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ne peuvent être étudiés qu'avec le concours d'un ensemble de laboratoires
et de stations expérimentales. Ils exigent, en effet, l'intervention de
différents spécialistes rompus à la pratique de chacune de ces cultures et
des diverses disciplines dont l'intervention est requise, travaillant dans
une étroite et constante collaboration d'après un programme poursuivi
durablement à travers les changements de personnel inévitables aux
colonies. Ces spécialistes doivent donc nécessairement être sous une
direction technique commune.
Toutefois, si les grandes lignes des problèmes à résoudre sont les
mêmes pour chaque culture, leurs détails diffèrent et les solutions à adopter
ne seront pas identiques pour chacun des grands milieux agricoles de la
colonie. Les expériences culturales, les travaux de génétique, les études
ytopathologiques devront donc être répétés dans des centres choisis
comme représentatifs des conditions moyennes de chacune de ces grandes
régions agricoles.
L organisation de l'Institut des Recherches n'est que la conséquence
gique des nécessités de l'expérimentation agricole qui viennent d'être
rièvement résumées. Elle comporte comme personnel :
des techniciens possédant une solide formation scientifique générale et
spécialisée dans les grandes cultures dont l'étude s'impose — hévéa, théier,
ca féier, kapo k ier, canne à sucre, ta b ac, poivre, etc., -, leur spécialisa-
tion ayant été acquise grâce à une connaissance approfondie des conditions
de ces cultures en Indochine et dans les pays voisins (en particulier au
cours de missions) ;
des spécialistes de laboratoires — chimie végétale et chimie des sols,
mycologie, botanique, entomologie, génétique — secondés par un personnel
indigène et travaillant dans des laboratoires convenablement équipés.
Cet ensemble de laboratoires a été créé en double à Saigon et à Hanoï
afin d'être mieux à même de se spécialiser dans les problèmes qui coner-
nent les deux grands blocs de régions agricoles de l'Indochine. Il est
omplété par des points d'observations et des centres d'expérimentation en
nombre suffisant pour permettre l'étude de tous les problèmes posés dans
leur milieu propre.
L'unité de direction de ces divers organismes est évidemment indis-
le pour établir et maintenir la liaison entre les différents exécutants,
répartir les moyens en personnel et en matériel suivant les besoins du
moment et contrôler l'exécution des travaux. Elle supprime les répétitions
in 1 ies de travaux et évite la dispersion des efforts vers des ob jectifs
particuliers s'écartant des besoins reconnus des agriculteurs. Elle assure
enfin l'unité des méthodes et la continuité des travaux, si indispensables
en agriculture.
ne peuvent être étudiés qu'avec le concours d'un ensemble de laboratoires
et de stations expérimentales. Ils exigent, en effet, l'intervention de
différents spécialistes rompus à la pratique de chacune de ces cultures et
des diverses disciplines dont l'intervention est requise, travaillant dans
une étroite et constante collaboration d'après un programme poursuivi
durablement à travers les changements de personnel inévitables aux
colonies. Ces spécialistes doivent donc nécessairement être sous une
direction technique commune.
Toutefois, si les grandes lignes des problèmes à résoudre sont les
mêmes pour chaque culture, leurs détails diffèrent et les solutions à adopter
ne seront pas identiques pour chacun des grands milieux agricoles de la
colonie. Les expériences culturales, les travaux de génétique, les études
ytopathologiques devront donc être répétés dans des centres choisis
comme représentatifs des conditions moyennes de chacune de ces grandes
régions agricoles.
L organisation de l'Institut des Recherches n'est que la conséquence
gique des nécessités de l'expérimentation agricole qui viennent d'être
rièvement résumées. Elle comporte comme personnel :
des techniciens possédant une solide formation scientifique générale et
spécialisée dans les grandes cultures dont l'étude s'impose — hévéa, théier,
ca féier, kapo k ier, canne à sucre, ta b ac, poivre, etc., -, leur spécialisa-
tion ayant été acquise grâce à une connaissance approfondie des conditions
de ces cultures en Indochine et dans les pays voisins (en particulier au
cours de missions) ;
des spécialistes de laboratoires — chimie végétale et chimie des sols,
mycologie, botanique, entomologie, génétique — secondés par un personnel
indigène et travaillant dans des laboratoires convenablement équipés.
Cet ensemble de laboratoires a été créé en double à Saigon et à Hanoï
afin d'être mieux à même de se spécialiser dans les problèmes qui coner-
nent les deux grands blocs de régions agricoles de l'Indochine. Il est
omplété par des points d'observations et des centres d'expérimentation en
nombre suffisant pour permettre l'étude de tous les problèmes posés dans
leur milieu propre.
L'unité de direction de ces divers organismes est évidemment indis-
le pour établir et maintenir la liaison entre les différents exécutants,
répartir les moyens en personnel et en matériel suivant les besoins du
moment et contrôler l'exécution des travaux. Elle supprime les répétitions
in 1 ies de travaux et évite la dispersion des efforts vers des ob jectifs
particuliers s'écartant des besoins reconnus des agriculteurs. Elle assure
enfin l'unité des méthodes et la continuité des travaux, si indispensables
en agriculture.
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