fois plus large à la pointe que le premier, les stigmates cinq fois plus éloignés de la base que de la région latérale. Dans quelques spécimens, la moitié point ne du troisième segment dorsal et un bord de la pointe du 4e et 5e segments dor- saux sont jaunâtres, la moitié basale du S-3 segment étant plutôt noirâtre; la moitié pointue du 7* segment dorsal est comme la moitié pointue du 8e dans la femelle.
Longueur : 7 m/m 5 à 10 m/m.
LARVE. — Comme celle de l'Ako-Zuimushi-Yadoribachi, si ce n'est qu'elle est plus grande et plus foncée.
PUPE. — Quand elle vient d'être formée, jaune pâle ; avant sa transforma- tion, sombre comme l'adulte. Antennes frêles, allant jusqu'au segment qui précède !e pygidium, chez la femelle s'étendent jusqu'à la fin des tarses pos- teneurs, Bouche longue, triangulaire, rejoignant la partie terminale des hanches antérieures. Thorax nettement plus court que l'abdomen ; ailes s'étendant jus- ll a la pointe des hanches médianes ; pattes antérieures allant, chez le mâle, jusqu au 5e segment abdominal ventral et chez la femelle, jusqu'à près de la base du segment ventral terminal. Oviducte placé à l'arrière de l'abdomen et aboutissant à la pointe du 5e segment dorsal abdominal.
Longueur: 7 m/m à 7 m/m 5.
COCON. - Semblable aux cocons des espèces précédentes, mais s'en différen- ciant principalement ainsi : Large; les couches internes et externes quelquefois épaisses, la couche ex- terne parfois réticulée, de couleur grise.
Longueur: 11 m/m 5, largeur: 2 m/m 27.
II. — VIE.
Cette espèce a été élevée au laboratoire avec plusieurs larves de Pyrales et de Noctuelles et on retira un parasite adulte de chacune d'elles. Les hôtes sont les suivants : Schoenobius incertellus Wlk. ; Chilo simplex Butl. ; Scirpophaga suri- ler Zell.; Diatraea striatalis Snell. ; Nonagria inferens Wlk. ; Laphygma exigua Huebn.
Le nombre des générations dans une année est probablement de cinq ou six.
es adultes apparaissent le plus souvent dans l'après-midi et, deux heures après, ils sont capables de s'envoler du riz. Ils sont très actifs et la durée de l'accou- plement est très court. Ils ont été vus souvent piquant à travers la tige, mais on n,e sait pas encore s'ils peuvent piquer directement à travers la peau de la larve.
Les vers parasites sont toujours trouvés vivants dans les larves du 5e âge. On en a jamais vu dans de plus jeunes. Quand le ver parasite est mûr, il sort immédiatement de sa victime, creusant au travers de la peau, sur un côté, entre la première et la seconde fausses pattes. Ensuite il tisse un cocon dans la tige
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