Coiriprendre la technique de leur métier, et de diriger le personnel tant e.u,ropéen qu'indigène placé sous leurs ordres, avec une compétence profes- onnelle qui n'est plus faite uniquement de bon sens et d'habitude.
Quant aux agents indigènes, ceux du cadre supérieur (agents techniques) soitent de l'Ecole supérieure d'Agriculture et de Sylvicuture de Hanoi. Parmi eux du cadre subalterne, certains ont suivi les cours de l'École pratiqué de 1 en-cat, école très bien située, dans la province de Thudaumot, tout près de la forêt, et où l'enseignement est ainsi donné dans les meilleures conditions, eorle et application,
e n'est pas que l'on ait encore pu réaliser la perfection en tout. En PaiUculiei%ies bâtiments ou sont installés les bureaux de la Direction du Service il sont d'une exiguité telle qu'il n'est possible d'y présenter aucune ection; une partie des archives est même reléguée dans les, dépendances.
i«f ais Gouvernement local, qui porte un vif intérêt au Service forestier, qui SUIt avec une attention continue et bienveillante ses efforts, ses travaux et ses Progrès, s'efforce d'améliorer cette situation et l'on peut espérer que dans un aVeuIr très prochain, le Service forestier sera établi dans un bâtimenfpius vast que celui qu'il occupe actuellement, soit qu'il devienne possible de lui er tout ou partie de bâtiments disponibles, soit que la situation budgétaire permette de consacrer une somme suffisante à la construction d'un immeuble.
Dans l'intérieur, plusieurs postes européens et garderies indigènes sont orebien défectueux à divers points de vue. Mais tout ce qui a été réalisé iu a , présent prouve la volonté ferme d'y porter remède ; chaque année, de nouveaux résultats sont obtenus et en laissent entrevoir d'autres.
du Enn" l'effectif total européen et indigène est trop faible pour que l'action Personnel puisse se faire sentir sur toutes les régions boisées; l'Ouest exi- gerait à lui seul un nombee d'ao-enls au moins double de celui qui exsile comme a seul un nombre d'agents au moins double de celui qui exsite comme pe > nnel européen, et triple comme personnel indigène.
Dans le Nord et l'Est également, il conviendrait d'installer quelques nouveaux 'Postes. tJ
Le domaine forestier de la Gochinchine ne couvre guère moins de deux 0nS d'hectares (1.800.000). En portant à 20.000 — 25.000 hectares, et Pai1 f°1S davantage, la surface à donner à gérer à un agent européen (forêts eservées cadastrées), on aurait un effectif de 57 chefs de divisions auxquels il f,ludrait. ajouter les chefs de cantonnements, chefs de section, chef de service.
eCI onduirait à doubler à peu près l'effectif actuel.
Mais d' autre part, les agents techniques indigènes, après quelques années de pratique, devront être capables de gérer, au point de vue technique, des dvsons de petite étendue et pas trop éloignées d'un centre ; par exemple, les divisions ayant leur siège au même endroit que le cantonnement. De plus, les bri • ^1-61 S SOrde. l'Ecole pratique de Bencat, seront à même de rendre de très réels services dans la direction des exploitations et travaux divers. Aussi est-II pas nécessaire d'augmenter considérablement l'effectif du personnel
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