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- SOMMAIRE
- I. - PARTIE DOCUMENTAIRE
- II. - NOTES ET RENSEIGNEMENTS
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- III. - PARTIE COMMERCIALE
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- .......... Page(s) .......... 82
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- IV. - CHRONIQUE BIBLIOGRAPHIQUE
— 6 —
Ce travail est long, mais il n'est pas utile que ce soit le planteur
lui-même qui l'exécute ; il lui sera facile de dresser un indigène pour
faire le piquetage.
Dans quelques pays, Trinidad en particulier, le piquetage se donne
à la tâche.
Distance à conserver entre les caféiers. — Avant d'exécuter le pique-
tage, il faut arrêter la distance à laquelle seront plantés les arbustes.
On ne peut, à ce sujet, donner aucun chiffre.
La distance conservée entre les caféiers varie suivant les pays,
suivant les terrains que l'on exploite, suivant la taille que l'on désire
adopter, et aussi le mode de culture que l'on se propose d'appliquer.
En règle générale, on plante d'autant plus loin que le sol est plus
fertile.
Au Brésil, dans diverses fazendas, les distances qui séparent les
caféiers sont 9 palmos (1m 98) sur la ligne et 18 palmos (3m 96) entre les
lignes (le palmos=22 centimètres). Ces distances, dans la région fertile de
Riberao-Preto, paraissent insuffisantes et j'ai vu des plantations faites
en carré, les plants étant distants de 18 palmos en tous sens (3m 96).
Quelques planteurs écartent même, dans les nouvelles caféières, les
plants de 22 palmos, soit 4m 84 en tous sens.
Ces dernières distances semblent un peu trop considérables et, pour
les régions fertiles de l'Etat de Sao-Paolo, 18 palmos en tous sens semble
être une distance raisonnable.
A la fazenda Schmidt, probablement la plus vaste du monde (elle
renferme près de sept millions de caféiers), les arbustes sont plantés à
16 palmos en tous sens.
A la Jamaïque, dans le massif de « Blue mountain », on plante à
6 pieds anglais, soit environ 1 m, + 5. Il y a lieu de rappeler que les ter-
rains sont très pierreux dans cette région et que les arbustes s'y dévelop-
pent peu.
A la Guadeloupe, on plante à 2 mètres dans des terrains très fertiles ;
les arbustes recouvrent complètement le sol dès la cinquième ou la sixiè-
me année ; peut-être y aurait-il avantage à planter un peu moins serré ?
Dans les plantations serrées, les soins d'entretien sont réduits très
rapidement à peu de chose ; une fois que les arbustes se touchent, les
herbes ne poussent plus sur le sol et les sarclages se trouvent supprimés.
Quelle que soit la distance adoptée, on fera bien de placer les plants
en quinconce ; ils se développeront ainsi plus uniformément et se gêneront
moins.
Dafert, Culture rationnelle du café au Brésil, dit, au sujet de l'écar-
tement des plants : « on emploie depuis quelque temps à Madagascar
et sur d'autres points, Sumatra par exemple, une méthode qui réunit les
avantages des deux systèmes que nous venons d'étudier. Elle consiste à
Ce travail est long, mais il n'est pas utile que ce soit le planteur
lui-même qui l'exécute ; il lui sera facile de dresser un indigène pour
faire le piquetage.
Dans quelques pays, Trinidad en particulier, le piquetage se donne
à la tâche.
Distance à conserver entre les caféiers. — Avant d'exécuter le pique-
tage, il faut arrêter la distance à laquelle seront plantés les arbustes.
On ne peut, à ce sujet, donner aucun chiffre.
La distance conservée entre les caféiers varie suivant les pays,
suivant les terrains que l'on exploite, suivant la taille que l'on désire
adopter, et aussi le mode de culture que l'on se propose d'appliquer.
En règle générale, on plante d'autant plus loin que le sol est plus
fertile.
Au Brésil, dans diverses fazendas, les distances qui séparent les
caféiers sont 9 palmos (1m 98) sur la ligne et 18 palmos (3m 96) entre les
lignes (le palmos=22 centimètres). Ces distances, dans la région fertile de
Riberao-Preto, paraissent insuffisantes et j'ai vu des plantations faites
en carré, les plants étant distants de 18 palmos en tous sens (3m 96).
Quelques planteurs écartent même, dans les nouvelles caféières, les
plants de 22 palmos, soit 4m 84 en tous sens.
Ces dernières distances semblent un peu trop considérables et, pour
les régions fertiles de l'Etat de Sao-Paolo, 18 palmos en tous sens semble
être une distance raisonnable.
A la fazenda Schmidt, probablement la plus vaste du monde (elle
renferme près de sept millions de caféiers), les arbustes sont plantés à
16 palmos en tous sens.
A la Jamaïque, dans le massif de « Blue mountain », on plante à
6 pieds anglais, soit environ 1 m, + 5. Il y a lieu de rappeler que les ter-
rains sont très pierreux dans cette région et que les arbustes s'y dévelop-
pent peu.
A la Guadeloupe, on plante à 2 mètres dans des terrains très fertiles ;
les arbustes recouvrent complètement le sol dès la cinquième ou la sixiè-
me année ; peut-être y aurait-il avantage à planter un peu moins serré ?
Dans les plantations serrées, les soins d'entretien sont réduits très
rapidement à peu de chose ; une fois que les arbustes se touchent, les
herbes ne poussent plus sur le sol et les sarclages se trouvent supprimés.
Quelle que soit la distance adoptée, on fera bien de placer les plants
en quinconce ; ils se développeront ainsi plus uniformément et se gêneront
moins.
Dafert, Culture rationnelle du café au Brésil, dit, au sujet de l'écar-
tement des plants : « on emploie depuis quelque temps à Madagascar
et sur d'autres points, Sumatra par exemple, une méthode qui réunit les
avantages des deux systèmes que nous venons d'étudier. Elle consiste à
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