Instructions pour la Printanisation du Maïs, Millet, Sorgho, Sorgho nain, sojlJ (LISSENKO)
On fait germer à peine les semences et on les soumet aux conditions t;Ui.
vantes: Eau de germination
• Eau de germinal Millet 5 jours d'obscurité à 25-300 26 kg. d, 'eau pour 100 M.
26 kg. 'eau pour Sorgho nain et Sorgho 8-10 jours d'obscurité à ) 26 rrrnn iinoo k8- de grain.
25-30° ,.,.,.,.,.,.
Maïs 10-15 jours d'obscurité à 20-30° 30 kg. pour 100: Soja 10-15 jours d'obscurité à 20-25° .',," 75 kg. pour 100.
Les essais en grande culture ont été encore peu nombreux.
"',.' ., .,.,,' , , ".,., ",.,. ,. ,.,.,. La Printanisation du Coton (LISSENKO ) — LE stade de développement di u co^' demandant le plus de chaleur est la formation de boutons (température mill 1¡l' 19°2). On peut arriver à ce stade en printanisant les graines de coton à une le pérature élevée : 25 à 30°.
.1°
Conclusions générales : Il y a en ce moment en U. R. S. S. un gros effort P de tirer de ces faits théoriques ce qui peut être applicable en pratique. La m^tl1 peut être très intéressante pour l'extension, des aires géographiques et potl la lutte contre les maladies attaquant les plantes tardives (échaudage, rouille). été pourrait être d'un grand secours les années où les semis d'hiver auraieltl ét,' détruits par la gelée.
Floraison et fructification des bambous. D. Bois (Mémoire présenté P M. SCHRIBAUX, Comptes-rendus de l'Académie d'Agriculture de France, n
7 juin 1933). — Dans cette brochure, l'auteur, après avoir cité les noml'f localités françaises et étrangères où la floraison du Bambou noir bachys paberula Makino var. nigra Houzeau de Lehaie) a été signalée al" l'année 1932, floraison parfois exceptionnellement suivie-de fructification, que que cette simultanéité de la floraison d'une espèce particulière en 'eUe points parfois très éloignés les uns des autres n'est pas un fait nouveau et (lu » a été souvent observée. Mais il n 'y a pas là de règle absolue, comme le pe ri, certaines personnes. En effet, il a été constaté en.diverses régions (région P' sienne notamment), que si certaines touffes ont porté des fleurs, d'autres ,8 ¡¡l', restées stériles. Il ne faut donc pas généraliser. C'est également une en 1]' ajoute M. Bois, de croire que la floraison et -la fructification des touffes de b~lle bou en déterminent toujours la mort. De nombreuses exceptions à cette préten 0)1: règle ont été signalées, spécialement par M. HOUZEAU DE LEHAIE qui s'est C-Cllt sacré à l'étude des bambous. S'il existe des espèces monocarpiques, qui .1,Ilr, ,)t après avoir fleuri et fructifié, d'autres, polycarpiques, peuvent porter des et des fruits plusieurs fois, à des intervalles plus ou moins grands, parfois t J'- longs, suivant les espèces. Certains bambous considérés comme iiioitocarpiques V vivent parfois après une abondante floraison, grâce à quelques rejets stérile- floraison des bambous à l'état sauvage ou cultivé est très rarement observée t ntC certaines espèces où elle ne se produit que tous les vingt, trente, cin(lua ans et même plus, comme le montrent, les citations des botanistes ; d' al1'1^
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