de bambou communiquant avec le corps de pompe d'une soufflerie Iïl®lle air sous pression destiné à activer le feu, le jet d'air étant dirigé vers le bas, sur le centre de la cuvette. De la précédente coulée on a dé un peu de charbon de bois incandescent dans le fond de la cuvette, 01 ajoute un peu de ce combustible, et on actionne la soufflerie (le tstl est tiré et poussé par cinq hommes, souvent aveugles ou infirmes, nUbhsables, à *un autre travail). On remplit peu à peu, en continuant , souffler, avec de la ferraille et du charbon de bois ; le haut fourneau nt supposé divisé en deux parties égales par un plan diamétral ver- la partie située du côté de l'arrivée de l'air recevant le fer et l'autre le charbon de bois. On chauffe pendant une heure et deIJli, en ajoutant ; u Combustible de temps à autre. Quand le fer commence à se liquéfier, soufflerie envoie l'air sous pression par saccades entrecoupées de pé- es de repos. Quand l'ouvrier juge la liquéfaction terminée, il soulève le tronc de cône supérieur par un levier, et l'enlève de côté avec une e 3 le charbon de bois incandescent qui s'en échappe et dont la ustion n'a plus d'objet est arrosé. On adapte à la cuvette un ong- manche de bois, et on -recouvre le fer liquide de cendres légères ;endrs de balles ou de paille de riz) pour l'empêcher de se refroidir op vIte; ces cendres sont maintenues par une calotte sphérique lar- emellt ouverte en son milieu. Toutes ces opérations se font très rapi- eUt L'ouvrier le plus fort du chantier soulève la cuvette et verse le fer liquide dans les différents moules préparés à l'avance. Peu après ja coulée, on démoule quand la fonte est encore un peu rouge et on e refroidir à l'air par conséquent sans trempage. ,
Le produit obtenu, étant fondu en Présence d'un excès de. carbone, produit o b tenu, étant fondu en présence d'un excès de car b one, est (e la fonte, donc assez cassant. L'absence totale de pierres dans les terres du delta explique qu'un pareil soc puisse durer - une année en labo" u quinze ares par jour pendant environ deux mois à deux mois -et urant qUInze ares' par Jour pendant enViron deux mOIS a deux mOIS !ln (letni, c'est-à-dire labourer une dizaine d'hectares. On ne peut battre un Paieil soc ; usé il est revendu 5 cents au ferronnier, le soc neuf vaut u cents.
tieOn liquéfie à chaque coulée 25 kilogrammes de fer environ ; un chan- et r de 10 ouvriers (5 à la soufflerie, 1 pour surveiller le haut fourneau et verser la coulée, 4 pour préparer les moules, démouler et concasser la keoraIlle) fait 8 coulées par jour, soit 200 kilogrammes de fer, ou 20 kg. par ouvrier et par jour.
AMÉLIORATIONS POSSIBLES ï * l eL 'introduction de petites charrues modernes est un problème qu'on peu aCl ement résoudre au point de vue technique — sur l'exploi- On des essais de labour avec une petite charrue Oliver à versoir
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