• U-ôle az°tés) p Ur ce qui joue, ce sont les variations du complexe de diastases, lui-ttiê-m ^ePrésentatif des changements de propriétés du plasma. Opérant sur des ^rin^an^s®s pendant 15, 25, 30 et 45 jours, il conclut à l'augmentation de el le e des diastases: la cabal¡¡se croit jusqu'à 30 jours. l'amylase jusqu'à 25 jours, il le ou Protéolutique jusqu'à la fin de la printânisation. Malheureusement, niSé p Gllne pas les mêmes courbes de variation pour du blé germant non printa- Disé. p Ur MAXIMOV, il y aurait des substances freinant la mise à fruit. Des blés de printemps dont on remplace l'albumen par une purée provenant de Mes d'hi- germant, ont leur période végétative allongée de deux semaines. Pour DEM- sUhst I] Y a simplement changement du complexe de ferments et non pas une substai nce freinante.
o. o. .,. .,
pj'j IaniSQUon des plantes de «journée, courte » (Maïs, Millet, Soja, Sorgho).
Les expefIences ont été beaucoup moins nombreuses à ce sujet que pour les C^r-^Ies ell-es n on^ commencé qu'en 1931, à la suite des travaux de GARNER et tlt la (depuIS 1920) sur le photopériodisme. De nombreux auteurs se sont occupés Ot ja .^Uestion : EGUISE, LIOURIMENKO, SHTGHEGLOVA, KULESHOV, RAZOUMOV, etc. LTS- SENKO ne ':011tes.1e pas le fait même du photopériodisme, mais il en donne une f:Uhh-e eU\bon toute différente. En effet, GARNER et ALLARD constatent que si on (:^Uive Certaines plantes en raccourcissant la période de lumière (par exemple 10 }j 14 h, d'obscurité), ces plantes fructifient plus rapidement. Pour et de ce qui agit c'est l'obscurité elle-même, et non pas l'alternance de jour n Il le montre en soumettant du Millet, par exemple, à l'état faiblement Ces + humidité) pendant 5 à 10 jours.
co~~- 6S CUltivées ensuite dans des conditions naturelles ou même en lumière (a.vr.¡nc ùe frUCtifient, beaucoup plus rapidement que les témoins non printanisés (avance h e 2 à 3 semaines à l'épiaison ) D.
sur 3 semaines à l'épiaison). D.-A. DOLGOUCHINE présente une expérience IIOl'lh. s c( Suites photopériodiques ». 1° Un lot de Millet a subi de 0 à 30 jours normaux, Pu's été mis en lumière continue. L'expérimentateur n'observe une épiaison P~s a été mis en lumière continue. L'expérimentateur n'observe une 11 qu'à partir de 12 jours normaux, dès ce moment le temps entre la raison reste constant. Donc il y a une certaine quantité d'obscurité Ile, cessail"e 8 l'épiaison; 2° Un lot de Millet a été conservé de 0 à 30 jours à la ^•ïïiière colltillue puis mis en conditions normales. Le nombre de journées nor- niales ll.ecessaires à l'épiaison a été sensiblement constant. Il ne se forme donc Pas hun.ière continue de substance retardant l'épiaison. Des auteurs tra- Vfl'^Jit SUr le photopériodisme prétendaient également que la rapidité de l'épiai- S(>H éta^ due a l'antagonisme entre la croissance et la fructification : en raccour- cissant a JOurnée, on diminue la photosynthèse, la plante est affaiblie, c'est 1 elle épie plus vite. Pour LISSENKO, c'est inexact, puisque dans ses expé- abOlld les plantes épient plus vite mais leur développement foliaire est aussi ~~r 1 - el, lumière naturelle, et même plus abondant en lumière continue. des pJ 111, n'y a pas de plantes de journée courte ou de journée longue, mais des antes exigeant, certains complexes de facteurs (obscurité, lumière, tempéra- Par e C'^ Pour passer d'un stade déterminé à un autre. Le facteur obscurité MM ri> P e peut se donner en une seule fois et sur les graines germant, ce P~~e pas le développement de la plante, car elle se nourrit sur les 11 grain, la photosynthèse n'intervenant pas. On voit toute l'importance e ce f - e fait pour les régions du Nord à journées longues où l'on pourrait cultiver Cie, Pl s comme le maïs qui n'y mûrissent pas en temps ordinaire.
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