selon les espèces végétales traitées et il n'y a aucune corrélation à établir entre l'étendue de ce dommage et la nature du fongicide ou la provenance du dis- lillat de goudron.
La toxicité des arséniates — VV. COTTIER, dans Neiv Zealand J. Se. Techll., l. 14, no 5, p. 309-316, avril 1933. et dans Chimie et Industrie, vol. 31, n° 1, p.
192, janvier 1934.
Comparaison de la valeur comme insecticides de l'arséniate de plomb acide, rie l'arséniate de plomb basique et de l'arséniate de calcium.
Les essais ont porté sur les chenilles de Plusia chalcites, parasites des tomates et des pommes de terre.
Les mesures du temps pendant lequel les chenilles résistent à des quantités équivalentes de chacun des arséniates montrent que l'arséniate de plomb acide et l'arséniate de calcium sont les plus actifs; l'arséniate de plomb basique a une action bien plus lente.
Cependant, les trois arséniates sont de bons toxiques lorsqu'on les emploie en quantité suffisante ; mais, au point de vue économique, l'arséniate basique de plomb ne peut concurrencer les deux autres ii cause du prix de revient trop élevé.
Utilisation pratique des émulsions d'huile végétale dans la lutte contre les cochenilles nuisibles aux cultures fruitières — BALAOHOWSKY, dans Bul- letin agricole de la Société d'Encouragement à l'Agriculture et dans Le Planteur à l'Ile de la Réunion, n° de déc. 1933.
De nombreux insecticides utilisés possèdent un pouvoir intecticide insuffisant vis- à-vis des cochenilles à bouclier. 80 de mortalité de ces cochenilles ont pu être réalisés grâce à une émulsion d'huile végétale (arachide) à la dose de 2 (en huile) émulsionnées avec l'aide oléique et l'ammoniaque. Cette formule est la suivante :
lin dehors de sa valeur insecticide contre les cochenilles, cette émulsion pré- sente le gros avantage d'être économique et parfaitement inoffensive. Elle a. été employée également avec grand succès contre les insectes en traitement d'été.
Sur le feuillage d'arbres fruitiers et de plantes d'ornement. Dans ce cas, les quan- tités d'huile varient ; mais les autres constituants restent identiques
PISCICULTURE Les bases biologiques de la pisciculture moderne — Louis ROULE, dans Revue scientifique, n° 4, p. 105-110. Paris. 24 février 1934.
Plus peut-être que les autres branches de l'économie rurale, l'aquiculture mo- derne est une application directe de biologie par le fait que, les êtres aquatiques vivant en liaison étroite avec leur milieu, toute action exercée sur celui-ci retentit fortement et rapidement sur ceux-là. L'auteur le démontre en décrivant brièvement lf's procédés modernes de la carpiculture ou élevage de la carpe en étang : cm-
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