Titre : Bulletin économique de l'Indo-Chine. Renseignements / Gouvernement général de l'Indo-Chine
Auteur : Indochine française. Auteur du texte
Éditeur : impr. d'Extrême-Orient (Hanoï)
Éditeur : Gouvernement général de l'IndochineGouvernement général de l'Indochine (Hanoï)
Date d'édition : 1925-03-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327286465
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5827 Nombre total de vues : 5827
Description : 31 mars 1925 31 mars 1925
Description : 1925/03/31 (A28). 1925/03/31 (A28).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : France-Vietnam Collection numérique : France-Vietnam
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6537399k
Source : CIRAD, 2013-106548
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 23/09/2013
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- SOMMAIRE
- .......... Page(s) .......... 25
- STATISTIQUE
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mauvaise qualité. Pour éviter des fraudes de ce genre, l'auteur indique quelques
caractères que les agriculteurs pourront utiliser sans avoir recours à l'essai de
germination : il faut éliminer les graines petites, à tégument déprimé ou bosselé, de
couleur blanc jaunâtre, ne résistant pas à la pression et se déchirant plus ou moins
facilement sous l'ongle en mettant à nu l'endosperme, qui se présente sous un
aspect assez mal développé. Acet effet, on répartit les semences en trois petits tas de
100 graines chacun. On sépare ensuite dans chaque tas les graines dures, résistant
à la pression, de celles qui sont petites et atrophiées, cassantes et vides. On réunit
celles qui sont de la même qualité et l'on obtient ainsi le, pourcentage des semences
bonnes et des graines mauvaises. On calcule ensuite, sur la base de ces données, la
quantité de semence qu'il faut employer par hectare, en tenant toujours compté de
la faculté germinative.
P. G. ,
-
Résultats d'expérienees faites à Java sur les hévéas gjreffés - Le.numero
de juin 1925 de la Revue de Botanique appliquée et d'Agriculture coloniale rend
compte comme suit d'une élude de P. J. S. Cramer publiée en 1924 à Buitenzorg
sur « les hévéas greffés pendant la première année d'expérience, leur croissance
et leur production ».
L'auteur donne, dans cette étude, les résultats des expériences poursuivies au
Jardin des Plantes économiques de Buitenzorg, en collaboration avec MM. De Veer
et Van Helten. Il compare la croissance et la production des hévéas greffés (greffe
ou écusson) et la croissance et la production d'hévéas provenant de graines (« seed-
ling »). Les expériences portèrent sur un petit nombre d'individus, mais, en revan-
che, ces individus furent minutieusement étudiés.
Description de plantations. — Les arbres étudiés se trouvaient dans trois lots
différents
1° — Le premier comprenait trois parcelles occupées depuis le mois de février
1918 par des sujets greffés (« buddings ») provenant de trois plantes-mères. Les
espacements étaient de 6 m x 6 m. Le sol n'était pas riche et avait été cultivé en
Tephrosia eandida
2° — Le deuxième lot se composait d'un groupe de sujets greffés, plantés en 1918-
1919. Il était situé entre le premier lot et une plantation de Palaqium.
- 3° Le troisième lot comprenait des seedlings provenant d'un même arbre et plantés
en novembre 1916. Les espacements étaient toujours de 6 m x 6 m.
Ce qui frappe à première vue dans ces différents lots, c'est l'uniformité qui appa-
rait aussi bien chez les sujets greffés que chez les seedlings provenant d'un même
Parent. De plus, les scions de même origine donnent des individus qui perdent en
mème temps leurs feuilles.
COTON
HÉVÉA
mauvaise qualité. Pour éviter des fraudes de ce genre, l'auteur indique quelques
caractères que les agriculteurs pourront utiliser sans avoir recours à l'essai de
germination : il faut éliminer les graines petites, à tégument déprimé ou bosselé, de
couleur blanc jaunâtre, ne résistant pas à la pression et se déchirant plus ou moins
facilement sous l'ongle en mettant à nu l'endosperme, qui se présente sous un
aspect assez mal développé. Acet effet, on répartit les semences en trois petits tas de
100 graines chacun. On sépare ensuite dans chaque tas les graines dures, résistant
à la pression, de celles qui sont petites et atrophiées, cassantes et vides. On réunit
celles qui sont de la même qualité et l'on obtient ainsi le, pourcentage des semences
bonnes et des graines mauvaises. On calcule ensuite, sur la base de ces données, la
quantité de semence qu'il faut employer par hectare, en tenant toujours compté de
la faculté germinative.
P. G. ,
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Résultats d'expérienees faites à Java sur les hévéas gjreffés - Le.numero
de juin 1925 de la Revue de Botanique appliquée et d'Agriculture coloniale rend
compte comme suit d'une élude de P. J. S. Cramer publiée en 1924 à Buitenzorg
sur « les hévéas greffés pendant la première année d'expérience, leur croissance
et leur production ».
L'auteur donne, dans cette étude, les résultats des expériences poursuivies au
Jardin des Plantes économiques de Buitenzorg, en collaboration avec MM. De Veer
et Van Helten. Il compare la croissance et la production des hévéas greffés (greffe
ou écusson) et la croissance et la production d'hévéas provenant de graines (« seed-
ling »). Les expériences portèrent sur un petit nombre d'individus, mais, en revan-
che, ces individus furent minutieusement étudiés.
Description de plantations. — Les arbres étudiés se trouvaient dans trois lots
différents
1° — Le premier comprenait trois parcelles occupées depuis le mois de février
1918 par des sujets greffés (« buddings ») provenant de trois plantes-mères. Les
espacements étaient de 6 m x 6 m. Le sol n'était pas riche et avait été cultivé en
Tephrosia eandida
2° — Le deuxième lot se composait d'un groupe de sujets greffés, plantés en 1918-
1919. Il était situé entre le premier lot et une plantation de Palaqium.
- 3° Le troisième lot comprenait des seedlings provenant d'un même arbre et plantés
en novembre 1916. Les espacements étaient toujours de 6 m x 6 m.
Ce qui frappe à première vue dans ces différents lots, c'est l'uniformité qui appa-
rait aussi bien chez les sujets greffés que chez les seedlings provenant d'un même
Parent. De plus, les scions de même origine donnent des individus qui perdent en
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