Titre : Bulletin économique de l'Indochine
Auteur : Indochine française. Direction des affaires économiques. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Saïgon)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Hanoï)
Date d'édition : 1910-07-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32728645t
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 55886 Nombre total de vues : 55886
Description : 01 juillet 1910 01 juillet 1910
Description : 1910/07/01 (A13,N85)-1910/08/31. 1910/07/01 (A13,N85)-1910/08/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : France-Vietnam Collection numérique : France-Vietnam
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6533130n
Source : CIRAD, 2013-106464
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/09/2013
- Aller à la page de la table des matièresNP
- SOMMAIRE
Pages- .......... Page(s) .......... 493
- Renseignements:
- INDOCHINE, FRANCE ET COLONIES
- ÉTRANGER
- .......... Page(s) .......... 547
- .......... Page(s) .......... 550
- .......... Page(s) .......... 551
- .......... Page(s) .......... 552
- .......... Page(s) .......... 552
- .......... Page(s) .......... 553
- .......... Page(s) .......... 553
- .......... Page(s) .......... 555
- .......... Page(s) .......... 557
- .......... Page(s) .......... 557
- .......... Page(s) .......... 558
- .......... Page(s) .......... 560
- .......... Page(s) .......... 564
- .......... Page(s) .......... 564
- 558 -
Autorisation sera donnée de débarquer ces animaux sur des chalands, etc, et autres bateaux
appropriés, Ils y seront retenus jusqu'à l'expiration de la période de dix jours susvisés — ou,
si une épizootie éclate, jusqu'à ce que toute manifestation de celle ci ait cessé pour une période
d'au moins dix jours. Ils pourront alors être débarqués.
3. Les animaux importés aux Philippines d'un port non contaminé, mais situé dans un pays
où l'existence de maladies contagieuses est connue, pourront être débarqués dès leur arrivée;
mais subiront une quarantaine à terre jusqu'à l'expiration d'un délai de dix jours depuis la
date de leur embarquement.
4. Les animaux importés de pays étrangers où la peste bovine, le surra et la fièvre aphteuse
(foot and mouth dicease) n'existent pas, peuvent être débarqués aussitôt après leur arrivée,
s'ils sont reconnus exempts de toute maladie contagieuse dangereuse, et ne seront pas mis
en quarantaine, à moins qu'ils n'aient été exposés à la contagion après leur arrivée.
5. Cet « Ordre général » aura son effet à la date du rr juin igio — et abroge toute dis-
position des « Ordres généraux » Nos 13 et 14 qui serait en contradiction avec lui.
Le Directeur de l'Agriculture,
C. E. NESOM.
Approuvé :
NEWTON \Y. CILliEHT,
Secretary (Ministre) de l'Instruction Publique.
Baguio, 17 mai i 9 1 o.
D'autre part, un ordre du 20 mai 1910 du Directeur de l'Agriculture déclare les ports de
Hongkong, Amoy, Shanghai, et les autres ports de la côte chinoise, soit en terre ferme, soit
sur les îles qui la longent, contaminés, et les animaux qui en proviendront soumis à l'ordre
général n° 15 ci-dessus.
*
* *
Le Chemin de fer du Houpé-Sse-Tch'ouan. — Dans le numéro de novembre-
décembre 1909 du Bulletin Economique de l'Indochine, nous avons donné quelques
renseignements sur le chemin de fer, que les Chinois ont commencé, entre Yi-Tchang
(l.-tchang) et le Sse-teh'ouan, et sur la navigation du haut Yang-tse, deux entreprises qui
intéressent, indirectement, notre chemin de fer du Yun-nan.
Le North China Daily News a publié, depuis, des détails curieux sur la comptabilité de
ce fameux chemin de fer du Sse-tch'ouan, dont l'idée avait été lancée, il y a plusieurs années,
par le vice-roi Si-léang. Ils jettent un jour inattendu sur la façon dont les Chinois comprennent
des entreprises de ce genre, Voici d'abord, sans plus, le bilan, résultant de l'examen des
livres de la Compagnie, que le correspondant de Tcheng-tou du North China Daily News,
donnait à ce journal à la date du 9 mars 1910.
