Titre : Bulletin économique de l'Indochine
Auteur : Indochine française. Direction des affaires économiques. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Saïgon)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Hanoï)
Date d'édition : 1902-02-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32728645t
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 55886 Nombre total de vues : 55886
Description : 01 février 1902 01 février 1902
Description : 1902/02/01 (A5,N2)-1902/02/28. 1902/02/01 (A5,N2)-1902/02/28.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : France-Vietnam Collection numérique : France-Vietnam
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6531734r
Source : CIRAD, 2013-106464
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/09/2013
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- SOMMAIRE DU N° 2
Pages- .......... Page(s) .......... 91
- .......... Page(s) .......... 113
- .......... Page(s) .......... 115
- .......... Page(s) .......... 123
- .......... Page(s) .......... 127
- Renseignements:
- .......... Page(s) .......... 149
- .......... Page(s) .......... 154
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- .......... Page(s) .......... 156
- .......... Page(s) .......... 157
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- .......... Page(s) .......... 159
- Observations météorologiques de l'Indo-Chine pendant le mois de décembre 1901.
- 109 -
CM ngoua et de Khua mak duei kay en mélange. Cette dernière variété était
OIIllllante. Le sol était jonché de graines et des coques parcheminées qui leur
Rivaient d'enveloppe. J'en fis ramasser un certain nombre que j'emportai à
- Xlengkhouang.
Lç,, 16 rnirs@, les graines débarassées de leur duvet furent semées dans des
? remplies d'une terre rouge et graveleuse, analogue à celle de la monta-
gne u végétaient les lianes, mais incomparablement moins riche en humus.
Les ^a,sses légèrement arrosées furent placées au pied d'un papayer, un peu à
ombre. Tous les jours durant que je me trouvais à Xieng-khouang et pendant
mOn absel1 l f ,'., l d
Moi, absence, les caisses furent arrosées, jusqu'au moment où la saison des
P Ules arriva.
& e 2,1 mai, j'étais de retour à Xieng-khouang: quelques graines avaient germé
et lev'11191^ la plus grande partie de la germination se fit à ce moment-là.
p, Par l extrémité de la graine portant le duvet, pointait une radicule qui piquait
en terre A f à mesure de son développement, elle entraînait la graine
core adhérente et rélevait à 0m04 à 0m05 au-dessus du sol, puis le mouvement
s'~ durant trois à quatre jours et ensuite les enveloppes se détachaient
soii f jours et ensuite les enveloppes se détachaient
soit f enien^ par éclatement d'un côté, soit par une déchirure du sommet,
mptt ant à jour une paire de cotylédons.
a Jour une paire de cotylédons.
A ll après apparaissent la deuxième paire de feuilles.
av' .lllSI donc, récoltées et semées vers la fin de la saison sèche, ces graines
avaient mis environ deux mois à germer et à lever. Semées dans la montagne,
Ph e altItude plus haute, dans un sol plus riche en humus, au sein d'une atmos-
ere Pl Us humide, peut-être la levée se serait-elle opérée plus tôt. Mais ce qui
inipor uml e, peut-être la levée se serait-eHe opéree p us toi. ms ce qu
de j. de germination réglant l'épaisseur de la couche
(le terre qui doit recouvrir la semence. Cette épaisseur ne doit pas être
supp Fe a à 0m003, c'est-à-dire suffisante pour maintenir la graine
en ac? de façon qu'elle ne soit point entraînée par l'eau d'arrosage ou par
- uriP intempestive.
^911^0' elle pèserait sur la graine, l'empêcherait de se lever sous la
Poiissée6 d la l'a lCule et celle-ci, gênée dans son développement, ne donnerait
arri ed plante fraglc, mal venue, très prompte à dépérir, comme le fait, est
arrivé dans cp semis. Une autre méthode aussi pourrait être suivie : ce serait
d'enfonce Un ^ÔU £ Ta*ne en terre par la partie attenante au duvet.
