ; Comptes-rendu k de l'Académie d'Agriculture
de Agriculture par M. J. BAROIS ; Comptes-rendus de l'Académie d'Agriculture
el" A. 1 m'tee; 2 décembre 1931). — Entre sa dernière cataracte, qui est la cataracte
(['^s et la mer, la vallée du Nil peut être considérée comme un champ idéal
rAa^01' pour étudier le régime des eaux souterraines dans une grande vallée
('aPu Vl°ns> sous l'action exclusive des variations du niveau des eaux du fleuve et
du r dérivations créées par l'homme pour ses besoins agricoles. Cela résulte tant
1-Ilat que de la structure de la vallée. Comblée et nivelée par les sédiments
reco l'tes chaque année par la crue du Nil, depuis les époques géologiques, et
ap- .,O,uv allt- des dépôts anciens argileux ou sableux d'une grande épaisseur, la
e qUI forme la vallée du Nil, en aval de la barrière granitique d'Assouan,
prgs Une surface limoneuse à peu près plate, d'une largeur presque régulière
de * kilomètres en moyenne, s'allongeant sur mille kilomètres de longueur
La 11 le mer, où elle s'épanouit en un triangle de 300 kilomètres de base,
et 'OPeIlte longitudinale est faible et presque uniforme, 0 m. 09 par kilomètre,
et 0 Ill., 10 par kilomètre quand on se rapproche de la mer. Transversalement le
QUe superphosphate met en évidence la supériorité du nitrate de potasse qui donne
~~tuentation de récolte de 31 Le superphosphate double est le plus
écou °nilTue de toutes les sources de phosphore, quoique le phosphate précipité
] aussi efficace.
cotonnier : engrais (Chem. Abs., 25, 1931 — extrait de Coton et Culture
nieï-0 chlorure de potassium et des superphosphates ammoniacaux et du sulfate
pj^^ftiaque (en cas de besoin d'un supplément d'azote) avec des mélanges pré-
9vecchlorure de potasse, des superphosphates ordinaires et du sulfate d'am-
UiorUa(îUe employés comme engrais pour le cotonnier, dans les champs d'expériences.
-en S 17 essais le superphosphate ammoniacal a donné une moyenne de récolle
erairie de - cotonnier de 6,4 supérieure à celle obtenue au moyen de super-
hate seul. La moyenne de coton obtenue à la première cueillette est également
ell1 S /le:ee dans le cas d'emploi de la même fumure, Le superphosphate ammoniacal
em p | était obtenu en traitant des superphosphates ordinaires
dausces expériences était obtenu en traitant des superphosphates ordinaires
avec environ 6 d'ammoniaque anhydre.
Jo ga Ion du sorgho par boutures.— REA H.-E. et R.-E. KARPER. (Amer.
Journ. B t, extrait de Biological Abstracts, vol. 7, n° 3, mars 1932).
— 6S essais de propagation par boutures de Absfracts, vol. 7, types et variétés
de es essais de propagation par boutures de tige de différents types et variétés
¡lé\:gh? et d'une variété de maïs indien montrèrent que les sorghos avaient
¡hI" Ppe rapidement à la fois des racines et des pousses alors que le maïs pro-
Co seulement des racines de la bande racinée des nœuds. Les boutures étaient
[1 11stltllées soit de morceaux de'tige à 2 nœuds, écorcés ou non, soit de morceaux
>, ( llœuQ écorcés. Des bocaux de multiplication furent employés avec les pre-
gati res tandis que les dernières furent placées en serre. Le dernier mode de propa-
Ç^tiQU fut, celui qui eut le plus de succès. Le millet et le sorgho furent reproduits
fies faeilement par boutures que par graines. Les boutures de sorgho donnent
ellto racines à la fois de la base du bourgeon de tige et de la bande racinée
ento Urant le nœud de la bouture-mère.
SOLS ET AMENDEMENTS
Les eaUy- souterraines de l'Egypte. AUDEBEAU Bey. (Mémoire présenté à l'Aca-
démie d'Agricultlire par iNI. T..BARois ; Comptes-rendu k de l'Académie d'Agriculture
de Agriculture par M. J. BAROIS ; Comptes-rendus de l'Académie d'Agriculture
el" A. 1 m'tee; 2 décembre 1931). — Entre sa dernière cataracte, qui est la cataracte
(['^s et la mer, la vallée du Nil peut être considérée comme un champ idéal
rAa^01' pour étudier le régime des eaux souterraines dans une grande vallée
('aPu Vl°ns> sous l'action exclusive des variations du niveau des eaux du fleuve et
du r dérivations créées par l'homme pour ses besoins agricoles. Cela résulte tant
1-Ilat que de la structure de la vallée. Comblée et nivelée par les sédiments
reco l'tes chaque année par la crue du Nil, depuis les époques géologiques, et
ap- .,O,uv allt- des dépôts anciens argileux ou sableux d'une grande épaisseur, la
e qUI forme la vallée du Nil, en aval de la barrière granitique d'Assouan,
prgs Une surface limoneuse à peu près plate, d'une largeur presque régulière
de * kilomètres en moyenne, s'allongeant sur mille kilomètres de longueur
La 11 le mer, où elle s'épanouit en un triangle de 300 kilomètres de base,
et 'OPeIlte longitudinale est faible et presque uniforme, 0 m. 09 par kilomètre,
et 0 Ill., 10 par kilomètre quand on se rapproche de la mer. Transversalement le
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