Il rappelle tout d'abord que le capital réuni représentait 16 millions de taëls (1 taël =
actuellement 3 francs environ), dont 25 environ souscrit volontairement, et le reste résultant
de taxes forcées. Voici le bilan présenté à une réunion des actionnaires qui a eu lieu à Tcheng
ton du 26 novembre au 8 décembre 1909. Les actionnaires se sont trouvés réunis au nombre
de 657. On leur allouait 2 $ par jour pour leurs frais de route, et 0 $ 5o par jour
pendant leur séjour dans la capitale du Sse tch'ouan. Il fallait posséder au moins 2.500 taëls
d'actions pour avoir droit de vote ; mais, particularité bien chinoise, aucun souscripteur
volontaire ne pouvait disposer de plus de 25 voix, tandis que les mandarins, qui représentaient
les souscriptions « forcées » de leurs divers districts, disposaient d'un nombre de voix
Autorisation sera donnée de débarquer ces animaux sur des chalands, etc, et autres bateaux
appropriés, Ils y seront retenus jusqu'à l'expiration de la période de dix jours susvisés — ou,
si une épizootie éclate, jusqu'à ce que toute manifestation de celle ci ait cessé pour une période
d'au moins dix jours. Ils pourront alors être débarqués.
3. Les animaux importés aux Philippines d'un port non contaminé, mais situé dans un pays
où l'existence de maladies contagieuses est connue, pourront être débarqués dès leur arrivée;
mais subiront une quarantaine à terre jusqu'à l'expiration d'un délai de dix jours depuis la
date de leur embarquement.
4. Les animaux importés de pays étrangers où la peste bovine, le surra et la fièvre aphteuse
(foot and mouth dicease) n'existent pas, peuvent être débarqués aussitôt après leur arrivée,
s'ils sont reconnus exempts de toute maladie contagieuse dangereuse, et ne seront pas mis
en quarantaine, à moins qu'ils n'aient été exposés à la contagion après leur arrivée.
5. Cet « Ordre général » aura son effet à la date du rr juin igio — et abroge toute dis-
position des « Ordres généraux » Nos 13 et 14 qui serait en contradiction avec lui.
Le Directeur de l'Agriculture,
C. E. NESOM.
Approuvé :
NEWTON \Y. CILliEHT,
Secretary (Ministre) de l'Instruction Publique.
Baguio, 17 mai i 9 1 o.
D'autre part, un ordre du 20 mai 1910 du Directeur de l'Agriculture déclare les ports de
Hongkong, Amoy, Shanghai, et les autres ports de la côte chinoise, soit en terre ferme, soit
sur les îles qui la longent, contaminés, et les animaux qui en proviendront soumis à l'ordre
général n° 15 ci-dessus.
*
* *
Le Chemin de fer du Houpé-Sse-Tch'ouan. — Dans le numéro de novembre-
décembre 1909 du Bulletin Economique de l'Indochine, nous avons donné quelques
renseignements sur le chemin de fer, que les Chinois ont commencé, entre Yi-Tchang
(l.-tchang) et le Sse-teh'ouan, et sur la navigation du haut Yang-tse, deux entreprises qui
intéressent, indirectement, notre chemin de fer du Yun-nan.
Le North China Daily News a publié, depuis, des détails curieux sur la comptabilité de
ce fameux chemin de fer du Sse-tch'ouan, dont l'idée avait été lancée, il y a plusieurs années,
par le vice-roi Si-léang. Ils jettent un jour inattendu sur la façon dont les Chinois comprennent
des entreprises de ce genre, Voici d'abord, sans plus, le bilan, résultant de l'examen des
livres de la Compagnie, que le correspondant de Tcheng-tou du North China Daily News,
donnait à ce journal à la date du 9 mars 1910.
Il rappelle tout d'abord que le capital réuni représentait 16 millions de taëls (1 taël =
actuellement 3 francs environ), dont 25 environ souscrit volontairement, et le reste résultant
de taxes forcées. Voici le bilan présenté à une réunion des actionnaires qui a eu lieu à Tcheng
ton du 26 novembre au 8 décembre 1909. Les actionnaires se sont trouvés réunis au nombre
de 657. On leur allouait 2 $ par jour pour leurs frais de route, et 0 $ 5o par jour
pendant leur séjour dans la capitale du Sse tch'ouan. Il fallait posséder au moins 2.500 taëls
d'actions pour avoir droit de vote ; mais, particularité bien chinoise, aucun souscripteur
volontaire ne pouvait disposer de plus de 25 voix, tandis que les mandarins, qui représentaient
les souscriptions « forcées » de leurs divers districts, disposaient d'un nombre de voix
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Auteurs similaires France France /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "France" or dc.contributor adj "France")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 165/175
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6533130n/f165.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6533130n/f165.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6533130n/f165.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6533130n
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6533130n
Facebook
Twitter