Un o h relativement épais est aussi à conseiller. Quelques plantules mal
abr tées des rayons du soleil par l'ombrage du papayer furent brulées, les
îeiines i
jeunes jaunirent et se desséchèrent, entraînant la mort de la plante.
native a leur voyage de Xieng-khouang à Saigon, ces semis subirent des alter-
beau s ombre et de soleil, d'humidité et de sécheresse qui furent funestes à
lente CIIlouP de plantes et les seules qui résistèrent sont encore chétives et végètent
lentement
Un rnanière tout autre se sont comportées les boutures.
essa^fu"t fait sur la taille des boutures à prendre pour ce mode de propa-
8.
CM ngoua et de Khua mak duei kay en mélange. Cette dernière variété était
OIIllllante. Le sol était jonché de graines et des coques parcheminées qui leur
Rivaient d'enveloppe. J'en fis ramasser un certain nombre que j'emportai à
- Xlengkhouang.
Lç,, 16 rnirs@, les graines débarassées de leur duvet furent semées dans des
? remplies d'une terre rouge et graveleuse, analogue à celle de la monta-
gne u végétaient les lianes, mais incomparablement moins riche en humus.
Les ^a,sses légèrement arrosées furent placées au pied d'un papayer, un peu à
ombre. Tous les jours durant que je me trouvais à Xieng-khouang et pendant
mOn absel1 l f ,'., l d
Moi, absence, les caisses furent arrosées, jusqu'au moment où la saison des
P Ules arriva.
& e 2,1 mai, j'étais de retour à Xieng-khouang: quelques graines avaient germé
et lev'11191^ la plus grande partie de la germination se fit à ce moment-là.
p, Par l extrémité de la graine portant le duvet, pointait une radicule qui piquait
en terre A f à mesure de son développement, elle entraînait la graine
core adhérente et rélevait à 0m04 à 0m05 au-dessus du sol, puis le mouvement
s'~ durant trois à quatre jours et ensuite les enveloppes se détachaient
soii f jours et ensuite les enveloppes se détachaient
soit f enien^ par éclatement d'un côté, soit par une déchirure du sommet,
mptt ant à jour une paire de cotylédons.
a Jour une paire de cotylédons.
A ll après apparaissent la deuxième paire de feuilles.
av' .lllSI donc, récoltées et semées vers la fin de la saison sèche, ces graines
avaient mis environ deux mois à germer et à lever. Semées dans la montagne,
Ph e altItude plus haute, dans un sol plus riche en humus, au sein d'une atmos-
ere Pl Us humide, peut-être la levée se serait-elle opérée plus tôt. Mais ce qui
inipor uml e, peut-être la levée se serait-eHe opéree p us toi. ms ce qu
de j. de germination réglant l'épaisseur de la couche
(le terre qui doit recouvrir la semence. Cette épaisseur ne doit pas être
supp Fe a à 0m003, c'est-à-dire suffisante pour maintenir la graine
en ac? de façon qu'elle ne soit point entraînée par l'eau d'arrosage ou par
- uriP intempestive.
^911^0' elle pèserait sur la graine, l'empêcherait de se lever sous la
Poiissée6 d la l'a lCule et celle-ci, gênée dans son développement, ne donnerait
arri ed plante fraglc, mal venue, très prompte à dépérir, comme le fait, est
arrivé dans cp semis. Une autre méthode aussi pourrait être suivie : ce serait
d'enfonce Un ^ÔU £ Ta*ne en terre par la partie attenante au duvet.
Un o h relativement épais est aussi à conseiller. Quelques plantules mal
abr tées des rayons du soleil par l'ombrage du papayer furent brulées, les
îeiines i
jeunes jaunirent et se desséchèrent, entraînant la mort de la plante.
native a leur voyage de Xieng-khouang à Saigon, ces semis subirent des alter-
beau s ombre et de soleil, d'humidité et de sécheresse qui furent funestes à
lente CIIlouP de plantes et les seules qui résistèrent sont encore chétives et végètent
lentement
Un rnanière tout autre se sont comportées les boutures.
essa^fu"t fait sur la taille des boutures à prendre pour ce mode de propa-
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