Titre : Bulletin économique de l'Indochine
Auteur : Indochine française. Direction des affaires économiques. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Saïgon)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Hanoï)
Date d'édition : 1921-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32728645t
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 55886 Nombre total de vues : 55886
Description : 01 janvier 1921 01 janvier 1921
Description : 1921/01/01 (A24,N146)-1921/02/28. 1921/01/01 (A24,N146)-1921/02/28.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : France-Vietnam Collection numérique : France-Vietnam
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65292540
Source : CIRAD, 2013-106464
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 03/06/2013
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- INDOCHINE. FRANCE ET COLONIES
- ÉTRANGER
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— 125 -
que ce chiffre ait augmenté en 1918. Il est même douteux qu'il se maintienne après la guerre
Les besoins d'emballages grandiront certainement avec le progrès de l'exportation. En
Mandchourie, il faut 12 à 15.000.000 sacs par an pour le commerce des fèves soja et il
est certain qne c'est dans le but d'approvisionner ce marché et les autres de la Chine que
ces nouveaux plans ont dû être tracés.
*
* *
Le jute aux Indes La Réforme économique, 15 octobre 1920.— La récolte du jute,
aux Indes, ne sera pas aussi belle qu'on le croyait. Le total serait de 5.962.000 balles. On
Y ajoute 1.500.000 halles de Madras, non comprises dans l'estimation officielle. Par
comparaison avec l'année dernière, c'est une diminution de 30 o/Q. C'est la moins belle
récolte qu'on ait enregistrée depuis 1903. En 1914, on avait récolté 10.500.000 balles.
On devine que le prix du jute s'est relevé dès que ces chiffres ont été connus. La situation
ne serait pas cependant aussi mauvaise qu'on pourrait l'appréhender. La consommation de
l'Inde n'absorbera pas toute la récolte. D'autre part, remarque le Times, la consommation
extérieure,depuis un an, a atteint à peine deux millions de balles. Il n'y a pas lieu de prévoir
qu'elle en demande plus cette année.
#
* *
Les huiles d'Orient en Amérique — D'après le North China Herald, du 9 octobre
1920. - La Chambre de commerce de Seattle rapporte qne la quautité de graines oléagi-
neuses importées en Amérique a augmenté de 58 000.000 livres, en 1914, à 356.090.000
livre, en 1918, tandis que la valeur de l'huile végétale importée s'est accrue de $ 24.000.000
en 1914 à $ 123.000.000 en 1919 et environ $ 140.000.000 en 1920. Il convient de remar-
quer que la plus grande augmentation a porté sur l'arachide : la quantité importée pendant
les 10 mois se terminant en avril 1920, a été de 19.000.000 gallons contre moins de
8.000.000 gallons durant les mois correspondants de l'an passé et 1.000.000 de gallons,
l'année avant la guerre.
#
# if
L'industrie de l'arachide en Chine — D'après The London and China Express,
tg février 1920. — Le Conseiller commercial à Shanghai dit que l'exportation de l'arachide
de Chine est un commerce relativement nouveau. Avant la guerre, le gros des charge-
ments fut dirigé en Europe et surtout en France. Pendant la guerre, ce commerce a passé au
Japon et aux Etats-Unis d'Amérique ; en 1918, ces deux pays se partageaient 80 pour 100
du total de l'exportation.
La même année, la France prit seulement 8.655 pieuls d'huile et 3.944 de fruits, tandis
que la Grande-Bretagne ne recevait ni noix, ni huile. Avec le retour aux conditions de
transport normales, le commerce avec la France reprendra sans doute très vite et on espère
que les fabricants de savons et d'huiles comestibles de cuisine à bas prix,dans le Royaume Uni,
tourneront leur atlenlion vers cette source illimitée de produits de Chine. Avant 1914. l'huile
était surtout expédiée à Shanghai. Canton et Hongkong ; maintenant, on l'euvoie beaucoup
à Dairen et au Japon pour réembarquement.Quelques marchands chinois des plus entreprenants
commencent à traiter directement avec des maisons japonaises, au Japon même, supprimant
-ainsi les intermédiaires.
que ce chiffre ait augmenté en 1918. Il est même douteux qu'il se maintienne après la guerre
Les besoins d'emballages grandiront certainement avec le progrès de l'exportation. En
Mandchourie, il faut 12 à 15.000.000 sacs par an pour le commerce des fèves soja et il
est certain qne c'est dans le but d'approvisionner ce marché et les autres de la Chine que
ces nouveaux plans ont dû être tracés.
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Le jute aux Indes La Réforme économique, 15 octobre 1920.— La récolte du jute,
aux Indes, ne sera pas aussi belle qu'on le croyait. Le total serait de 5.962.000 balles. On
Y ajoute 1.500.000 halles de Madras, non comprises dans l'estimation officielle. Par
comparaison avec l'année dernière, c'est une diminution de 30 o/Q. C'est la moins belle
récolte qu'on ait enregistrée depuis 1903. En 1914, on avait récolté 10.500.000 balles.
On devine que le prix du jute s'est relevé dès que ces chiffres ont été connus. La situation
ne serait pas cependant aussi mauvaise qu'on pourrait l'appréhender. La consommation de
l'Inde n'absorbera pas toute la récolte. D'autre part, remarque le Times, la consommation
extérieure,depuis un an, a atteint à peine deux millions de balles. Il n'y a pas lieu de prévoir
qu'elle en demande plus cette année.
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Les huiles d'Orient en Amérique — D'après le North China Herald, du 9 octobre
1920. - La Chambre de commerce de Seattle rapporte qne la quautité de graines oléagi-
neuses importées en Amérique a augmenté de 58 000.000 livres, en 1914, à 356.090.000
livre, en 1918, tandis que la valeur de l'huile végétale importée s'est accrue de $ 24.000.000
en 1914 à $ 123.000.000 en 1919 et environ $ 140.000.000 en 1920. Il convient de remar-
quer que la plus grande augmentation a porté sur l'arachide : la quantité importée pendant
les 10 mois se terminant en avril 1920, a été de 19.000.000 gallons contre moins de
8.000.000 gallons durant les mois correspondants de l'an passé et 1.000.000 de gallons,
l'année avant la guerre.
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L'industrie de l'arachide en Chine — D'après The London and China Express,
tg février 1920. — Le Conseiller commercial à Shanghai dit que l'exportation de l'arachide
de Chine est un commerce relativement nouveau. Avant la guerre, le gros des charge-
ments fut dirigé en Europe et surtout en France. Pendant la guerre, ce commerce a passé au
Japon et aux Etats-Unis d'Amérique ; en 1918, ces deux pays se partageaient 80 pour 100
du total de l'exportation.
La même année, la France prit seulement 8.655 pieuls d'huile et 3.944 de fruits, tandis
que la Grande-Bretagne ne recevait ni noix, ni huile. Avec le retour aux conditions de
transport normales, le commerce avec la France reprendra sans doute très vite et on espère
que les fabricants de savons et d'huiles comestibles de cuisine à bas prix,dans le Royaume Uni,
tourneront leur atlenlion vers cette source illimitée de produits de Chine. Avant 1914. l'huile
était surtout expédiée à Shanghai. Canton et Hongkong ; maintenant, on l'euvoie beaucoup
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