(ce pourcentage ne comporte que des réductions très faibles qui ne sont ras dues généralement à une défaillance de la rusticité ; ce sont, en effet, leMauves et les accidents d'étables ou de parcours qui sont la cause des rai4fs mortalités )
Le coefficient d'accroissement de ces troupeaux, fonction d'une proli- lCIte très élevée, est donc très supérieur au chiffre de 70 que nous aVOîls choisi pour la démonstration. On peut affirmer que dans un trou- Peau bien composé de jeunes vaches et d'un nombre proportionné de jeunes taureaux, ne comportant bien entendu aucune non-valeur au point 9 !" sexuel, le coefficient de fécondité de l'ensemble est supérieur à 90 /o (ce qui veut dire qu'il ne reste pas 10 vaches vides sur cent par ) et que par conséquent, risques et pertes retranchés, ce coefficient d accroissement annuel est de l'ordre de 70 à 80
Ces résultats doivent-ils être réservés à des établissements luxueuse- ent et par suite onéreusement exploités ? Non. Là bouverie de Nông- ong qui n'est distante de la route mandarine que de 25 km. et que cependant peu de curieux ont visitée, est établie dans un cirque de rontagnes, ayant l'aspect d'un ancien cratère désagrégé absolument e et presque désertique ; la végétation spontanée y est médiocre, posée de grossières graminées, de roseaux et d'arbustes, telle qu'on la voit de part et d'autre de la route mandarine sur les collines déboisées à la limite des provinces de Vinh et du Ha-Tinh ; cette qualité de par- ours est, comparée à celle que l'on trouve sur certains hauts plateaux, la limite dont on puisse tirer parti pour l'élevage le plus rustique ; 1 s'étendent sur 800 à 900 hectares $ hectares par tête environ) moitié Paine, moitié en contreforts collinaires ; l'eau de boisson est fournie Par Une grande mare centrale et à l'étable par un puits ; les animaux e disposent que des seules ressources de la nature et vivent dehors toute la Journée ; ils sont abritées la nuit dans des locaux construits en açonnerie mais très simples, sans superfluités ; le troupeau est main.
:ou, par des réductions annuelles d'effectif, à 250 têtes environ, race du Pays bien entendu ; il est, en toutes saisons, en parfait état ; la morbi- dit' et la mortalité sont insignifiantes et dues à des causes banales et fa-tves- Le troupeau, quoique parfaitement isolé à l'abri de toute iscuité, est vacciné contre la peste bovine ; il n'a guère à redouter ba contagions ; tout se borne donc à des accidents faciles à écarter.
Dans Os ces conditions, comme on l'a vu, les naissances atteignent 85 pour qu ot, et ce chiffre pourrait sans doute être augmenté en éliminant quel- d tles reproductrices âgées, dont la fécondité diminue. Quoique l'élevage (jes Glissements d'Ankhé soit en lui-même très intéressant nous ne le pte rons Pas en considération, à l'appui de notre thèse parce que sort -- llsHtion est trop complète pour tirer argument des résultats obtenus.
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