Presse et revues
115 pages
Titre : Bulletin économique de l'Indochine
Auteur : Indochine française. Direction des affaires économiques. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Saïgon)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Hanoï)
Date d'édition : 1901-08-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32728645t
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 55886 Nombre total de vues : 55886
Description : 01 août 1901 01 août 1901
Description : 1901/08/01 (A4,N38). 1901/08/01 (A4,N38).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : France-Vietnam Collection numérique : France-Vietnam
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65367935
Source : CIRAD, 2013-106464
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 07/10/2013
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11 Ls phosphates fossiles de la Caroline, au contraire; ont déployé
très faible action.
4° Sans tenir compte du reste de fertilité à l'avantage des récoltes
ru antes, le Plus grand avantage immédiat a été obtenu par un
Mélange de scories Thomas et de sulfate d'ammoniaque.
L"nstitut Andréa Ponti fondé en 1891, porta à son tour une grande
« !VIte dans l'étude de ces questions, et ces nouvelles expériences
iIhconfirmèrent, complétèrent et éclairèrent (illustrano) les très
iiii an^eS conclusions ci-dessus » et les règles suivantes furent
posée
10 L' ernPlOi du fumier seul n'est pas 'le plus convenable.
20 L emploi du fumier seul n'est pas le plus convenable.
■ M convient de ramener entre 50 et 100 quintaux la propor-
tiol, e fLI iP-P a l'hectare, en l'enrichissant d'engrais phosphates
(sco res 0U farine d'os, de préférence) de manière à introduire de
à , kIlos d'acide phosphorique (anidride fosforica) à l'hectare (1).
po a ou le fumier n'est pas abondant, il vaut mieux le réserver
hi Ur les cultures qui en ressentent, relativement, un plus grand
bien User pour la rizière des seuls engrais chimiques.
ch Comme engrais chimiques les phosphates là où manque la
aux ) mais' I~humus ne manque pas, les scories valent mieux que
les L On umus ne manque pas, les SCOfles valent mieux que
les. — Les phosphates minéraux ont toujours pré-
Sen Une actIOn limitée. Il convient d'administrer les uns et les
A 1 ) r
autres a Q epoque des semailles.
50 Les engrais chimiques azotés à conseiller sont le sulfate d'am-
maque, qu'il est bon d'administrer en deux ou trois fois : partie
àl, partie au second retrait de l'eau ; les substances
menti partie au second retrait de l'eau ; les substances
g, etc ) qu' prompte assimilation (tourteaux, chrysalides,
sailg etc. ) 1 se peuvent administrer entièrement à l'ensemen-
6°Quant aux engrais potassiques, en terres comme les nôtres
Par P dle)' généralement riches en potasse tant par nature que
toujo e et de fortes doses de fumier longtemps répétées, ils ont
toujour IIlontré une action limité, et quelquefois, sous forme de
c h lori re' Plus nuisible qu'utile.
PhosPh tneralement, les agriculteurs italiens évaluent la richesse des engrais
e aP- 1 de phosphorique anhydre, et font ressortir que, sous ee ra p -
à en aCI e phosphorique anhydre, et font ressortir que, sous ce rap-
0*724
port, l' ac id 6 Phosphorique ordinaire est à l' « anidride fosforica » comme 1 est
11 Ls phosphates fossiles de la Caroline, au contraire; ont déployé
très faible action.
4° Sans tenir compte du reste de fertilité à l'avantage des récoltes
ru antes, le Plus grand avantage immédiat a été obtenu par un
Mélange de scories Thomas et de sulfate d'ammoniaque.
L"nstitut Andréa Ponti fondé en 1891, porta à son tour une grande
« !VIte dans l'étude de ces questions, et ces nouvelles expériences
iIhconfirmèrent, complétèrent et éclairèrent (illustrano) les très
iiii an^eS conclusions ci-dessus » et les règles suivantes furent
posée
10 L' ernPlOi du fumier seul n'est pas 'le plus convenable.
20 L emploi du fumier seul n'est pas le plus convenable.
■ M convient de ramener entre 50 et 100 quintaux la propor-
tiol, e fLI iP-P a l'hectare, en l'enrichissant d'engrais phosphates
(sco res 0U farine d'os, de préférence) de manière à introduire de
à , kIlos d'acide phosphorique (anidride fosforica) à l'hectare (1).
po a ou le fumier n'est pas abondant, il vaut mieux le réserver
hi Ur les cultures qui en ressentent, relativement, un plus grand
bien User pour la rizière des seuls engrais chimiques.
ch Comme engrais chimiques les phosphates là où manque la
aux ) mais' I~humus ne manque pas, les scories valent mieux que
les L On umus ne manque pas, les SCOfles valent mieux que
les. — Les phosphates minéraux ont toujours pré-
Sen Une actIOn limitée. Il convient d'administrer les uns et les
A 1 ) r
autres a Q epoque des semailles.
50 Les engrais chimiques azotés à conseiller sont le sulfate d'am-
maque, qu'il est bon d'administrer en deux ou trois fois : partie
àl, partie au second retrait de l'eau ; les substances
menti partie au second retrait de l'eau ; les substances
g, etc ) qu' prompte assimilation (tourteaux, chrysalides,
sailg etc. ) 1 se peuvent administrer entièrement à l'ensemen-
6°Quant aux engrais potassiques, en terres comme les nôtres
Par P dle)' généralement riches en potasse tant par nature que
toujo e et de fortes doses de fumier longtemps répétées, ils ont
toujour IIlontré une action limité, et quelquefois, sous forme de
c h lori re' Plus nuisible qu'utile.
PhosPh tneralement, les agriculteurs italiens évaluent la richesse des engrais
e aP- 1 de phosphorique anhydre, et font ressortir que, sous ee ra p -
à en aCI e phosphorique anhydre, et font ressortir que, sous ce rap-
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port, l' ac id 6 Phosphorique ordinaire est à l' « anidride fosforica » comme 1 est
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