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- t 77 -
Après avoir passé en revue les autres questions devant être étudiées par le
Congrès, le Ministre termina en faisant ressortir le rôle considérable des Services
de l'Agriculture dans les colonies. Nous ne pouvons mieux faire que de citer
textuellement ses paroles.
« P^ux sections du Congrès sont chargées respectivement de la recherche scientifique appli-
(( quée à l'agriculture des pays chauds et de l'armature technique, de l'enseignement, de la
* vulgarisation, etc., en ce qui concerne l'agriculture de ces pays. Il est nécessaire d'affirmer
( lC1 que le rôle des Services techniques et scientifiques de l'Agriculture, de l'Elevage et des
« pol rêts, avec leurs stations d'essais, leurs laboratoires, leurs secteurs d'inspection et de vulga-
: risation, leurs écoles, sont d'une importance primordiale dans les colonies. Seuls, les pays
| t tropicaux et subtropicaux bien organisés à cet égard sont dans les conditions requises pour
Progresser rapidement et d'une façon rationnelle et sûre en ce qui concerne la production
( agricole et animale, la protection de l'aménagement des richesses forestières.
* Et ce n'est pas en « vase clos » que doivent se poursuivre les recherches agronomiques,
« ZOotechniques et forestières: une grande solidarité doit tendre à s'établir de plus en plus
ntre les nations colonisatrices et leurs services techniques et scientifiques doivent chercher,
« ans toute la mesure du possible, à développer entre eux une collaboration confiante dont
tout le monde bénéficiera.
« Enfin, il ne faut pas perdre de vue que, dans un pays colonial, l'agronome est un des
,ed!.eurs artisans du rapprochement des races et de leur compréhension réciproque, car
indigène, quel qu'il soit, a tôt fait de voir en lui l'instrument conscient de la véritable
:( colonisation telle qu'elle doit être comprise, de celle qui apporte aux populations jusqu'ici
£ Stées en arrière, par les lois du Destin, plus de sécurité, de bien-être et de force, plus de
bonheur en ce monde.
u * La mise en valeur des colonies est essentiellement fonction de leur développement agri-
t cole: reconstituer et aménager les sols, c'est améliorer et faire vivre les races et les hommes. »
Le programme des travaux du Congrès étant extrêmement chargé par rapport au
Otnbre de séances dont on disposait, on fut obligé de se borner au fonctionnement
de deux grandes sections :
10 une Section des études scientifiques appliquées à la production agricole, présidée
Par M. HEIM DE BALSAC ;
30 une Section économique, présidée par M. DE LA MOTTE SAINT-PIERRE.
Les principales questions qui devaient incomber aux autres sections furent
reparties entre elles deux.
A la suite des exposés de rapports et communications diverses et des échanges de
es et discussions, les vœux et recommandations qui suivent furent adoptés par
Assemblée générale (nous avons résumé certains d'entre eux).
VŒUX ET RECOMMANDATIONS
I - SECTION DE L'ORGANISATION DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE APPLIQUÉE
A LA PRODUCTION AGRICOLE DES PAYS CHAUDS.
A. — Recommandations spéciales.
13 Organisation de Bureaux de Documentation scientifique, conçus sur le plan des
^reaux impériaux britanniques.— Il apparaît souhaitable que, dans tous les pays,
s chercheurs puissent voir leurs travaux facilités par de semblables bureaux.
ab Études scientifiques sur les sols — En l'absence de grands laboratoires coloniaux,
t b ondamment pourvus de personnel et de matériel, pouvant faire de l'expérimen-
t"t'oll sur place, il apparaît comme du plus haut intérêt que des laboratoires
tr°politains puissent recevoir, aux fins d'études, des monolithes des sols colo-
taux, représentant la totalité de la couche cultivable jusqu'à la roche-mère.
Après avoir passé en revue les autres questions devant être étudiées par le
Congrès, le Ministre termina en faisant ressortir le rôle considérable des Services
de l'Agriculture dans les colonies. Nous ne pouvons mieux faire que de citer
textuellement ses paroles.
« P^ux sections du Congrès sont chargées respectivement de la recherche scientifique appli-
(( quée à l'agriculture des pays chauds et de l'armature technique, de l'enseignement, de la
* vulgarisation, etc., en ce qui concerne l'agriculture de ces pays. Il est nécessaire d'affirmer
( lC1 que le rôle des Services techniques et scientifiques de l'Agriculture, de l'Elevage et des
« pol rêts, avec leurs stations d'essais, leurs laboratoires, leurs secteurs d'inspection et de vulga-
: risation, leurs écoles, sont d'une importance primordiale dans les colonies. Seuls, les pays
| t tropicaux et subtropicaux bien organisés à cet égard sont dans les conditions requises pour
Progresser rapidement et d'une façon rationnelle et sûre en ce qui concerne la production
( agricole et animale, la protection de l'aménagement des richesses forestières.
* Et ce n'est pas en « vase clos » que doivent se poursuivre les recherches agronomiques,
« ZOotechniques et forestières: une grande solidarité doit tendre à s'établir de plus en plus
ntre les nations colonisatrices et leurs services techniques et scientifiques doivent chercher,
« ans toute la mesure du possible, à développer entre eux une collaboration confiante dont
tout le monde bénéficiera.
« Enfin, il ne faut pas perdre de vue que, dans un pays colonial, l'agronome est un des
,ed!.eurs artisans du rapprochement des races et de leur compréhension réciproque, car
indigène, quel qu'il soit, a tôt fait de voir en lui l'instrument conscient de la véritable
:( colonisation telle qu'elle doit être comprise, de celle qui apporte aux populations jusqu'ici
£ Stées en arrière, par les lois du Destin, plus de sécurité, de bien-être et de force, plus de
bonheur en ce monde.
u * La mise en valeur des colonies est essentiellement fonction de leur développement agri-
t cole: reconstituer et aménager les sols, c'est améliorer et faire vivre les races et les hommes. »
Le programme des travaux du Congrès étant extrêmement chargé par rapport au
Otnbre de séances dont on disposait, on fut obligé de se borner au fonctionnement
de deux grandes sections :
10 une Section des études scientifiques appliquées à la production agricole, présidée
Par M. HEIM DE BALSAC ;
30 une Section économique, présidée par M. DE LA MOTTE SAINT-PIERRE.
Les principales questions qui devaient incomber aux autres sections furent
reparties entre elles deux.
A la suite des exposés de rapports et communications diverses et des échanges de
es et discussions, les vœux et recommandations qui suivent furent adoptés par
Assemblée générale (nous avons résumé certains d'entre eux).
VŒUX ET RECOMMANDATIONS
I - SECTION DE L'ORGANISATION DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE APPLIQUÉE
A LA PRODUCTION AGRICOLE DES PAYS CHAUDS.
A. — Recommandations spéciales.
13 Organisation de Bureaux de Documentation scientifique, conçus sur le plan des
^reaux impériaux britanniques.— Il apparaît souhaitable que, dans tous les pays,
s chercheurs puissent voir leurs travaux facilités par de semblables bureaux.
ab Études scientifiques sur les sols — En l'absence de grands laboratoires coloniaux,
t b ondamment pourvus de personnel et de matériel, pouvant faire de l'expérimen-
t"t'oll sur place, il apparaît comme du plus haut intérêt que des laboratoires
tr°politains puissent recevoir, aux fins d'études, des monolithes des sols colo-
taux, représentant la totalité de la couche cultivable jusqu'à la roche-mère.
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