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;éSItt,s des concours a été de mettre en rapport les riziculteurs et vies
fpAiciens de l'agriculture.
l'ALes ri^lculteurs se sont rendus compte que leur intérêt est de suivre
iiustration dans la voie du progrès. Les cessions de semences sé-
nilees fournies par les sept Stations des Services agricoles, ont at-
téiixt eïl 1927 le chiffre de 150 tonnes pouvant fournir au repiquage de
8.200 ha.
TS ceux qui ont fait usage de ces semences reconnaissent qu'elles
onent des rizières plus vigoureuses et des rendements meilleurs.
50 aute part, les usines de triage de My-tho et Can-tho ont fourni
500 t. de semences correspondant à 8.300 ha. de rizières. Ces quantités
xeuvent Paraître faibles si l'on envisage que. la Cochinchine utilise plus
e 90'. -^0u0u 0 t. de semences.
HT
f Mais, il faut songer que si les indigènes apprécient ces semences, elles
font tâche -d'huile et la fourniture constante de faibles quantités de bon-
, nés semences finit par amener une amélioration générale.
Les echantillons présentés aux concours sont chaque année plus beaux
et P us homogènes et confirment cette amélioration. Au moment de la
on, on peut constater de plus qu'un grand nom b re de rizières
une régularité parfaite, ce qui constitue l'une des résultats.
-Plus*-value des riz homogènes et constitutions de stocks impor-
ta nts* Le commerce du paddy est presque en totalité entre les mains
d"8 Chinois qui s'obstinent à conserver les vieilles divisions en Go-
p, Vinh-Long, Bai-Xau accordant une majoration insuffisante au
v dy propre et homogène. Il est ennemi de toute amélioration pou-
entraver son commerce peu consciencieux (faux poids, mélange,
f' Ulnage). On a souvent insisté sur les difficultés rencontrées par les
s pour alimenter leurs usines avec du paddy homogène.
tipI açhetur des grandes rizeries est obligé de s'adresser à de mul-
P , es. cultIvateurs car un usinage spécial exige au minimum 100 t., soit
^€.^ gias. Si un lot se trouve d'une homogénéité satisfaisante,
j] est dans l'ensemble. La masse livrée à l'usinage demeure un
Lange de grains longs et ronds, durs et friables.
Le Propriétaires reconnaissent qu'ils sont victimes de cet état de cho-
Ses lIlaIS; ils répugnent à imposer des semences à leurs fermiers. Il fal-
cuIt. Onc arnener le fermier à comprendre qu'il est de son intérêt de
ouHivsi-non la même variété, tout au moins un grain' semblable com-
té 1110 et groseur à celui de ses voisins. L'ensemble de ces récoltes,
1 ans les greniers se traduira par une plus-value tant pour le pro-
aIre que pour le fermier.
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;éSItt,s des concours a été de mettre en rapport les riziculteurs et vies
fpAiciens de l'agriculture.
l'ALes ri^lculteurs se sont rendus compte que leur intérêt est de suivre
iiustration dans la voie du progrès. Les cessions de semences sé-
nilees fournies par les sept Stations des Services agricoles, ont at-
téiixt eïl 1927 le chiffre de 150 tonnes pouvant fournir au repiquage de
8.200 ha.
TS ceux qui ont fait usage de ces semences reconnaissent qu'elles
onent des rizières plus vigoureuses et des rendements meilleurs.
50 aute part, les usines de triage de My-tho et Can-tho ont fourni
500 t. de semences correspondant à 8.300 ha. de rizières. Ces quantités
xeuvent Paraître faibles si l'on envisage que. la Cochinchine utilise plus
e 90'. -^0u0u 0 t. de semences.
HT
f Mais, il faut songer que si les indigènes apprécient ces semences, elles
font tâche -d'huile et la fourniture constante de faibles quantités de bon-
, nés semences finit par amener une amélioration générale.
Les echantillons présentés aux concours sont chaque année plus beaux
et P us homogènes et confirment cette amélioration. Au moment de la
on, on peut constater de plus qu'un grand nom b re de rizières
une régularité parfaite, ce qui constitue l'une des résultats.
-Plus*-value des riz homogènes et constitutions de stocks impor-
ta nts* Le commerce du paddy est presque en totalité entre les mains
d"8 Chinois qui s'obstinent à conserver les vieilles divisions en Go-
p, Vinh-Long, Bai-Xau accordant une majoration insuffisante au
v dy propre et homogène. Il est ennemi de toute amélioration pou-
entraver son commerce peu consciencieux (faux poids, mélange,
f' Ulnage). On a souvent insisté sur les difficultés rencontrées par les
s pour alimenter leurs usines avec du paddy homogène.
tipI açhetur des grandes rizeries est obligé de s'adresser à de mul-
P , es. cultIvateurs car un usinage spécial exige au minimum 100 t., soit
^€.^ gias. Si un lot se trouve d'une homogénéité satisfaisante,
j] est dans l'ensemble. La masse livrée à l'usinage demeure un
Lange de grains longs et ronds, durs et friables.
Le Propriétaires reconnaissent qu'ils sont victimes de cet état de cho-
Ses lIlaIS; ils répugnent à imposer des semences à leurs fermiers. Il fal-
cuIt. Onc arnener le fermier à comprendre qu'il est de son intérêt de
ouHivsi-non la même variété, tout au moins un grain' semblable com-
té 1110 et groseur à celui de ses voisins. L'ensemble de ces récoltes,
1 ans les greniers se traduira par une plus-value tant pour le pro-
aIre que pour le fermier.
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