(effilés rabotés 9,40 11,80 i/| ,5o 18,115 20,70 20,00' F. L. Kow. Kee et Co. (effilés ra- botés. 9,00 11,40 14,10 17,70 19,00 22,5o Jardine Matheson et Co. Ld. (effilés rabotés) g,o5 II,37 11-, 07 17,71 18,80 22,70
La maison Jardine Matheson et Co. a été déclarée adjudicataire.
COMMERCE DU BOIS DANS LES PROVINCES RUSSES DE L'EXTRÊME-ORIENT (Amour. Kamchatka, Sakkhaline).
Le commerce des bois, dans cette partie de l'Asie limitrophe de la Chine, prend chaque jour une extension de plus en plus grande. Les débuts de l'expor- tation du bois de Vladiwostock sont tout récents, les premières expéditions ont eu lieu en 1909 à destination de marchés anglais. Les prix et qualités étaient satisfaisants : la demande dépasse maintenant les quantités pouvant être offertes par les exportateurs. En 1911, les expéditions se sont élevées à 949.
575 pieds cubiques, composées pour la plus grande partie de « tremble » desti- né aux fabriques d allumettes du Japon. Les exportations de 1910 n'avaient été que de 339.963 pieds cubiq.ues, dont 281.148 pieds cubiques en tremble.
Bois dit « threeply » pour emballage. — Tout récemment, une usine des environs de Vladiwostock a commencé à exporter des planches d'emballage, préparées d'après le procédé dit : « three ply i). Les caisses en « three ply », quoique d'un prix de revient plus élevé que les caisses en bois ordinaire, sont beaucoup plus légères et d'un emploi avantageux pour les envois faits par che- min de fer. Les premières commandes proviennent des marchands de thé de Ceylan et de Hankow. L'exportation de ce bois d'emballage paraît être appelée à progresser rapidement.
BOIS DANS LES PROVINCES RUSSES D'EXTRÊME-ORIENT.
Douves. — On fabrique à Vladiwostock des douves de tonneaux dont il se fait une grande consommation pour les expéditions de poissons. Lorsque la pro- duction de ces douves excédera la consommation locale, le surplus trouvera facilement son débouché à l'exportation.
Scierie mécanique à Vladiwostock. — Les travaux du chemin de fer de l'Amour n'expliquent pas seuls l'activité de la scierie mécanique ; l'accroisse- ment de la population qui a nécessité la construction d'édifices publics et privés y a contribué, ainsi que l'augmentation continue du nombre des expéditions de bois faites sur les marchés étrangers, où les exportateurs de la Sibérie Orientale s'efforcent actuellement de prendre pied. Le nombre des chantiers est passé de 25 en 1910, à 64 en 1912. La mise de fonds employés uniquement en achat de
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