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- SOMMAIRE
- I. - PARTIE DOCUMENTAIRE
- II. - NOTES ET RENSEIGNEMENTS
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- III. - PARTIE COMMERCIALE
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- IV. - CHRONIQUE BIBLIOGRAPHIQUE
— il —
dolo», l'Astropecten «kiririndolo », le Solaster papposus et le Nidorellia
Michelini grayi « hondandolo ».
Les oursins et astéries sont comestibles, mais le trépang n'est pas
consommé par les Vezo.
CŒLENTÉRÈS
Parmi ces zoophytes, à signaler diverses variétés de coraux et de
madrépores roses, rouges, blancs et noirs : le Stylaster sanguineus (rose),
le Distichopora coccinea Degray (rouge), ces deux espèces très rares ; le
Madrepores prolifera, le Pocillopora acuta, le Trachyphyllia amaran-
thus, le Mandrepora communis, l'Hydnophora Ehzrembergii, le Cœlaria
stricta, l'Herpetolithes, le Fungia integra, le Fungia elegans, le Trida-
cophyllia lactuca, le Cœpophyllia gyrosa, le Turbinuria cineroscens, le
Tubipora musica (rose). Tous désignés sous le nom de « hara ».
La méduse est appelée» tsangilihiry » ; les gorgones: le Gorgonia
flabellum, de couleur brune, «fahitsa», le Gorgonia flabellum, de colora-
tion jaune ou lilas, « lahy», le Gorgonia setosa, de coloration mauve,
« lahy », le Gorgania aurantiaca, de couleur dorée, « lahy ».
SPONGIAIRES
Les indigènes de la côte ne se livrent à la pêche des éponges « haran-
dolo » que depuis peu de temps, à l'exemple de quelques colons qui la
v pratiquent.
L'éponge ordinaire ronde « harandolo » est commune presque partout
et abonde surtout à Belavenoka et Andamotibe. C'est la qualité dite
d'écurie ; l'éponge de qualité moyenne et l'éponge fine de toilette sont
pêchées à Andavadoaka et à Tserongy ; on trouve par bancs l'éponge dite
à « aiguille », qui est très poreuse, à Lamboharana et dans la baie de
Befandefana.
Mais ces zoophytes, lorsqu'ils sont retirés de l'eau, présentent un
aspect noirâtre et renferment des plantes marines.
Les éponges sont aussi pêchées à Tsifotsy, Salaro, Mamerana, au sud
de Kitambano, et se vendent couramment 3 francs les cinquante. Mais mal
préparées, elles sont presque toujours brûlées et sans couleur franche.
Les indigènes ne savent pas les nettoyer et les habiller et se contentent de
les mettre à sécher sur le toit de leurs cases, sans prendre aucune précau-
tion.
A signaler encore le Paterion Neptuni « volandolo» ou,« volanin-
dolo », près d'Anakao. De consistance rigide et affectant les formes les plus
variées, quelques-uns de ces spongiaires présentent deux ou trois cavités
voisines ; d'autres ont l'apparence d'une jardinière ou d'un vase à fleurs
ou bien rappellent la corole évasée d'une fleur.
dolo», l'Astropecten «kiririndolo », le Solaster papposus et le Nidorellia
Michelini grayi « hondandolo ».
Les oursins et astéries sont comestibles, mais le trépang n'est pas
consommé par les Vezo.
CŒLENTÉRÈS
Parmi ces zoophytes, à signaler diverses variétés de coraux et de
madrépores roses, rouges, blancs et noirs : le Stylaster sanguineus (rose),
le Distichopora coccinea Degray (rouge), ces deux espèces très rares ; le
Madrepores prolifera, le Pocillopora acuta, le Trachyphyllia amaran-
thus, le Mandrepora communis, l'Hydnophora Ehzrembergii, le Cœlaria
stricta, l'Herpetolithes, le Fungia integra, le Fungia elegans, le Trida-
cophyllia lactuca, le Cœpophyllia gyrosa, le Turbinuria cineroscens, le
Tubipora musica (rose). Tous désignés sous le nom de « hara ».
La méduse est appelée» tsangilihiry » ; les gorgones: le Gorgonia
flabellum, de couleur brune, «fahitsa», le Gorgonia flabellum, de colora-
tion jaune ou lilas, « lahy», le Gorgonia setosa, de coloration mauve,
« lahy », le Gorgania aurantiaca, de couleur dorée, « lahy ».
SPONGIAIRES
Les indigènes de la côte ne se livrent à la pêche des éponges « haran-
dolo » que depuis peu de temps, à l'exemple de quelques colons qui la
v pratiquent.
L'éponge ordinaire ronde « harandolo » est commune presque partout
et abonde surtout à Belavenoka et Andamotibe. C'est la qualité dite
d'écurie ; l'éponge de qualité moyenne et l'éponge fine de toilette sont
pêchées à Andavadoaka et à Tserongy ; on trouve par bancs l'éponge dite
à « aiguille », qui est très poreuse, à Lamboharana et dans la baie de
Befandefana.
Mais ces zoophytes, lorsqu'ils sont retirés de l'eau, présentent un
aspect noirâtre et renferment des plantes marines.
Les éponges sont aussi pêchées à Tsifotsy, Salaro, Mamerana, au sud
de Kitambano, et se vendent couramment 3 francs les cinquante. Mais mal
préparées, elles sont presque toujours brûlées et sans couleur franche.
Les indigènes ne savent pas les nettoyer et les habiller et se contentent de
les mettre à sécher sur le toit de leurs cases, sans prendre aucune précau-
tion.
A signaler encore le Paterion Neptuni « volandolo» ou,« volanin-
dolo », près d'Anakao. De consistance rigide et affectant les formes les plus
variées, quelques-uns de ces spongiaires présentent deux ou trois cavités
voisines ; d'autres ont l'apparence d'une jardinière ou d'un vase à fleurs
ou bien rappellent la corole évasée d'une fleur.
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