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A Vec le petit cylindre on peut traiter 10 kg. par pressée, avec le grand
cYlindre, 20 kg. Dans le premier cas, la durée d'une pressée est de 1
heure, dans le second, 1 h. 30, et si l'on veut extraire toute l'huile, il
encore laisser égoutter surtout dans le secon d cas. Si bien que, par
Jour, on peut guère compter sur un traitement de plus de 100 à 120 kg.
rieux, alors que dans la méthode indigène, on fait une presse
t ar jour traitant 75 kg. en moyenne.
L'appareil pris dans son ensemble, ne paraît pas présenter d'avantages
^fisants sur la méthode indigène pour justifier l'immobilisation d'un
apital de plus de 900 $. Il semble bien que malgré les instruments pri-
le meilleur rendement du procédé indigène est dû à un travail
plus rationnel :
10N) Le chauffage par petite quantité et à la vapeur est plus régulier
plus uniforme. Les albuminoïdes se trouvent'totalement coagulés sans
aiicune partie de la mouture ne risque d'être trop cuite ;
21) Le cylindre de matière pressée à, dans le cas de'la presse indigène,
1111 IIletre de 25 cm. environ, très inférieur à celui obtenu dans la
presse moderne. L'écoulement de l'huile vers l'extérieur est plus ra-
pide ;
Dans la méthode indigène, une pressée dure 12 heures. Elle est
Progressivement et l'huile a tout le temps de s'égoutter ce qui, je
l'J ':' constitue un gros avantage sur une pressée brusque et rapide où
l'h 1 a tout au plus une heure pour s'écouler.
.El résumé, comme dans la méthode indigène le gros travail long et
Péiï'l reS^e dans la mouture au pilon, il semble bien que le fabricant
iiîdi gène aurait intérêt à employer un moulin à cylindre en conservant
sa lllé-thode de chauffage et de presse. Il pourrait ainsi en augmentant
en h
et "Oln b re des presses tripler sa production avec la même main-d'œuvre
et conserver les avantages du procédé indigène.
CASTAGNOL,
Ingénieur agronome,
Chef du 1er secteur agricole (Annam).
A Vec le petit cylindre on peut traiter 10 kg. par pressée, avec le grand
cYlindre, 20 kg. Dans le premier cas, la durée d'une pressée est de 1
heure, dans le second, 1 h. 30, et si l'on veut extraire toute l'huile, il
encore laisser égoutter surtout dans le secon d cas. Si bien que, par
Jour, on peut guère compter sur un traitement de plus de 100 à 120 kg.
rieux, alors que dans la méthode indigène, on fait une presse
t ar jour traitant 75 kg. en moyenne.
L'appareil pris dans son ensemble, ne paraît pas présenter d'avantages
^fisants sur la méthode indigène pour justifier l'immobilisation d'un
apital de plus de 900 $. Il semble bien que malgré les instruments pri-
le meilleur rendement du procédé indigène est dû à un travail
plus rationnel :
10N) Le chauffage par petite quantité et à la vapeur est plus régulier
plus uniforme. Les albuminoïdes se trouvent'totalement coagulés sans
aiicune partie de la mouture ne risque d'être trop cuite ;
21) Le cylindre de matière pressée à, dans le cas de'la presse indigène,
1111 IIletre de 25 cm. environ, très inférieur à celui obtenu dans la
presse moderne. L'écoulement de l'huile vers l'extérieur est plus ra-
pide ;
Dans la méthode indigène, une pressée dure 12 heures. Elle est
Progressivement et l'huile a tout le temps de s'égoutter ce qui, je
l'J ':' constitue un gros avantage sur une pressée brusque et rapide où
l'h 1 a tout au plus une heure pour s'écouler.
.El résumé, comme dans la méthode indigène le gros travail long et
Péiï'l reS^e dans la mouture au pilon, il semble bien que le fabricant
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