Sots issus de roches sédimentaires. — Ces sols s'observent dans les régions où les roches primitives ont été jadis désagrégées et se sont accumulées dans les eaux profondes. Les grès ferrugineux du Trias de l'Europe occidentale appartiennent.
à cette formation.
Etudes sur les sols — Classification des sols de Malaisie — J. 11. j)t<;N' ~ETT, dans Xfalayan Agriciilhiral Journal, vol. XXI, n° 8, p. 345-361, Kuala Lumpur 1933.
Le Malayan Agriculttiral Journal publie une série d'études concernant les sols, en particulier ceux de Malaisie ; ces études ont pour but de renseigner le lecteur >ur les plus importants facteurs gouvernant la fertilité des sols tropicaux et de donner les résultats de certaines recherches entreprises. Le numéro 8 de 1933 de cette publication renferme une étude due au chimiste et pbytophysiologiste .1. H. DKNINETT sur la classification des sols de Malaisie. L'auteur étudie successi- vement les sujets suivants l'i classification climato-géologique ; 2) zones et régions ; 3) formation des sols ; 4) le sol, milieu de nutrition des plantes 5) sols de Malaisie ; 0) pH des sols.
HÉVÉACULTURE La coagulation du latex et des mélanges de latex pour les besoins industriels — R. G. JAMES, dans Tr-olls. Inst. Rubber Ind., t. 9, n° 1, p. 42- 58, juin 1933. et dans Chimie et Industrie, vol. 31, n° 1, p. 141-142, janvier 1934.
Le latex d'hévéa présente les caractéristiques d'une dispersion stable. Mais le développement des bactéries dans le sérum amène rapidement sa coagulation.
Les protéines entourant les particules de caoutchouc du latex ont des propriétés voisines de celles de la caséine ou de l'albumine qui sont amphotères. La ~careine peut se disperser soit en milieu alcalin (charge négative), soit en milieu acide (charge positive). Par neutralisation d'une dispersion alcaline par un acide, on peut amener les particules à un état électriquement neutre (point isoéledrique) qui correspond à pH = 4,6.
Le point isoélectrique existe aussi pour le latex, mais celui-ci, après précipita- tion s'agglomère sans pouvoir ses redisperser.
la plantation, on réalise te point isoélectrique en solution diluée. On a ainsi formation d'un coagulum qui enrobe tout le sérum, puis le laisse exsuder par suite de sa contraction. En solution diluée, amener le latex à pH = 5 sans coagu- lation (zone liquide primaire). Une addition rapide d'acide permet d'obtenir entre pH = 3,5 et pH = 1 une dispersion dont les particules sont chargées positivement (lOue liquide secondaire). Entre pH = 5 et pH=3,5 se trouve la zone de floculation.
Dans le latex stabilisé à l'ammoniaque le point isoélectrique s'observe pour pH = 4.2. On l'observe aussi dans le latex concentré soit par évaporation du sérum, soit par crémage accéléré par la centrifugation ou un alginate.
Industriellement, on provoque la formation du dépôt de différentes façons, sui- vant l'objet fabriqué : 1) par évaporation du milieu dispersant ; 2) par incorporation au latex d'un sel hydrolysable :
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