- Aller à la page de la table des matièresNP
- SOMMAIRE
Pages- .......... Page(s) .......... 275
- .......... Page(s) .......... 279
- .......... Page(s) .......... 294
- .......... Page(s) .......... 306
- .......... Page(s) .......... 313
- NOTES ET DOCUMENTS
- .......... Page(s) .......... 327
- .......... Page(s) .......... 330
- .......... Page(s) .......... 334
- .......... Page(s) .......... 335
- .......... Page(s) .......... 338
- .......... Page(s) .......... 340
- .......... Page(s) .......... 341
- .......... Page(s) .......... 342
- .......... Page(s) .......... 343
- .......... Page(s) .......... 344
- .......... Page(s) .......... 345
- .......... Page(s) .......... 351
- .......... Page(s) .......... 353
- .......... Page(s) .......... 355
- .......... Page(s) .......... 356
- .......... Page(s) .......... 358
- COMPTES-RENDUS ET BIBLIOGRAPHIE
ORGANISATION DE L'INDUSTRIE AU JAPON
Développement de la politique industrielle
Les difficultés économiques suscitées par la guerre de 1914 hâte l'évolution
de la politique économique dans divers pays et l'organisation du contrôle de
l'industrie par le Gouvernement.
Le développement trop rapide de l'industrie amena une surproduction dan-
gereuse, un déséquilibre entre l'offre et la demande tel que l'ingérence des
gouvernements dans les affaires industrielles devenait inévitable.
Le Gouvernement japonais contrôlait depuis longtemps l'industrie nationale
mais c'est en juin 1930 qu'il prit la première mesure importante en créant au
Ministère du Commerce et de l'Industrie un « Bureau de rationalisation » qui lui
permettait de superviser la production dans les principales industries et d'exer-
cer un contrôle sur les moyennes et petites entreprises.
Par la suite, il s'avéra nécessaire d'encourager la création de cartels parmi
les grandes entreprises et la « Loi de contrôle des grandes industries » fut
promulguée en juin 1931.
Le contrôle centralisé ainsi ét2bli montra bientôt une tendance à s'étendre
aussi au commerce d'exportation.
Organisation de la moyenne et de la petite industrie
La majorité des industries japonaises appartiennent à ce groupe des moyennes
et petites entreprises qui occupe une position importante tant du point de vue
industriel que du point de vue commercial. Sans organisation centrale, elles se
livraient à une concurrence qui nuisait à l'industrie japonaise en général.
Après la guerre 1914-18, le Gouvernement japonais institua un système
d'inspection des principaux articles d'exportation et promulgua en 1925 la «Loi
sur l'association des industries d'exportation >>. Cette loi qui marque le premier
pas vers une organisation centrale des industries, avait pour but « d'encourager
la formation d'associations destinées à établir une exploitation rationnelle et de
faciliter l'installation conjuguée et économique d'un équipement moderne dans
les industries d'exportation ». Ces associations devaient jouer le même rôle que
les coopératives dont l'action s'étendrait également à la production et aux
ventes.
La crise économique s'aggravant, le Bureau de rationalisation organisa plusieurs
comités composés de fabricants et d'autres parties intéressées pour la supervision
et l'amélioration des petites industries fabriquant des produits d'exportation et
dont la tâche est de découvrir des moyens de contrôle central.
De nombreuses branches de l'industrie sont comprises dans cette organisa-
tion : tissus, porcelaine, superphosphates de chaux, articles de fer émaillé, bicy-
clettes, chaussures de caoutchouc, etc.
Le contrôle central fut facilité par la fusion en fédérations nationales des
associations locales.
Développement de la politique industrielle
Les difficultés économiques suscitées par la guerre de 1914 hâte l'évolution
de la politique économique dans divers pays et l'organisation du contrôle de
l'industrie par le Gouvernement.
Le développement trop rapide de l'industrie amena une surproduction dan-
gereuse, un déséquilibre entre l'offre et la demande tel que l'ingérence des
gouvernements dans les affaires industrielles devenait inévitable.
Le Gouvernement japonais contrôlait depuis longtemps l'industrie nationale
mais c'est en juin 1930 qu'il prit la première mesure importante en créant au
Ministère du Commerce et de l'Industrie un « Bureau de rationalisation » qui lui
permettait de superviser la production dans les principales industries et d'exer-
cer un contrôle sur les moyennes et petites entreprises.
Par la suite, il s'avéra nécessaire d'encourager la création de cartels parmi
les grandes entreprises et la « Loi de contrôle des grandes industries » fut
promulguée en juin 1931.
Le contrôle centralisé ainsi ét2bli montra bientôt une tendance à s'étendre
aussi au commerce d'exportation.
Organisation de la moyenne et de la petite industrie
La majorité des industries japonaises appartiennent à ce groupe des moyennes
et petites entreprises qui occupe une position importante tant du point de vue
industriel que du point de vue commercial. Sans organisation centrale, elles se
livraient à une concurrence qui nuisait à l'industrie japonaise en général.
Après la guerre 1914-18, le Gouvernement japonais institua un système
d'inspection des principaux articles d'exportation et promulgua en 1925 la «Loi
sur l'association des industries d'exportation >>. Cette loi qui marque le premier
pas vers une organisation centrale des industries, avait pour but « d'encourager
la formation d'associations destinées à établir une exploitation rationnelle et de
faciliter l'installation conjuguée et économique d'un équipement moderne dans
les industries d'exportation ». Ces associations devaient jouer le même rôle que
les coopératives dont l'action s'étendrait également à la production et aux
ventes.
La crise économique s'aggravant, le Bureau de rationalisation organisa plusieurs
comités composés de fabricants et d'autres parties intéressées pour la supervision
et l'amélioration des petites industries fabriquant des produits d'exportation et
dont la tâche est de découvrir des moyens de contrôle central.
De nombreuses branches de l'industrie sont comprises dans cette organisa-
tion : tissus, porcelaine, superphosphates de chaux, articles de fer émaillé, bicy-
clettes, chaussures de caoutchouc, etc.
Le contrôle central fut facilité par la fusion en fédérations nationales des
associations locales.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Auteurs similaires Indochine française Indochine française /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Indochine française" or dc.contributor adj "Indochine française")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 91/114
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6540599c/f91.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6540599c/f91.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6540599c/f91.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6540599c
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6540599c